Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob)
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Wilhelmina Tuft
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#Sujet: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Lun 12 Fév - 14:08
En tant que ministre de la Magie, et qui se devait qui plus est de faire ses preuves avec d'autant plus de rigueur qu'elle avait été propulsée sur le devant de la scène en de sinistres circonstances et que son travail était parfois remis en cause du fait de son sexe, Wilhelmina mettait un point d'honneur à se tenir informée de tous les événements, grands ou petits, qui pouvaient agiter la communauté magique.
Elle s'intéressait aussi aux bouleversements rencontrés par la communauté moldue, bien sûr, alors que la Grande-Bretagne d'après-guerre se voyait encore très fragile et instable, et elle en discutait régulièrement avec le premier ministre moldu, qui se devait de rester sur ses gardes, mais son objectif principal était tout de même de garantir un certain équilibre à une communauté sorcière qui n'était guère ménagée, malheureusement.
Son attention était avant tout focalisée sur les grands événements qui bouleversaient les consciences et inquiétaient la population, car c'était là-dessus avant toute chose qu'il fallait qu'elle se concentre, à l'évidence, mais elle n'oubliait pas également les informations en apparence plus anodine, qui pourtant pourraient avoir leur intérêt.
En l'occurrence, elle avait eu vent de l'existence d'un nouveau commerce dans le village de Pré-au-Lard, ou plus exactement une boulangerie en cours de construction.
Le sujet aurait pu l'intéresser sans la pousser à y chercher plus loin, mais elle avait changé d'avis en apprenant que le propriétaire de la boulangerie en question était un moldu. Moldu du nom de Jacob Kowalski.
Wilhelmina ne connaissait pas Jacob Kowalski, mais elle devait comprendre de qui il s'agissait en apprenant qu'il était soutenu dans ce projet par sa compagne sorcière, dont le nom lui était déjà plus familier, à savoir Queenie Goldstein. Elle n'avait pas eu l'occasion de faire la connaissance de Queenie, mais elle connaissait sa soeur, Porpentina... l'épouse de Norbert. Le frère de Thésée. Mais épargnons-nous de refaire tout l'arbre généalogique.
Irrésistiblement, Wilhelmina songeait à la portée symbolique que pourrait avoir l'ouverture de cette boulangerie, à l'heure où les tensions entre sorciers et moldus étaient plus importantes que jamais. Ce pouvait être un vrai signe de progrès... ou d'échec, si l'on n'y prenait pas garde. En tout cas, Wilhelmina voulait s'intéresser de très près au projet, raison pour laquelle elle avait décidé de découvrir les locaux en question, et de parler avec le propriétaire s'il était là.
Et en effet, il était là. Elle frappa à la porte, attendit qu'on lui ouvre.
"Bonjour, j'espère que je ne vous dérange pas ? J'aimerais m'entretenir avec vous quelques instants. C'est possible ?"
Jacob Kowalski
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Mer 18 Avr - 19:09
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
Hyppolite n’était toujours pas revenu et… plus le temps passait, plus Jacob voyait Norbert s’enfoncer de plus en plus. C’était normal, il avait perdu son fils, il n’avait aucune idée de s’il allait bien ou non, s’il avait eu l’intention de s’en aller volontaire ou non. S’il était vivant, tout simplement. Comment pourrait-il aller bien dans une telle situation ? En plus, son meilleur ami se sentait coupable. Jacob ne pouvait pas entièrement lui donner tort, quand bien même il avait envie, de le soutenir du mieux qu’il pouvait. Il n’avait aucune envie que son meilleur ami se sente responsable, alors qu’il n’y avait aucune preuve que ça puisse venir de lui. Même si, en un sens, le no-maj ne pouvait pas oublier le fait que si jamais Hyppolite avait décidé de fuguer, c’était sans doute à cause des tensions entre lui et son père.
Jacob se sentait triste à cause de la disparition de Hyppolite, triste parce qu’il voyait Norbert s’enfoncer de plus en plus dans la déprime, triste de voir la relation entre son meilleur ami et sa femme se ternir et surtout il se sentait incapable de les aider. Il ne savait pas quoi faire de plus que ce qu’il ne faisait déjà, être là pour eux, les soutenir et aider Norbert avec ses créatures. Il ne pensait pas pouvoir faire plus, il ne voyait pas ce qu’il pouvait faire de plus. Seulement attendre, comme les autres, qu’ils aient un jour des nouvelles de Hyppolite.
En attendant, le no-maj avançait doucement dans les travaux de sa boulangerie. Elle aurait pu être ouvert bien plus tôt s’il n’y avait pas eu tout ça. Jacob ne pouvait pas complètement abandonner le projet, mais en même temps il ne se voyait pas lancer son commerce alors qu’ils n’avaient toujours pas de nouvelle de Hyppolite. Quand bien même, il avait conscience qu’ils ne pouvaient pas non plus arrêter de vivre mais… Jacob ne se sentait pas capable de le faire et il n’avait aucune envie d’imposer ça à Queenie non plus, qui était particulièrement chamboulée comme tout le monde par la disparition de son neveu. Il n’avait donc aucune idée de quand les choses allaient réellement commencer. Mais pour autant, il passait du temps dans la boulangerie. Parce que les travaux avançaient quand même, un peu, doucement et que ça commençait à prendre forme. Et c’était justement qu’alors qu’il se trouvait dans son commerce qu’une personne frappa à la porte. Quand il alla lui ouvrir, Jacob se dit qu’il avait déjà vu son visage quelque part sans pour autant parvenir à la remettre (mais il l’avait vu dans la Gazette des Sorciers, ce fabuleux journal où les photos bougeaient).
« Oui bien sûr. » Dit-il dans un fin sourire avant de se décaler pour laisser la sorcière – parce qu’il supposait qu’elle était une sorcière, ils n’étaient pas beaucoup de no-maj à se promener dans les rues de ce village – entrer dans la boulangerie. « Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? »
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Wilhelmina Tuft
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Mer 9 Mai - 12:23
« Oui bien sûr. »
Wilhelmina répondit à son interlocuteur par un sourire et profita que le boulanger la laisse entrer pour entrer à l'intérieur du local en cours de construction. Elle balaya l'endroit du regard avec attention. Manifestement, il y avait encore un peu de travail à faire, mais le lieu était prometteur, du moins si aucun opportun ne s'amusait à le saccager, ce qui était malheureusement probable. La ministre n'avait pas la moindre envie de jouer les oiseaux de mauvais augure, mais elle en avait suffisamment vu au cours de sa carrière pour se méfier comme il se doit du comportement d'autrui, et c'était en partie pour cette raison qu'elle se trouvait là.
« Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? »
Ce n'était peut-être qu'une impression de la part de la ministre, mais elle avait le sentiment que son interlocuteur ne l'avait pas reconnue. Et après tout, c'était possible. Jacob Kowalski était un moldu, et s'il se familiarisait au monde de la magie, au point même d'y intégrer un commerce, il ne connaissait peut-être pas toute sa politique encore, d'autant plus qu'elle n'était pas ministre depuis très longtemps. Elle n'allait pas en prendre ombrage, d'ailleurs. La vérité, c'était qu'elle trouvait plaisant de ne pas être reconnue au premier coup d'oeil. Pas de courbettes à n'en plus finir ni de fausse déférence. Jacob Kowalski la traitait comme il le ferait pour n'importe qui. Bien sûr, ça ne l'empêchait pas d'être poli et respectueux, mais ça changeait tout de même la donne, quand on y regardait de suffisamment près.
Elle tourna donc vers lui un regard transigeant. Non, elle n'allait pas lui reprocher de ne pas comprendre, elle allait lui expliquer, et il comprendrait, voilà tout.
"Je me présente, Wilhelmina Tuft, ministre de la Magie", expliqua-t-elle alors pour bien situer les choses, ce qui inciterait aussi sans doute son interlocuteur à ne pas commettre d'impair pour la suite de leur discussion. "J'ai entendu parler de votre boulangerie, et de votre condition un peu... particulière... Et je voulais faire votre connaissance et vous exprimer mon soutien en personne."
Elle estimait que c'était la manière la plus efficace d'exprimer la situation, même s'il y avait davantage à en dire, mais elle n'était pas obligée de tout déballer d'un coup.
Jacob Kowalski
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Lun 23 Juil - 16:25
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
Jacob observa la femme entrer dans son commerce et tourner son regard vers les travaux en cours. Il y avait encore pas mal de travail à faire, et la disparition du fils de Norbert n’avait pas vraiment poussé les travaux à beaucoup avancer. Mais ça prenait quand même forme, ça commençait doucement mais sûrement à ressembler à quelque chose. Jacob ne dit rien, attendant la réponse de l’inconnue – qui n’était pas si inconnue que cela – sur la raison de sa présence. Celle-ci se tourna vers lui et se présenta et dans la seconde, Jacob comprit pourquoi son visage lui disait quelque chose. Il avait en face de lui, la ministre de la magie. Ce n’était pas la première fois qu’il faisait la connaissance de la haute direction d’un monde magique, puisqu’il avait rencontré à l’époque la ministre de la magie des États-Unis. Jacob ne put s’empêcher de se sentir un peu bête de ne pas l’avoir reconnu tout de suite, alors qu’effectivement, maintenant qu’il le savait, il parvenait à savoir pourquoi son visage lui était familier. Par la force des choses, Jacob passait quand même pas mal de temps à lire la Gazette des Sorciers, dans le but de se familiariser entièrement avec le monde sorcier. Mais il n’avait pas remis le visage de la femme avant maintenant, et il se sentait bête. Mais la sorcière ne semblait pas lui en tenir rigueur non plus.
Elle précisa qu’elle avait entendu parler de sa boulangerie et de sa condition particulière. Jacob avait bien compris que le fait d’être un non sorcier et de « vivre » dans le monde magique faisait forcément de nous une personne particulière. Et que le fait qu’il cherche à ouvrir un établissement de commerce dans le quartier magique ne pouvait que rajouter un peu de la particularité à la situation. Il était particulier, dans tous les cas, parce qu’il n’était pas un sorcier. À choisir, Jacob aimerait bien ne pas juste être particulier, mais il se doutait que ça n’arriverait jamais. En tout cas, la ministre de la magie était là dans le but de faire sa connaissance, mais surtout de lui exprimer en personne son soutien.
« Oh ?! » Jacob ne put s’empêcher d’exprimer la surprise en entendant les propos de la sorcière. Non pas qu’il soit si choqué que cela que la ministre en personne soutienne son projet, mais ce n’était clairement pas les mentalités qu’il avait connu de l’autre côté de l’océan. Quand on empêchait les no-maj et les sorciers de se côtoyer, de s’aimer. « Merci beaucoup Madame. » Répondit-il alors, dans toute la sincérité qu’il était capable. « C’est un vrai plaisir pour moi de savoir que vous nous soutenez dans cette affaire. »
Il ne disait pas « me », puisqu’il était évident que ce projet était tout aussi l’œuvre de Queenie à ses yeux que le sien. Bon, la boulangerie, c’était pour lui. Mais c’était parce que la sorcière était présente qu’il le faisait, qu’il pouvait envisager que ça marche.
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Wilhelmina Tuft
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Lun 30 Juil - 9:13
« Oh ?! Merci beaucoup Madame. C’est un vrai plaisir pour moi de savoir que vous nous soutenez dans cette affaire. »
L’homme était poli, sympathique, jovial, autant de qualités que Wilhelmina appréciait et avait souvent du mal à trouver chez ses pairs en dépit de ses efforts pour elle-même se montrer sinon sympathique, du moins cordiale avec tous ses interlocuteurs, même ceux qui lui inspiraient le plus d’animosité (on pouvait sans doute la taxer d’hypocrite pour cela, mais la ministre préférait se considérer comme diplomate – la moindre des choses dans son métier).
En tout cas, il ne lui faisait pas regretter son choix d’être venu le voir pour encourager et soutenir son entreprise. Elle ne pouvait bien évidemment se permettre d’aller à la rencontre, à titre personnel, de n’importe quel commerçant qui passait le pas de sa porte, cela lui demanderait beaucoup trop d’efforts et un temps qu’elle ne possédait pas, mais le cas de Jacob Kowalski et de sa boulangerie était particulier.
L’homme faisait preuve d’une gratitude sincère, alors même que la ministre ne s’était jamais que contentée, pour le moment, d’aller à sa rencontre, sans rien lui promettre d’autre que son soutien (ce qui voulait tout et rien dire, bien sûr, car du soutien, cela pouvait être tout et rien en même temps). Il était temps qu’ils discutent plus avant.
"Quand je parle de soutien, je précise que le ministère pourrait être à même de vous accorder des subventions, si vous deviez en avoir la nécessité financière", ajouta-t-elle afin de se montrer un peu plus précise.
Puis elle poursuivit quelques instants plus tard.
"Alors, parlez-moi de votre boulangerie, comment va-t-elle se présenter ? Qu’avez-vous mis en place en termes de… protection ?"
Elle ne voulait pas sembler trop directe, mais la question lui paraissait malgré tout importante, et à ne pas négliger. Après tout, un moldu qui montait un commerce, quel qu’il soit, en plein milieu de Pré-au-Lard, cela pourrait bien susciter de nombreuses controverses et créer certains… esclandres. Il fallait donc être paré à l’éventualité que les choses puissent, eh bien, mal tourner.
Et c’était surtout à ce titre que Wilhelmina souhaiterait que le ministère injecte quelque gallions afin de faire peser cette protection ministérielle dans la balance. Rien n’indiquait que ce serait suffisant, mais ce serait en tout cas un début, et le mieux que la ministre ait à proposer pour le moment.
Jacob Kowalski
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Mer 3 Oct - 18:37
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
Avoir le soutien de la Ministre de la magie anglaise était vraiment quelque chose d’incroyable pour Jacob. C’était juste dingue, le no-maj ne s’était pas du tout attendu à avoir une telle visite et surtout un tel soutien. Bon, d’accord, Wilhelmina Tuft s’était contentée de lui dire qu’elle le soutenait, qu’elle soutenait son projet, ce n’était donc pas grand-chose, mais ça suffisait pour Jacob. En fait, il ne s’attendait pas spécialement à plus que ça, en dehors du fait donc que la Ministre de la magie en personne vienne le voir pour lui dire qu’elle approuvait son projet et sa future boutique. Mais c’était sans aucun doute parce que Jacob ne s’attendait pas forcément à avoir de l’aide de grande monde, puisqu’à l’époque on ne pouvait pas dire qu’il avait été grandement soutenu. La banque n’avait pas jugé bon de l’aider à financer sa boulangerie et il était évident que le no-maj n’aurait pas réussi à lancer sa boulangerie sans le coup de main de Norbert qui n’était pas un simple coup de main. Donc oui, le boulanger ne pouvait pas nier le fait qu’il ne s’attendait pas à ce que la femme lui offre autre chose, mais il se trompait.
Parce qu’elle ne manqua pas de préciser que quand elle parlait de soutien, c’était surtout un soutien financier, des subventions. Jacob n’en revenait pas d’entendre de telles paroles, c’était juste incroyable. Il n’y avait pas à dire, ce monde magique était juste incroyable. Bon, il ne pouvait pas réellement comparer sa situation actuelle à celle qu’il avait quand il avait ouvert sa première boulangerie, parce que mine de rien au niveau financier le boulanger avait quand même quelques réserves depuis la vente de son établissement de New-York.
« Oh, je vous remercie vraiment ! » Dit-il alors ne parvenant pas à cacher le fait qu’il appréciait beaucoup les propos de la femme sous ses yeux et qu’il était juste heureux d’avoir le soutien du ministère de la magie.
De toute façon, rien que le fait que le ministère accepte le fait qu’il puisse ouvrir un établissement dans le village sorcier alors qu’il n’était qu’un no-maj (même si Queenie était une sorcière et qu’elle était avec lui évidemment), c’était déjà incroyable. La femme ne manqua pas de le questionner sur ce qu’ils avaient prévu en terme de protection. Elle lui demanda comment allait se présenter sa boulangerie, mais Jacob tiltait surtout sur la deuxième question, qui le mettait un peu mal à l’aise pour le coup.
« Eh bien, concernant les protections… » Jacob n’avait aucune envie de perdre de sa confiance, mais quand même ce n’était pas rien. « C’est ma fiancée Queenie Goldstein qui s’occupe de tout ce qui est… magique. » Jacob marqua une pause avant d’afficher un sourire et de reprendre. « La boulangerie sera un savoureux mélange entre ma maîtrise artisanal et la magie de ma fiancée. »
Oui bon, d’accord, il ne répondait pas vraiment à sa question.
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Wilhelmina Tuft
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Lun 8 Oct - 9:16
« Oh, je vous remercie vraiment ! »
Wilhelmina répondit par un sourire qui voulait dire "Ce n'est rien". Car en effet, ce n'était rien, ou pas grand-chose du moins. Soutenir des projets locaux, symboliques et prometteurs, elle estimait que c'était en partie son rôle. On lui arguerait, évidemment qu'il y avait affaire plus urgente à traiter, mais les petites pierres font les grands édifices, et la ministre avait bien l'intention d'agir sur tous les fronts, dans la mesure de ses compétences.
Le bel enthousiasme du boulanger faisait plaisir à voir, et donnait d'autant plus envie de soutenir son projet, financièrement comme moralement. Il se saisissait, avec force enthousiasme, de toutes les mains tendues avec la motivation des jeunes entrepreneurs qui croient dur comme fer au succès de leur commerce (mais Jacob n'était pas un jeune entrepreneur, il n'avait plus vraiment de preuves à faire dans ce domaine, c'était là une différence notable).
« Eh bien, concernant les protections… »
Wilhelmina eut le sentiment que Jacob s'était légèrement rembruni, et elle songea qu'elle aurait sans doute dû présenter les choses d'une manière un peu moins directe. Le but n'avait pas été de mettre son interlocuteur mal à l'aise ou de lui mettre la pression, mais elle considérait que c'était là un point important, tout sauf négligeable, auquel il fallait s'intéresser de très très près.
Malgré tout, il accepta de lui répondre. Enfin... de lui répondre... Elle sentait bien qu'il contournait un peu le sujet.
« C’est ma fiancée Queenie Goldstein qui s’occupe de tout ce qui est… magique. La boulangerie sera un savoureux mélange entre ma maîtrise artisanal et la magie de ma fiancée. »
Même quand il l'évoquait, les sentiments que le Moldu nourrissait pour sa fiancée étaient flagrants... C'était beau à entendre, quelque part, et quand il en parlait comme cela, difficile de ne pas avoir d'autant plus envie de le soutenir.
Il était rassurant de savoir qu'une sorcière était à ses côtés et partageait ce projet... Seul face à l'adversité, la boulangerie de Jacob n'aurait peut-être pas fait long feu. Là, ses chances étaient un peu plus grandes.
Mais la réponse n'était pas suffisamment précise pour que la ministre la considère comme suffisante.
"Je ne veux pas vous alarmer, mais je dois m'assurer que les sorts de protection mis en place sont véritablement suffisant. Malheureusement, votre projet risque de rencontrer quelques détracteurs."
Jacob Kowalski
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Lun 17 Déc - 21:31
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
Jacob n’était clairement pas le plus doué quand il était question de parler de magie, heureusement qu’il ne s’en sortait en général pas trop mal quand il parlait avec une autre personne. Quand bien même, ce n’était pas rien la conversation qu’il était en train d’avoir actuellement. Parce que mine de rien, il se retrouvait quand même en compagnie de la ministre de la magie anglaise, ce n’était pas rien, Jacob avait parfaitement conscience qu’il était devant une haute figure politique. Et il appréciait d’autant plus sa visite qu’il comprenait qu’elle était là avec une envie de le soutenir, avec l’envie d’approuver leur projet. C’était quand même agréable pour Jacob, vraiment. Quand bien même, il était évident qu’il devait rendre des comptes quand même.
En therme de protection, par exemple. Jacob ne savait pas réellement ce que Queenie avait fait. Bon, il avait compris plus ou moins ce qu’elle avait fait, mais il ne pourrait pas dire à la sorcière sous ses yeux ce qu’elle avait fait dans les détails. Et visiblement, la femme avait envie d’avoir plus de détail. En tout cas, elle affirma qu’elle voulait s’assurer que les protections misent en place étaient suffisante, afin de justement s’assurer que les contestations que la boulangerie allait rencontrer n’allait pas provoquer de désastre.
« Oh vous savez, vous ne m’alarmez pas du tout. » Répondit-il, dans le but de rassurer la femme sous ses yeux. « J’ai parfaitement conscience que nous risquons d’avoir beaucoup d’ennemis. J’ai même eu l’occasion d’en rencontrer déjà. » Il avait rencontré des mages noirs assez souvent dans sa vie, mine de rien. Bon, quand il était entré si vivement dans le monde magique, il avait quand même eu l’occasion de rencontrer un des grands sorciers noirs de l’histoire. Il avait quand même pris la peine de se renseigner un minimum sur le monde magique et son histoire. Et même depuis qu’il se trouvait en Angleterre, avec la soirée d’Halloween, il avait eu l’occasion réellement de rencontrer des mages noirs. « Nous ne prenons pas du tous à la légère, je sais que ma fiancée fait en sorte qu’il n’arrive rien à notre boutique. »
Même si ça n’allait peut-être pas être suffisant et que pour être tranquille, ils devraient peut-être se contenter de faire cette boulangerie en dehors du monde magique. Mais ils n’avaient aucune envie de se retenir, de s’empêcher de faire quelque chose sous prétexte que tout le monde ne pensait pas de la même manière, qu’une poignet de personne avait décidé que les no-maj ne pouvaient pas faire parti du monde des sorciers.
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Wilhelmina Tuft
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Ven 21 Déc - 8:42
« Oh vous savez, vous ne m’alarmez pas du tout. »
Et ça avait l’air d’être le cas en effet. Et Wilhelmina ne pouvait qu’admirer l’enthousiasme et l’optimisme de son interlocuteur. C’est un fait qu’il ne paraissait pas le moins du monde alarmé par la situation. Même s’il avait l’air malgré tout d’en avoir conscience.
C’était certainement la meilleure attitude à adopter dans les circonstances où il se trouver. Il ne servait à rien de paniquer et de s’empêcher de réaliser ses projets au nom de craintes qui peut-être ne se réaliseraient pas. Wilhelmina était d’avis qu’il fallait toujours aller au bout de ses ambitions. En même temps, si ses ambitions devaient être autres, elle ne serait pas devenue ministre de la Magie.
Et Jacob Kowalski avait raison de ne pas s’alarmer davantage, car la ministre comptait bien faire tout ce qu’il faudrait pour que cet endroit ne subisse les foudres d’aucun détracteur… même s’il n’était évidemment pas simple de promettre ce genre de choses, même avec la meilleure volonté du monde.
« J’ai parfaitement conscience que nous risquons d’avoir beaucoup d’ennemis. J’ai même eu l’occasion d’en rencontrer déjà. »
Wilhelmina fronça les sourcils. Elle n’aimait pas entendre ce genre de choses, mais une fois encore, son interlocuteur avait l’air de le prendre avec philosophie malgré tout. L’homme était vivant et en un morceau, alors la ministre se permettait de croire qu’il n’avait que subi des menaces verbales. C’était déjà beaucoup trop, bien évidemment, mais quand même toujours mieux que s’il s’était réellement attiré la foudre de mages noirs.
En tout cas, elle espérait que les ennemis en question se tiendraient tranquilles et trouveraient mieux à faire que de saccager une boulangerie. Malheureusement, à certains, il ne fallait pas trop en demander… la bêtise humaine ne rencontrait malheureusement que très peu de limites.
« Nous ne prenons pas du tous à la légère, je sais que ma fiancée fait en sorte qu’il n’arrive rien à notre boutique. »
Elle hocha la tête. Cela ne l’aidait pas davantage à savoir les mesures réelles qui avaient été prises pour prévenir d’une éventuelle attaque, mais au fond, peut-être son interlocuteur n’était-il pas à même de tout lui décrire. Ce n’était pas simple d’évoquer toutes ces sortes de sortilèges quand on n’en avait pas soi-même l’usage.
"Je ne doute pas qu’elle ait eu à cœur de protéger la boutique, mais je veux tout de même m’assurer qu’aucun détail n’a été omis. Seriez-vous capable de me parler des sortilèges qu’elle a utilisés pour sécuriser les lieux ?"
Jacob Kowalski
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Lun 4 Mar - 14:19
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
Jacob ne pouvait pas nier qu’il appréciait vraiment de voir cette femme, qui était quand même la ministre de la magie du monde magique, l’équivalent de la présidente du MACUSA, affirmer qu’elle avait à cœur la protection de la boulangerie. Le no-maj savait bien que dans ce pays, les personnes comme lui n’étaient pas aussi isolé. Que rien n’empêchait un sorcier de vivre avec un non sorcier, que rien n’interdisait à cette boulangerie de voir le jour dans un village sorcier. Mais quand même, avoir le soutien du gouvernement magique, c’était quand même bien mieux que cela. Le no-maj appréciait vraiment le soutien de cette femme, même si elle le mettait un peu au pied du mur.
Parce qu’elle était quand même à cœur de s’assurer de la protection de la boulangerie, mais Jacob ne savait pas vraiment comment répondre complètement aux propos de son interlocutrice. Parce que c’était Queenie qui s’était chargée et même si forcément, le no-maj était plus qu’intéressé par tout ce que sa fiancée faisait et tout ce qui concernait sa boulangerie, on ne pouvait pas dire qu’il était le plus doué quand il était question de parler de magie. Quand Queenie pourrait, sans aucun doute, donner le nom de ces sorts sans aucun souci, lui il n’en était pas capable. Alors que la ministre de la magie le lui demandait quand même.
« Eh bien… malheureusement, je ne pourrais pas réellement vous dire quel sort elle a utilisé. » Jacob se sentait mal de ne pas pouvoir répondre à la question de la femme sous ses yeux. Non pas qu’il puisse considérer que c’était quelque chose de vraiment mauvais non plus, il se disait qu’il n’y avait pas mort d’homme tout simplement. Mais en même temps, Jacob regrettait vraiment de ne pas avoir de meilleure connaissance de la magie. Il avait envie d’avoir bien plus de connaissance et même s’il apprenait beaucoup, il avait encore beaucoup trop de chose à apprendre. « Mais je peux lui demander, vous faires une liste si vous voulez. » Parce que clairement, Jacob avait vraiment envie de parvenir à répondre à la requête de son interlocutrice. Il avait envie de prouver à la ministre de la magie qu’il prenait vraiment la situation à cœur, qu’il avait conscience qu’il devait quand même protéger sa boulangerie parce qu’il savait parfaitement que tout le monde n’allait pas apprécier ce qu’il était en train de créer. Il voulait prouver qu’il avait bien conscience de la menace, quand bien même il ne se retenait pas non plus de suivre son projet et surtout de suivre son rêve. Il avait envie d’aller au bout, il avait envie de prouver qu’il se donnait les moyens d’aller au bout. « J’ai encore… quelques lacunes quand il est question de la magie. »
Mais il espérait quand même parvenir à en apprendre le plus possible. L’homme apprenait beaucoup sur les créatures au contact de celle de Norbert après tout, il n’y avait aucune raison qu’il n’apprenne pas à côté non plus.
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Mar 5 Mar - 10:37
« Eh bien… malheureusement, je ne pourrais pas réellement vous dire quel sort elle a utilisé. »
La ministre n'était pas réellement surprise par la réponse de son interlocuteur, elle se doutait qu'il ne devait pas être simple, quand on n'était pas un sorcier expérimenté, d'assimiler tous le vocabulaire et toutes les subtilités d'un monde duquel on l'avait tenu à l'écart de nombreuses années durant, pour ne pas dire presque toute sa vie.
Alors elle se doutait un peu de ce que serait sa réponse, et ce n'était pas grave. Même s'il avait été à même de lui citer quelques noms de sortilèges, Wilhelmina se serait tout de même tourné vers la compagne du Moldu pour disposer de plus amples et précises informations. Cela n'avait rien d'urgent quoi qu'il en soit, tant que le commerce des Kowalski n'était pas ouvert, Wilhelmina estimait que les risques de sabotage restaient minime. En revanche, par la suite, le couple devrait se montrer constamment vigilant. C'était malheureux que de devoir en arriver là, mais dans le climat actuel, c'était nécessaire.
« Mais je peux lui demander, vous faires une liste si vous voulez. »
"Ce serait bien aimable de votre part", répondit la ministre dans un hochement de tête agrémenté d'un sourire.
Elle ne voulait pas mettre une pression inutile sur le dos de ce couple, elle estimait seulement nécessaire de soutenir les projets qui avaient les meilleures raisons de l'être, et en l'occurrence, elle n'hésiterait certainement pas à faire ce qu'il fallait pour cela. Cela faisait partie d'une politique plus globale d'apaisement, et c'était une démarche à laquelle elle tenait.
Ceci dit, il n'y avait évidemment pas le feu au lac, et nul besoin de se précipiter. Tant que son interlocuteur avait bien conscience du soutien que le ministère comptait lui apporter, alors c'était déjà, en soi, une excellente chose.
« J’ai encore… quelques lacunes quand il est question de la magie. »
Elle hocha la tête, compréhensive, c'était normal. Pour sa part, et pour s'assurer la meilleure compréhension du climat politique global dans lequel elle baignait, elle s'efforçait d'en savoir au maximum sur les Moldus, ne serait-ce que pour que ses entretiens avec le premier ministre moldu britannique se déroulent avec une relative aisance. Pourtant, elle serait loin de s'estimer experte en ce qui concernait les Moldus. On avait constamment de nouvelles choses à apprendre, toujours.
"C'est tout à fait normal. Mais je suis convaincue que vous apprendrez très vite. Je ne vous imagine aucune difficulté à vous intégrer."
Jacob Kowalski
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Jeu 23 Mai - 20:02
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
Jacob hocha de la tête quand la femme sous ses yeux affirma que ça serait bien aimable de sa part qu’il demande à sa fiancée de lui fournir une liste des sortilèges qu’elle avait mis en place d’ores et déjà autour de leur boulangerie. Il avait l’intention de demander dès que possible la liste à Queenie, il n’avait pas spécialement besoin de faire attendre la ministre de la magie, même s’il se doutait qu’ils n’étaient pas pressés à la minute non plus. En tout cas, Jacob avait bien l’intention de répondre à la requête de la femme, c’était quand même de bon ton pour lui. Parce qu’il était question de sa sécurité, de celle de Queenie, de celle de la boulangerie. Même si la boulangerie n’était qu’un bâtiment, le no-maj avait quand même investi toutes ses économies. Il n’avait aucune envie de la perdre, mais principalement, il n’avait pas envie qu’il arrive quoi que ce soit à sa fiancée et à son fils. Alors, comme ils tournaient tous un peu autour de tout ça, c’était important qu’ils soient bien protégés.
Le boulanger afficha un nouveau sourire quand la ministre affirma que c’était normal qu’il soit un peu perdu. Même s’il tentait d’en apprendre le plus possible – et il y avait du monde pour le lui apprendre –, il avait encore énormément de therme, de sortilège. La femme sembla convaincue en tout cas qu’il allait y arriver, parce qu’il semblait être une personne sociable, qui n’avait pas de souci à s’intégrer. Mine de rien, les compliments de cette inconnue ne manquaient pas de lui faire grandement plaisir.
« J’essaie en tout cas. On m’aide beaucoup. »
Et c’était le cas, Queenie faisait tout pour qu’il soit le plus intégré possible, tout comme Norbert qu’il continuait d’aider avec ses créatures. Ses proches ne manquaient pas de tenter du mieux qu’il pouvait de tout lui apprendre et lui… eh bien, il faisait un peu comme d’habitude. En soit, il n’avait jamais eu de mal à se rapprocher des autres, à se faire des amis, des connaissances. La preuve avec son meilleur ami, qui ne manquait pas de l’être devenu très rapidement. Avant qu’il ne l’oublie bien évidemment, mais ça faisait parti du passé, depuis il avait largement eu le temps de retrouver la mémoire.
« J’espère que j’aurais l’occasion de vous revoir entrer dans cette boutique en tant que cliente. » Affirma-t-il alors, sans perdre le grand sourire qui s’était affiché sur son visage.
Si la ministre de la magie en personne venait chez lui dans le but de consommer ses pains et ses pâtisseries, ça ne pouvait que lui faire une bonne publicité après tout. Dans tous les cas, le no-maj avait conscience que le simple fait d’avoir le soutien du gouvernement (ou une partie du gouvernement, il se doutait que tout le monde n’appréciait pas forcément les décisions de la ministre de la magie), c’était forcément une bonne chose pour son commerce.
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Dim 26 Mai - 19:41
« J’essaie en tout cas. On m’aide beaucoup. »
Wilhelmina afficha un sourire entendu. Elle n'en doutait pas un seul instant. La ministre se doutait que pour mener à terme un tel priojet, il fallait qu'il soit effectivement bien entouré, et c'était évidemment le cas.
Le fait que cet entourage soit familier de Wilhelmina encourageait d'ailleurs cette dernière à se ranger du côté de son interlocuteur et à lui faire confiance. Ce n'était peut-être pas chose à dire mais il est vrai qu'elle lui aurait peut-être moins facilement accordé sa bénédiction s'il avait surgi de nulle part et s'il n'était pas un grand ami des Dragonneau, famille de sorciers dont la réputation n'était plus à faire (et à laquelle Wilhelmina était bien plus liée que ce qu'elle daignait prétendre au passage).
Alors oui, tout devrait bien se passer, et Wilhelmina ferait ce qu'il faudrait pour que tout se passe bien. Elle avait certes affaires plus urgente à régler, mais elle savait très bien reconnaître une situation sujette à conflits quand elle en voyait une. Par conséquent, elle se devait d'y garder un oeil. Pour Mr Kowalski, bien évidemment, mais pas seulement... pour la communauté magique tout autant, qu'elle devait préserver d'un esclandre que personne ne devrait avoir à gérer en aucune manière.
« J’espère que j’aurais l’occasion de vous revoir entrer dans cette boutique en tant que cliente. »
"Je n'y manquerai pas", assura la ministre avec sincérité.
Elle avait d'autres priorités bien sûr, et il était bien plus probable qu'elle mandate quelqu'un pour faire ses courses auprès du boulanger en son nom, mais il était tout de même vrai que sa curiosité à l'adresse de ce commerce en création était sincère, et elle espérait soutenir un projet qui en valait effectivement la peine...
Pas qu'une boulangerie de bas étage mérite plus de se faire saccager qu'une boulangerie de haute qualité, mais tout de même, la qualité n'était jamais un bas critère, ou en tout cas ne l'avait-il jamais été aux yeux de la ministre.
"Je suppose que vous n'avez pas d'échantillon à me faire découvrir dans l'immédiat ?"
Eh bien quoi ? Il fallait bien qu'elle bénéficie quelquefois des privilèges liés à son statut. Et puis, Wilhelmina était une gourmande, même si cette gourmandise était un peu mise à mal par quelques allergies mortelles.
Jacob Kowalski
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Jeu 22 Aoû - 16:03
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
JJacob afficha un sourire quand la ministre de la magie affirma qu’elle ne manquerait pas l’occasion de revenir en tant que cliente. Le jeune homme avait bien envie qu’elle revienne en effet une fois que la boulangerie sera ouverte, histoire de profiter de son commerce. Même si ce n’était pas non plus forcément nécessaire, ça lui ferait vraiment plaisir. Dans tous les cas, le no-maj se sentait vraiment bien d’être soutenu par la haute autorité du monde magique. Il avait conscience que tout n’allait pas forcément être simple dans le futur, qu’on risquait de s’en prendre à son commerce, qu’on allait lui reprocher de ne pas être un sorcier, mais en même temps ça ne changeait rien à ce qu’il ressentait depuis qu’il avait posé les pieds pour la première fois en Angleterre. Il se sentait enfin à sa place, auprès de sa famille, auprès des personnes qui comptaient pour lui. Il avait donné un sens à sa vie et il n’avait aucune envie de la changer. Elle était parfaite telle qu’elle était, même si certaine personne aurait des choses à redire.
Quand la ministre lui demanda s’il n’avait pas d’échantillon, par hasard, Jacob ne se retint pas d’afficher un nouveau sourire.
« Ça tombe bien, justement, j’en ai en réserve. Je tentais une nouvelle recette. » Parce que les anglais et les américains n’avaient pas vraiment les mêmes goûts, en plus d’avoir travaillé auprès de non sorcier, et maintenant auprès de sorcier. Bref, il faisait pas mal d’essai, maintenant que les travaux avaient suffisamment avancé pour qu’il puisse se le permettre. Après tout, il fallait quand même qu’il soit prêt pour le jour de l’ouverture de sa boulangerie.
L’homme s’absenta une seconde, parti chercher ses essais dans l’arrière-boutique, avant de revenir rapidement avec un plateau où se trouvait diverses pâtisseries. Ce n’était pas une mauvaise chose pour lui d’avoir l’avis d’une potentielle future cliente, au contraire. Oh, il avait évidemment confiance dans l’avis de ses proches, mais mine de rien il avait besoin de tous les avis possibles.
« Je vous en prie, j’espère qu’ils seront à votre goût. »
Ce n’était pas grand-chose en soit, mais c’était déjà des essais tout de même. Il était fort possible que certaine chose soit à changer dans sa recette, mais en même temps Jacob commençait quand même à avoir pas mal de bouteille. En tout cas, il avait simplement besoin de l’avis de la femme sous ses yeux et il espérait vraiment que ça allait la convaincre, parce que tant qu’à faire le boulangerie aimerait bien que la ministre de la magie ne se contente pas d’approuver l’association no-maj/sorcier, mais qu’elle approuve également ses talents de boulanger.
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Mar 27 Aoû - 13:05
« Ça tombe bien, justement, j’en ai en réserve. Je tentais une nouvelle recette. »
Wilhelmina accueillit la nouvelle avec un grand sourire. C'était quelque chose qui ne se voyait peut-être pas, d'autant moins que la ministre avait déjà perdu plus de cinq kilos depuis les débuts de son mandat (le stress faisait des ravages sur le corps), mais elle avait toujours été quelqu'un de gourmand. Peut-être pas une bonne vivante au sens le plus strict du terme, mais elle savait tout de même apprécier les bonnes choses, et elle se disait que pour la peine, cette visite qui restait très officielle quoiqu'agréable pouvait bien se solder par un petit gueuleton.
Le boulanger s'absenta un instant, et la ministre attendit patiemment. L'homme revint avec plusieurs patisseries disposées sur un plateau. De quoi la faire saliver. En termes de présentation, déjà, ses créations étaient alléchantes, restait à voir le reste, maintenant. Et Wilhelmina n'allait pas vraiment se priver de se faire plaisir.
« Je vous en prie, j’espère qu’ils seront à votre goût. »
Elle ne pouvait pas le garantir avant d'y avoir goûté, mais d'aspect déjà, elle était convaincue que oui. Elle mit la main sur une première friandise. La prudence voudrait peut-être qu'elle ne se précipite pas. Ce serait stupide de se laisser bêtement empoisonner, pas vrai ? (Hum...) Mais elle ne s'imaginait pas du tout son interlocuteur lui vouloir du mal. Et puis, c'était elle qui avait orchestré cette visite, il ne s'était pas attendu à sa venue.
Elle mordit donc dans cette première pâtisserie, et en toute objectivité, c'était vraiment excellent. Si toutes ses créations étaient à la hauteur de celles qu'elle savourait, l'avenir de Jacob Kowalski et de son commerce étaient garantis... enfin, pour peu qu'ils sachent tenir à l'écart les sorciers les plus extrémistes... mais la ministre avait fait une promesse à Jacob, et elle avait la ferme intention de la tenir.
"C'est vraiment délicieux. Vous avez du talent." Elle marqua une légère pause. "Je crois que j'ai de bonnes chances de m'être trouvée une nouvelle adresse de prédilection." Elle se permit de mordre dans une nouvelle patisserie. Ce n'était pas réellement raisonnable. Mais peu importe. Après tout, si Jacob la voulait juge de ses dernières compositions, ce n'était pas elle qui allait se faire prier pour se plier à l'exercice.
Jacob Kowalski
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Sam 28 Déc - 16:04
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
Puisque le jeune homme avait justement des pâtisseries « sur le feu », autant qu’il en profite pour en faire goûter à la femme qui se trouvait sous ses yeux. Jacob était définitivement emballé par le fait que la ministre de la magie en personne prenne la peine de venir dans son commerce, dans le but de voir ce que ça pouvait donner et aussi pour s’assurer que tout était bel et bien en place. Jacob appréciait sincèrement d’avoir le soutien de la femme, il avait conscience de la chance que c’était quand même d’avoir une telle chance. Parce que ce n’était pas rien, parce que son commerce n’était pas forcément bien vu par tout le monde. Mais si le gouvernement était de son côté, ça allait forcément être une bonne chose.
Et si la ministre pouvait apprécier ses pâtisseries, ça allait être encore mieux. Le jeune homme observa avec un certain stresse tout de même la femme sous ses yeux prendre une première pâtisserie dans le but d’en mordre une première bouchée et d’y goûter. Jacob avait envie que ça lui plaise quand même, parce que ça allait prouver le fait qu’il avait sa place dans le village sorcier, que ce qu’il faisait en valait la peine. La femme finit par affirmer que c’était vraiment délicieux et qu’il avait du talent. Le jeune homme afficha un grand sourire, appréciant évidemment le compliment. Oh, il savait qu’il avait quand même un peu de talent, sa boulangerie à New-York marchait quand même très bien. Cela dit, c’était quand même toujours plaisant de pouvoir recevoir des compliments, d’entendre quelqu’un affirmer qu’on avait du talent. Et encore plus entendre la femme précisant qu’elle avait de bonnes chances d’avoir trouvé une nouvelle adresse de prédilection.
« Vous n’imaginez pas à quel point vos compliments me font plaisir. » Le jeune homme n’avait aucune envie de cacher le fait qu’il appréciait sincèrement d’entendre ce genre de compliment. « J’espère que je saurais être à la hauteur de vos attentes. » Ajouta-t-il, une nouvelle fois sincèrement. Si la ministre de la magie venait souvent chez lui pour se procurer du pain et des pâtisseries, ça sera forcément une bonne réussite quand même. Et la preuve que son commerce avait vraiment toute sa place ici. « Je vous garderez de côté tout ce dont vous aurez besoin. »
Histoire de préciser à la femme qu’elle serait une cliente privilégier. Oh, Jacob n’avait pas spécialement envie d’être le genre de personne à lécher… allègrement le cul des hautes autorités, mais ça n’enlevait pas le fait qu’il avait vraiment l’intention de réserver des privilèges à la femme sous ses yeux. Pour la simple et bonne raison qu’il la soutenait alors que beaucoup aurait pu se contenter de lui tourner le dos.
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Jeu 2 Jan - 12:30
« Vous n’imaginez pas à quel point vos compliments me font plaisir. »
Wilhelmina afficha un fin sourire. Elle n'était pas le genre de personne à dispenser des compliments à la légère. Si elle s'exprimait en ces termes, c'était qu'elle le pensait véritablement. Elle n'avait aucune raison de brosser son interlocuteur dans le sens du poil, d'autant qu'elle savait parfaitement quels problèmes l'installation d'un commerce moldu (ou en partie moldu) pourrait engendrer au sein de la communauté sorcière.
Adresser son soutien à Jacob Kowalski, c'était un acte profondément et résolument symbolique. Le fait que les pâtisseries de Kowalski soient, en plus du reste, savoureuses au possible, c'était un bonus, et qui l'arrangeait bien, car même si elle n'en donnait pas l'air, avant tout parce que stress et appétit ne faisaient pas forcément bon ménage et que Wilhelmina était sous pression constante, elle était gourmande et appréciait les bonnes choses.
"Je ne demande pas de traitement de faveur", répondit Wilhelmina avec un léger sourire, même si elle ne pouvait nier apprécier bénéficier de ses avantages - qui n'étaient pas grand-chose en comparaison d'une floppée d'inconvénients qui accompagnaient sa puissante carrière politique.
En l'occurrence, obtenir des viennoiseries à profusion sous le prétexte d'être ministre lui semblait tout de même être un avantage qu'elle pourrait difficilement refuser avec mauvaise foi.
"Mais avec de tels pâtisseries, vous êtes mieux susceptible de me soudoyer que n'importe qui."
Une fois encore, elle n'en rajoutait pas, elle exprimait simplement le fond de sa pensée avec humour. Elle avait l'intuition que son interlocuteur, de bonne constitution, ne prendrait pas ses traits d'esprit trop au sérieux. Rares étaient les personnes avec lesquelles elle pouvait s'autoriser un naturel moins sévère et protocolaire, alors quand l'occasion se présentait, elle la saisissait.
Tout en sachant toutefois qu'elle ne devait pas s'y risquer trop souvent, car n'importe quel propos pouvait être rapporté et déformé, même la remarque la plus anodine. Une remarque comme celle-ci, et on lirait le lendemain dans la presse que la ministre de la Magie acceptait les pots-de-vin. Là, elle ne pensait pas prendre beaucoup de risques, certes, mais sait-on jamais.
"Vous avez déjà fixé la date de l'inauguration ?" demanda-t-elle alors pour revenir à quelque chose de plus concret et de plus pragmatique.
Jacob Kowalski
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Ven 1 Mai - 13:17
Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre.
La ministre de la magie lui affirma qu’elle ne demandait aucun traitement de faveur, mais qu’avec ses pâtisseries il était mieux placé que d’autre pour la soudoyer. L’homme accueillit cette remarque dans un sourire. Il n’imaginait pas une seule seconde en profiter pour la soudoyer, Jacob était quelqu’un de beaucoup trop honnête pour oser espérer ce genre de chose. Même s’il avait fréquenté une sorcière alors que c’était interdit dans les lois du monde magique aux États-Unis, il n’était pas réellement le genre de personne à aller à l’encontre des lois. Il n’allait donc chercher à la soudoyer avec ses pâtisseries, même si clairement il espérait qu’elle allait continuer de les soutenir dans leurs démarches.
Jacob avait conscience qu’ils avaient quand même besoin du soutien des plus hautes autorités de la société magique, parce que leur installation n’allait clairement pas plaire à tout le monde. Si la ministre en personne les soutenait, c’était quand même un bon point pour eux. Elle le faisait d’ores et déjà avant d’avoir goûté à ses créations, mais si en prime elle appréciait réellement ce qu’il faisait, c’était encore mieux.
« Je m’y abstiendrais, je me contenterais de vous accorder quelques menus traitements de faveur. »
Comme le fait qu’il puisse lui mettre de côté quelques pâtisseries pour qu’elle puisse les récupérer quand elle le pouvait, avec malheureusement l’emploi du temps de ministre qu’elle devait avoir. Ce n’était pas parce qu’elle était la ministre de la magie et qu’il cherchait à ce qu’elle continue de les soutenir qu’il proposait ça, c’était simplement parce qu’elle lui était une personne fort sympathique. Même si forcément, le boulanger ne pouvait pas non plus nier le fait que ça pouvait très bien aider ses affaires.
« La date peut être soumise à modification, cela va beaucoup dépendre de l’avancée des travaux, mais nous partons pour le moment sur une ouverture début mai. » Et aux yeux de Jacob, ça commençait à être long. Bon, en même temps, c’était aussi un souci, puisqu’il avait envie que tout soit parfait. Sa boulangerie marchait bien aux États-Unis, il avait eu un commerce prospère pendant de nombreuses années, il espérait que ça allait être le cas ici aussi, même s’il avait conscience qu’il partait quand même avec un sacré handicap. Simplement parce qu’il était un moldu, qu’il n’était pas un sorcier et qu’il ouvrait un commerce dans un village sorcier. Il avait donc envie que tout soit parfait, même s’il avait conscience que ce n’était pas possible. Et certaines choses avaient pu retarder un peu les choses, mais ça allait le faire, début mai Jacob avait bon espoir de pouvoir ouvrir la boulangerie. « Je vous préviendrais directement de la date d’ouverture si vous le souhaitez. »
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob) Dim 3 Mai - 11:35
« Je m’y abstiendrais, je me contenterais de vous accorder quelques menus traitements de faveur. »
Wilhelmina adressa à Jacob un léger sourire de connivence. Elle n'estimait pas être une femme corruptible, et elle faisait tout son possible pour ne rien perdre de son sens moral depuis qu'elle avait atteint le plus haut statut du système politique sorcière. Il n'était pas toujours si simple d'y voir clair, entre manipulations, ronds de jambe, pots de vin plus ou moins dissimulés en autres choses et services rendus qui en définitive n'en étaient pas vraiment.
Mais la ministre estimait se rapprocher un maximum de ce qu'elle voulait atteindre d'intégrité. Après, ne pas profiter de son statut dans des situations simples et innocentes serait stupide. En l'occurrence, même si elle ne le connaissait pas très bien, évidemment, la ministre était entièrement convaincue des bonnes intentions de son interlocuteur. Elle ne s'inquiétait pas vraiment de ce qu'il pourrait dire ou faire. Elle songeait seulement à ce que sa gourmandise pourrait avoir de satisfaite en ces circonstances.
« La date peut être soumise à modification, cela va beaucoup dépendre de l’avancée des travaux, mais nous partons pour le moment sur une ouverture début mai. Je vous préviendrais directement de la date d’ouverture si vous le souhaitez. »
Wilhelmina hocha la tête. Ce n'était pas un événement primordial en soi, mais il pourrait bien gagner en importance selon les circonstances, ce n'était pas quelque chose d'anodin, et en affichant directement son soutien auprès de son interlocuteur, la ministre procéderait à un acte politique plus fort qu'il n'y paraît, car elle s'engagerait auprès du soutien et du respect des moldus, de l'amitié et de la collaboration entre les deux mondes. A une époque où l'on massacrait votre famille pour moins de ça, c'était forcément risqué. D'un autre côté, tout devenait risqué, au bout du compte, dangereux dans sa position. Elle le savait, elle l'avait compris et assimilé au moment d'accepter son poste. Il n'était évidemment pas temps de faire marche arrière.
"Très bien, tenez-moi au courant, je ferai au mieux pour être présente", assura-t-elle avec un léger sourire. "Je vais devoir vous laisser, d'autres obligations m'attendent, et je ne doute pas que vous devez avoir fort à faire également." Elle lui tendit la main pour qu'il puisse la serrer. "J'ai été ravi de faire votre connaissance, monsieur Kowalski."
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#Sujet: Re: Du pain en temps de paix est meilleur que du gâteau en temps de guerre. (Jacob)
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