Sebastian McFadden

AGE - 14 Ans SURNOM - Seb ORIGINE - Écossaise DATE DE NAISSANCE - 1er Mai MAISON - Serdaigle STATUT - né de parent moldu TES SECRETS * Possède une collection affolante de bombabouse à faire dresser les cheveux sur la tête du concierge et asphyxier la moitié du château... * A déjà inventé plusieurs objets de farce et attrape plus ou moins dangereux, les utilises sur la plupart des élèves mais refuse de les partager bien qu'il en vend quelque un pour une somme... importante...

C’est toujours facile de classer les gens, de les mettre dans un sac sans même apprendre à les connaitre vraiment. Les Hommes ne cessent de classer les gens par thème, égocentrique, cruelle, fou, brillant, insupportable. Sebastian a souvent était classé dans les insupportables, et il l’est, sur bien des points, il l’est. Mais pourquoi ? Pourquoi est-il comme ça ? C’était-on seulement une seule fois posé la question ? Et si on l’a fait, a-t-on cherché à avoir une réponse plus évolué que « parce que c’est comme ça » ? Non, évidemment non, c’est tellement plus simple de classer et de ne jamais voir plus loin que le bout de son nez, surtout quand quelqu’un vous semble incompréhensible…

Sebastian a eu une enfance qu’on pourrait dire de normal, enfin normal, disons qu’il n’est pas a plaindre non plus, ses parents ne sont pas morts dans un incident de voiture, aucun fou furieux ne les a tué, il n’a jamais était vraiment maltraité, on ne l’a jamais mis à part parce qu’il voyait des trucs que personne ne voyait, et il n’a jamais était rejeté par tout son village parce qu’il possédait en lui un démon renard… Quoi ? Ah oui je m’éloigne du sujet.
Second enfant d’une famille moldu qu'on peut dire très riche et ayant une certaine renommé, il a continuellement vécu dans l’ombre de son frère promit à une prestigieuse carrière moldu, n’étant ni réellement aimé de son père qui trouvait ses notes en cours trop déplorable puisque le jeune garçon se fichait totalement de tout cela, ni vraiment aimé par sa mère qui n’a jamais cherchée à le voir, s’enfermant derrière sa maladie et ses sourires. Oui, sa mère est malade, très malade même, les médecins étaient formels à son sujet et l’avaient condamnés à ne pas vivre plus longtemps que ses vingt ans. Pourtant, elle vient de fêter ses trente-huit ans en bonne santé, bien que très affaiblie, d’ailleurs elle ne quitte plus la chambre de son hôpital pour riche ou elle vit depuis les un an de Sebastian, cette chambre trop blanche et trop vide qui pour le garçon semble raccrochée à sa mère qu’il n’a jamais vu hors d’elle. A chaque fois qu’il y va, Sebastian à l’impression que cette endroit absorbe un peu plus la belle couleur de jaie de la chevelure de sa mère, tout comme sa vitalité, lui donnant, jour après jour, de plus en plus l’aspect d’un fantôme aussi blanche que le lin. Sa peau est devenue si pale, et ses cheveux sont devenus si blanc. Elle est comme cette chambre, vide et froide.

C’est avec ce sourire de façade et à ses phrases milles fois répété que Sebastian à grandit « Soit un gentil garçon » « je vous aime toi et ton frère » « prend exemple sur ton frère » « reste toujours un gentil garçon ». Elle a toujours répétée ces phrases d’aussi loin qu’il se souvienne, sans même le regarder ou l’écouter, sans même le voir, comme un automate, des fois il se demande même si elle a remarquée qu’il a grandi au fil des années, le voit-elle seulement comme son fil ?… C’est peut-être pour salir se blanc qu’aujourd’hui il fait tout le contraire de ce qu’elle lui a toujours dit. Elle est son démon blanc, il l'aime tout autant qu'il la déteste.

On ne peut pas dire non plus qu’il fut aimé de son père, mais jusqu’à ses 8 ans les choses allaient encore, jusqu’au jour ou Sebastian se mit à faire voler Médor à travers la cour pour le faire tomber dans la marre parce qu’il trouvait ça « marrant ». Un sorcier, un magicien, un monstre. Quel horreur, une chose aussi anormale sous son toit, Mcfadden père ne pouvait en supporter plus. Dès lors, puisque le père ne pouvait abandonner son fils que la société connaissait déjà, l’enfant peu aimé devint l’enfant mal aimé. Sa chambre fut envoyée directement sous les combles de leurs manoirs, et son père refusait de le faire sortir avec eux, ayant trop peur que son monstre de fils fasse quoi que ce soit de bizarre. Les seuls fois ou le petit pouvait sortir c’était pour voir sa mère, mais sinon il passait son temps à vivre dans les combles et parfois, quand son père était de bonne humeur, à aller dans le jardin sous surveillance de son frère.
Sebastian n’est pas le genre de garçon à se laisser abattre, quand on grandit sans amour, on apprend à faire sans et on se relève, sans se rendre compte du mal que laisse se manque. Il fit de l’étage abandonné un immense terrain de jeu, ou plus un terrain d’expérience. Inventant les choses les plus étranges, il finit par se prendre d’intérêt pour les farces et attrapes qui pour la première fois lui donnèrent une occasion de rire sans se soucier de rien, enfin quelqu’un chose de joyeux et coloré dans cette vie que cette chambre et cette femme trop blanche avaient fini par faire à leurs images. Tout était bon pour inventer de nouvelles choses, et c’était parfois à partir de rien qu’il créait les pires choses. Son frère fut le premier à en faire les frais d’ailleurs, ce qui valut à Sebastian quelques repas en moins, mais qu’importe, tout cela n’était que le commencement d’une nouvelle ère…

Puis enfin sa rentrée à poudlard arriva, une entrée… Pour le moins fracassante, aucun doute que plus tard, quand les élèves commencèrent à le connaître, ils n’eurent aucun doute sur la personne qui avait piégé l’intégralité du poudlard express à renfort de bombabouse, choco grenouille légèrement modifié (léger hein, il n’avait ses livres de magie que depuis un mois, et sans pratique en plus…) et autres sorts mineurs de farces … La peur n’est pas dans la nature de Sebastian, et aucun doute qu’il voit les choses en grands. Il n’est pas idiot contrairement à ce que beaucoup pense, sinon comment ferait-il pour inventer tout ça? C’est justement pour cela qu’il se retrouva à Serdaigle, une maison au norme pour un inventeur complètement loufoque et un poil mauvais. Oui, mauvais tout de même, car maintenant qu’il avait quartier libre et que son père n’était plus là pour le brider, Sebastian s’en donnait à cœur joie et toutes les années en prirent pour leurs grades, aujourd’hui encore on se souvient de l’immense sable mouvant portable qu’il installa dans la grande salle pendant sa 3eme année pour le buffet de départ des septièmes années… Grandiose… Bien que, tout de même, il y avait faillit avoir quelques pertes d’élèves si les professeurs n’étaient pas intervenue…

Bref, Voyant de moins en moins sa mère et sa chambre trop blanche, rentrant de plus en plus rarement dans cette maison qu’il ne voyait plus que comme un deuxième laboratoire, Sebastian fit de poudlard sa nouvelle maison, il s’y sentait plus chez lui que nulle part ailleurs, bien que son statut de « sang de bourbe » n’était pas facile à porter surtout que pour l’époque ils étaient plus rare que maintenant. Mais qu’importe, il avait l’habitude d’être seul et au final elle lui plaisait cette solitude qui l’accompagnait depuis si longtemps, bien que la situation n’était pas simple, être rejeté par les moldus et par les sorciers, dur dans ce genre de situation de trouver sa place. Les incompris sont souvent seul après tout, et lui était de ceux qui ne voulait même pas comprit, se montrant souvent désagréable avec quiconque viol son intimité. Rare sont ceux qui peuvent se dire aujourd’hui proche de Sebastian, mais par contre il n’est pas dur de deviner quand quelqu’un à son affection, ce sont les seuls personne à qui il n’arrive jamais rien… Ou presque…

PRENOM - Haha
PSEUDO - Barf, devine ;P
AGE - 19 ans
NOMBRE DE LIGNE - Je sais pas, je compte plus depuis loooongtemps ^^
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? - J'sais pu
QUE PENSES TU DU FORUM ? - I ♥ T.O.M (porte à confusion tout ça...)
ACTEUR SUR VOTRE AVATAR - Thomas Sangster
UN MOT POUR LA FIN ? - Miaou...