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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Jeu 21 Mar - 11:02
Interview en charmante compagnie
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Les choses se passaient plutôt bien, ou du moins, elles continuaient de bien se passer. Au moins, il n’avait pas changé de comportement dès lors qu’ils avaient franchi le seuil de son appartement, et c’était un bon constat. Elle le laissa leur servir un verre, de toute manière, elle n’était pas chez elle, et elle n’avait donc rien à faire, si ce n’est patienter et profiter. Elle était persuadée qu’il restait encore beaucoup de choses à découvrir au sujet de Rudolf Brand, pas forcément pour son article, mais aussi pour sa curiosité personnelle. Il fallait de toute façon avoir un minimum de curiosité pour faire le métier de journaliste, et Ines était du genre à tout vouloir savoir sur tout le monde, donc c’était très bien trouvé pour elle.
Mais autant se concentrer exclusivement sur Rudolf pour le moment, surtout que cela lui convenait tout à fait. Ce jeune homme était très plaisant, il le savait en plus de cela. Mais Ines aimait les hommes confiants, conscients de leur charme. Rudolf correspondait tout à fait à ces critères, c’était certain, et il correspondait également à bien d’autres, ce qui n’était pas pour déplaire à la jeune femme, loin de là. Ce n’était pas tous les jours qu’elle se laissait séduire, et elle avait pas mal de prétendants, mais ce n’était pas pour autant qu’ils l’atteignaient tous. Mais Rudolf avait comme un petit quelque chose en plus, qui le faisait se démarquer du lot. Elle n’en oubliait pas Daniel pour autant, mais il était peut-être temps qu’elle tente de passer à autre chose. Après presque deux ans, elle en aurait tous les droits.
-Oui et non, en fait, je n'y vis pas suffisamment souvent pour m'y sentir bien ou mal. Je te fais visiter ?
Ça se tenait. Après tout, il n’était pas anglais, et il ne vivait pas ici. Il était un joueur international, et il devait probablement être souvent en déplacement. Mais cela n’enlevait rien au fait qu’il ait un très bel appartement. Elle savoura tranquillement son breuvage, elle reconnaissait la qualité, et elle était flattée qu’il lui en serve. Même si vue sa renommée, il devait y être habituée maintenant. Mais bon, elle s’en contentait. Ines aussi était habituée au luxe, que ce soit par sa famille ou le monde dans lequel elle évoluait. Elle lui adressa un sourire.
« Pourquoi pas. Tu comptes me le vendre ? »
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Rudolf Brand
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Ven 22 Mar - 18:14
Interview en charmante compagnie
R
udolf afficha un fin sourire, amusé, quand Ines suggéra qu'il avait l'intention de lui vendre son appartement. Il est vrai qu'ils n'étaient pas forcément ici pour commenter la déco ou bien même faire le tour du propriétaire, mais il n'y avait jamais de mal à y mettre les formes, ne serait-ce qu'un petit... encore que trop n'était pas nécessaire. Il se doutait bien qu'elle se ficherait bien d'examiner en détails les différentes pièces de son appartement... Ceci dit, certaines pourraient bel et bien attirer favorablement son attention... et ils pourraient envisager de les investir d'une manière disons... divertissante. En tout cas, Rudolf était parfaitement acquis à cette possibilité.
-C'est une idée, répondit-il, toujours le même sourire aux lèvres.
Evidemment, il ne le pensait pas réellement. Il n'avait bien sûr pas l'intention de vendre cet endroit, ni à Ines, ni à qui que ce soit d'autre... même s'il pourrait sans doute le louer sans souci tant il y avait de place et tant il en était absent, mais passons... Si leur conversation virait au débat sur la hausse du prix de l'immobilier, le jeune homme aurait tout de même la très nette impression d'avoir largement d'avoir manqué son occasion.
-Tout dépendrait du moyen de paiement, je dirais.
Il se rapprocha d'Ines, de sorte à laisser seulement quelques ridicules petits centimètres entre eux, espace qu'il brisa très rapidement pour déposer ses lèvres sur les siennes. Bien sûr, il pourrait encore s'amuser longtemps à tourner autour du pot, mais le fait est qu'ils étaient tous les deux là pour une bonne raison, et il avait eu beaucoup trop envie de goûter à ces lèvres. A ces lèvres et... à tout le reste.
-On peut commencer la visite par ma chambre, mon lit est... très confortable.
On faisait difficilement moins subtil, mais d'un autre coté, ce n'est pas comme s'il y avait vraiment nécessité à jouer trop longtemps celui et celle qui ne savaient pas réellement comment les choses allaient se passer et ce qu'ils attendaient réellement. A moins bien sûr que Rudolf se trompe sur toute la ligne, mais à ce stade, il aurait tout de même du mal à le croire. Il lui arrivait de se prendre des vents - même s'il avait le don de le faire oublier -, mais généralement, les femmes qui l'éconduisaient ne se laissaient pas guider jusque chez lui.
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Ines Stinwick
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Dim 14 Avr - 18:59
Interview en charmante compagnie
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La conversation était plaisante et charmante, et Ines passait un réel bon moment. Bien plus que les quelques rendez-vous qu’elle avait accepté de quelques hommes depuis qu’elle s’était séparée de Daniel. A chaque fois, ses pensées avaient été ramenées vers son ex, et elle n’avait pu s’empêcher de le comparer à ses cavaliers. Mais là, elle ne pensait pas du tout à Daniel, elle arrivait à rester focaliser sur Rudolf, et c’était tant mieux. Elle avait vraiment envie de profiter de ce moment, même s’il était destiné à être éphémère, elle avait d’autant plus envie de vivre ce moment à fond, et ne pas avoir de regrets.
-C'est une idée.
Elle sourit légèrement. Ines savait bien qu’il n’avait aucune intention de lui vendre son appart, et elle n’avait aucune intention de lui acheter de toute manière. Pour Ines, il faudrait sûrement un palais pour la contenter. Elle était comme ça, et elle ne comptait pas changer. Après tout, elle était une véritable princesse, il était donc normal qu’elle demande, ou plutôt exige ce qui lui revenait de droit. Mais ce n’était pas vraiment la question pour le moment. Il était bien plus intéressant de toute manière de se préoccuper de Rudolf.
-Tout dépendrait du moyen de paiement, je dirais.
Elle observa le jeune homme s’approcher, et n’amorça aucun mouvement de recul. Un frisson la parcourra quand il posa ses lèvres sur les siennes, et la jeune femme répondit à son baiser. Elle ne trouva pas que c’était précipité, ou trop rapide. C’était juste le bon moment pour commencer les choses sérieuses, après tout, cela faisait déjà un moment qu’ils enchaînaient les sous-entendus. Et la jeune femme avait à présent envie de plus.
-On peut commencer la visite par ma chambre, mon lit est... très confortable.
Ines eut presque l’envie de rire, mais elle se contenta de sourire avec une lueur malicieuse dans le regard. La façon de dire les choses du sportif amusait beaucoup Ines, et lui plaisait également. Il n’était pas très subtil, et il n’avait pas besoin de l’être. Elle l’embrassa à nouveau puis elle se leva. Elle n’avait aucune idée d’où était sa chambre, et elle n’avait pas envie d’y aller à l’aveuglette, mais autant prendre quelques initiatives aussi. Cela ne ferait pas de mal, au contraire. Elle le toisa doucement d’une œillade quelque peu séductrice.
« D’accord, je te suis. Mais j’espère que tu ne tentes pas d’embellir un peu les choses, je serai très déçue sinon. »
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Rudolf Brand
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udolf pensait avoir suffisamment d'expérience dans ce domaine (et quelle expérience) pour se douter que la situation ne devrait pas échapper à ses attentes, mais tout de même, il aurait toujours été possible que la jeune femme change d'avis ou choisissent de faire marche arrière. Ce ne fut pas le cas. A la place, elle lui rendit son baiser. Elle embrassait bien, elle lui faisait encore plus d'effet à présent que ses lèvres avaient rencontré les siennes. Et il ne demandait qu'à en voir et en sentir davantage, à présent... et Ines paraissait toute disposée à l'exaucer bel et bien.
Elle se leva, l'embrassa de nouveau, il aimait la manière qu'elle avait de prendre des initiatives, il aimait la lueur de désir et de volonté qu'il voyait briller dans son regard. S'il n'était pas tombé sous son charme plus qu'évident dès l'instant où il l'avait vue, il n'aurait p que le faire maintenant.
La demoiselle se rapprochait assez de la perfection, selon ses critères du moins. Bon, ses critères somme toute discutables faisaient que le plus haut degré de perfection que l'on pouvait atteindre à ses yeux portait le nom et le visage de Gwendolyn Morgan, mais en cet instant, la dernière chose qu'il puisse vouloir était de penser à elle.
-Je m'en voudrais beaucoup trop de te décevoir, dit-il avec le sourire.
Il attrapa le poignet et l'entraîna jusqu'à la dite chambre en question. En soi, elle n'avait pas grand-chose d'exceptionnelle, si ce n'est qu'elle était particulièrement spacieuse... et pour la peine, son lit l'était également... L'idéal quand on voulait bénéficier d'une amplitude de mouvement, disons... à la hauteur de son imagination.
Il n'en ajouta pas davantage. A peine eut-il fermé la porte de la chambre derrière eux qu'il s'empara une nouvelle fois de ses lèvres, avec plus de gourmandise encore, avant de les glisser au creux de son cou. Pendant ce temps, ses mains s'appliquaient à parcourir un corps dont il imaginait d'ores et déjà la perfection, une fois débarassé de ses vêtements, par-dessus le tissus de sa tenue.
Il n'était pas nécessaire de se précipiter. Ceci dit, il n'avait pas l'intention de réfreiner ses envies pour autant, surtout si ces dernières entraient en correspondance avec celles de la belle journaliste. Ce qui, pour l'instant, avait tout l'air d'être le cas.
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Ines Stinwick
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Lun 13 Mai - 22:01
Interview en charmante compagnie
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Ines n’aurait jamais pensé que l’interview qu’elle devait faire de Rudolf Brand se dirigerait vers une telle issue. Mais elle n’était pas déçue, loin de là. C’était même, tout à fait agréable et ce n’était pas plus mal de pouvoir découvrir un aspect plus… intime de Rudolf Brand. Aspect qu’elle ne dévoilerait pas, bien entendu. Cela resterait entre eux, et elle n’avait pas envie de le partager avec qui que ce soit. Même si tout cela ne serait qu’éphémère, c’était tout de même un moment privilégié, réservé à eux seuls, et c’était très bien comme ça, elle n’en demandait pas plus.
Elle n’avait pas été dans ce genre de situation depuis longtemps, depuis Daniel en fait, mais bon, elle reprendrait vite les automatismes, les gestes qu’il fallait, ce n’était pas vraiment un problème. Même si cela faisait un petit moment qu’elle n’avait pas pratiqué, elle se souvenait très bien de la façon dont il fallait procéder.
Et elle n’avait absolument aucun doute quand au fait que Rudolf allait se révéler être un excellent partenaire. Elle se fiait peut-être un peu trop à ce qu’il paraissait être, mais il dégageait une assurance certaine, son goût pour les femmes n’était plus à prouver, et il était parfaitement à son goût, alors elle n’avait vraiment pas envie d’être déçue.
-Je m'en voudrais beaucoup trop de te décevoir.
Elle sourit légèrement, amusée. Elle ignorait s’il y avait un double sens graveleux dans sa phrase, mais elle préférait croire que oui. Quoiqu’il en soit, elle le suivit docilement jusqu’à sa chambre, désireuse elle aussi de pouvoir faire avancer les choses. Son désir était plus qu’attisé, et elle avait vraiment hâte de pouvoir le découvrir un peu mieux.
Ines répondit encore une fois au baiser du jeune homme, y mettant elle aussi un peu plus de cœur. En tout cas, il était bon de constater qu’il savait très bien embrasser. Elle fut déjà frémissante en sentant les lèvres de Rudolf dans son cou, il faut dire que c’était une zone très érogène et sensible chez elle, alors il n’en fallait pas beaucoup plus pour la faire totalement craquer.
Elle enchevêtra une de ses mains dans ses cheveux bruns, se contentant d’apprécier ses baisers et ses caresses, puis elle réussit à glisser ses mains entre leurs corps pour déboutonner la chemise que portait le joueur de Quidditch. Sans se presser, et habilement. Une fois le vêtement ouvert, elle l’en débarrassa et eut tout le loisir de pouvoir passer ses mains sur son torse finement musclé. Elle s’empara une nouvelle fois de ses lèvres.
« Il faut croire que le Quidditch aide à garder la forme… »
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Rudolf Brand
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Mar 14 Mai - 17:32
Interview en charmante compagnie
L
a situation prenait très exactement la tournure que Rudolf avait désirée, et il était ravi de s'être fié à son instinct, et que celui-ci ne l'ait pas trompé (ce qui pouvait tout de même arriver parfois, même si ce n'était pas spécialement le genre de choses dont il se vantait par la suite). Ines Stinwick était une femme absolument magnifique. N'importe quel individu normalement constitué (et de ce bord-là en tout cas) devrait tout naturellement éprouver du désir pour elle. Alors pouvoir exprimer ce désir et le satisfaire dans sa plus pure expression, c'était bien évidemment un plaisir certain pour le joueur de Quidditch, qui ne s'en privait pas.
En plus d'être une très belle femme, Ines n'était pas non plus que séductrice, elle semblait savoir y faire, ou en tout cas, la façon dont elle s'y prenait avec lui était totalement à son goût. Il aimait la saveur de ses lèvres contre les siennes et sa façon d'embrasser, il aimait qu'elle se montre entreprenante alors qu'elle déboutonnait et retirait sa chemise afin de venir caresser du bout des doigts le tracé de ses muscles.
Ce n'était pas le genre de Rudolf de se vanter - bon, d'accord, si, c'était totalement son genre, en fait -, mais le jeune homme estimait en effet que physiquement, il n'avait clairement pas à rougir de son apparence. Evidemment, oui, le Quidditch, et donc l'exercice physique qui allait avec l'encourageait à garder la forme et avait modelé sa musculature de longue date. Rudolf apprécia le compliment, un sourire étirant le coin de ses lèvres. En plus d'être sacrément belle (on ne le répétera jamais assez), la personnalité de la jeune femme était également très plaisante. Le tout combiné faisait qu'il avait d'autant plus envie d'elle, si vraiment c'était possible.
-Qui l'aurait imaginé, pas vrai ? s'amusa-t-il en gardant son sourire en coin. Je ne savais pas que le journalisme avait le même pouvoir, mais j'aime beaucoup le découvrir.
Et la découvrir dans tous les sens du terme, car c'était à son tour de la débarrasser des vêtement qui recouvraient le haut de son corps. Ses mains se déposèrent dès lors sur sa peau nue, remontèrent doucement depuis ses hanches jusqu'à ses seins. Il aimait découvrir de nouveaux corps, surtout quand ils étaient aussi bien faits, et il s'appliquait à explorer la moindre parcelle de celui d'Ines.
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Ines Stinwick
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Jeu 27 Juin - 18:59
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Il n’y avait pas à dire, Ines faisait un travail très agréable. Bon, bien sûr, elle n’était absolument pas en train de travailler là, mais sans cela, elle n’aurait pas rencontré Rudolf, et cela aurait été dommage. Pas dramatique, mais dommage, parce qu’il était certain qu’elle allait passer un très bon moment en compagnie du joueur de Quidditch. Elle n’avait pas l’intention de se laisser tenter avec tous les beaux garçons qu’elle allait interviewer, quoique ce n’était pas désagréable, mais elle avait trouvé en Rudolf quelque chose de vraiment séduisant, et elle ne regrettait pour le moment absolument pas de s’être laissée aller, surtout que le meilleur restait à venir.
Quoiqu’il en soit, son futur amant était vraiment bien bâti. Certes, il était un sportif professionnel, mais elle n’aurait tout de même pas pensé que le Quidditch modelait aussi bien les corps. Peut-être devrait-elle s’y intéresser un peu plus, ou juste aux joueurs. Elle appréciait sentir ses muscles fermes sous ses doigts, ne se lassant pas de caresser sa peau à présent découverte, elle ne voyait pas pourquoi elle s’en priverait après tout.
Rudolf était un très bel homme, en tout cas, il était à son goût, et il semblait en plus de cela avoir de l’expérience. En même temps, il était le genre d’hommes à collectionner les conquêtes. Cela ne gênait pas Ines d’être une de plus, étant donné qu’elle ne prévoyait pas que leur liaison aille plus loin, mais elle voulait en tout cas qu’il garde un bon souvenir, et qu’elle ne soit pas noyée sous la masse. Elle valait mieux que ça, mais elle comptait s’appliquer dans tous les cas. Même si cela faisait un moment qu’elle n’avait pas pratiqué, elle savait tout de même comment faire plaisir à un homme, et elle ne manquerait pas de se servir de tout ce qu’elle savait à ce sujet.
-Qui l'aurait imaginé, pas vrai ? Je ne savais pas que le journalisme avait le même pouvoir, mais j'aime beaucoup le découvrir.
Elle sourit, amusée et se laissa faire quand il commença lui aussi à la déshabiller. Elle frémit sous ses mains, rendue particulièrement sensible avec l’abstinence. Elle appréciait sentir ses mains chaudes sur elle. Continuant de caresser son torse, elle descendit le long de ses abdominaux et glissa sa main sur son entrejambe, qu’elle sentait durci. Elle sourit à nouveau, satisfaite et embrassa ses lèvres pour la énième fois.
« Et de toute évidence, cela ne te laisse pas indifférent... pour mon plus grand plaisir. »
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Rudolf Brand
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Jeu 27 Juin - 19:23
Interview en charmante compagnie
P
our ne pas être indifférent, c'est certain, oui, Rudolf ne l'était pas. En même temps, il serait incompréhensible aux yeux du joueur de Quidditch de rester insensible aux charmes de la belle journaliste. Habillée, elle était magnifique, si peu vêtue, elle était sublime. Et forcément, son corps n'oubliait pas de réagir comme il se doit face à une beauté qui méritait qu'on la salue. Un fin sourire s'esquissa sur les lèvres du jeune homme quand la main de la jeune femme s'égara entre ses jambes et constata que ce qui s'y trouvait ne restait pas indifférent face à ses charmes. Elle était entreprenante, et il adorait ça.
Il ignorait tout ou presque de la vie de la jeune femme. Il ne savait pas s'il était dans ses habitudes ou non d'agir de la sorte, de cueillir ses interviewés pour finir dans leur lit, mais il s'en fichait. Il savait simplemeent que dans les circonstances actuelles, elle était exactement ce dont il avait besoin, et il était plus que jamais convaincu du fait qu'ils allaient passer un excellent moment, tous les deux.
Il aurait bien pu répondre que son plaisir deviendrait plus grand encore incessamment sous peu, mais l'heure n'était pas aux fanfaronnades, l'heure était aux démonstrations. Elle saurait bien assez tôt de quoi il était capable, et il avait la ferme intention d'être à la hauteur. Cela dit, il ne doutait pas de l'être dans tous les cas. Jusqu'ici, aucune de ses maîtresses n'avait songé à se plaindre, en tout cas. Et ce n'est pas comme s'il manquait d'expérience. Ines découvrirait bien assez vite l'étendue de ses talents en la matière. Ils avaient atteint ce seuil de leur échange où le dialogue n'était plus vraiment nécessaire. Il fallait laisser place aux actes.
C'est ce que Rudolf fit. Il entraîna Ines sur le lit et prit le parti de se positionner au-dessus d'elle. Ses lèvres explorèrent longuement les siennes, dans un flot incessant de caresses, puis il autorisa ces mêmes lèvres à se montrer aventureuses. Il embrassa d'abord le creux de son cou, avant que sa langue ne vienne parcourir sa poitrine tandis que ses mains glissaient entre ses jambes. Ses caresses en cet endroit n'avaient rien d'insistantes encore, il se contentait d'effleurer, d'attiser le désir sans pour autant le satisfaire complètement.
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Ines Stinwick
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Mar 6 Aoû - 22:05
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Ines mentirait, si elle disait qu’elle ne prenait pas plaisir à plaire aux hommes. Pas forcément sexuellement, mais sentir leurs regards s’attarder sur elle, être regardée, admirée, désirée. C’était quelque chose qu’elle aimait, et c’était déjà le cas lorsqu’elle était en couple avec Daniel. Ines se savait parfaite, et elle appréciait que les autres lui reconnaissent cette perfection. Après tout, elle n’était pas n’importe quelle fille, trouver mieux qu’elle, c’était tout bonnement impossible, quoique les hommes puissent dire. Elle savait qu’elle pourrait faire succomber n’importe qui, même le plus fidèle des maris, juste parce qu’elle était parfaite, et elle adorait cela.
Dans tous les cas, ce n’était pas comme si elle en profitait. Elle n’en avait aucune envie, elle s’arrêtait à l’étape de la séduction, et c’est bien la première fois qu’elle se comportait avec un homme comme elle se comportait avec Rudolf. Elle n’avait connu que Daniel, et les relations d’une fois cela ne l’intéressait pas. Mais pour une fois, elle pouvait bien se laisser tenter. Ce n’était pas comme si elle avait quoique ce soit à perdre de toute manière.
Et puis, elle était convaincue qu’elle allait passer un bon moment, elle en avait envie en tout cas. La façon dont Rudolf avait de la toucher était très plaisante, et ils en étaient encore aux préliminaires. Mais de toute évidence, le jeune homme avait envie d’accélérer les choses, puisqu’il la traîna jusqu’à son lit, ce qui n’était pas pour lui déplaire, au contraire. Elle eut tout le loisir de pouvoir caresser les muscles de son torse, alors que ses lèvres se mouvaient contre les siennes, dans des baisers sensuels et aguicheurs. Elle frissonna de plaisir lorsque les lèvres du jeune homme se déposèrent sur sa peau, à des endroits plus qu’érogènes. Elle se laissa faire, gémissant légèrement tout en caressant ses cheveux pour l’inciter à continuer son exploration.
Pourtant, la jeune femme ressentait une pointe de frustration, à cause des caresses de son presque amant qui n’étaient pas assez appuyées à son goût. C’était très probablement fait exprès, mais s’il attendait d’elle qu’elle quémande, cela n’était pas près d’arriver. Elle déboutonna le pantalon du joueur de Quidditch et en abaissa la fermeture éclair, avant de le descendre sur ses cuisses avec son sous-vêtement. Elle glissa le bout de ses doigts sur sa virilité fièrement dressée, s’amusant à le taquiner, comme il la taquinait présentement, sans vraiment le caresser de manière appuyée.
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Rudolf Brand
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Mer 7 Aoû - 17:28
Interview en charmante compagnie
I
l était impossible de ne pas désirer un corps tel que celui d'Ines Stinwick, il était impossible de ne pas vouloir l'explorer, le contempler, et surtout le posséder, et Rudolf, s'il avait dû se contenter de le contempler sans profiter de tout le reste, en aurait clairement été sensiblement frustré, il en était d'autant plus certain à présent que les choses s'accéléraient un peu. Alors qu'il la couvraient de caresses plus ou moins appuyées (moins que plus en certains points), la jeune femme fit preuve d'une initiative qui ne lui déplut pas du tout en abaissant son pantalon ainsi que son caleçon.
D'un mouvement des bras il se débarrassa définitivement des vêtements encombrants en les envoyant valdinguer de l'autre côté de la pièce, tandis qu'Ines flattait la zone la plus sensible de son anatomie (qui était de toute évidence particulièrement réceptive, et ce depuis un moment déjà) de caresses encore bien légères, mais qui faisaient tout de même leur petit effet au joueur de Quidditch, il faut le dire. Elle semblait adopter la même méthode que lui. Par jeu ou par vengeance ? Difficile à dire. Dans tous les cas, c'était de bonne guerre, et ça ne déplaisait pas au jeune homme. S'il aimait laisser entrevoir le plaisir sans complètement le combler dans un premier temps, c'est que d'expérience, il estimait que la frustration ne rendait la fin de cette dernière encore plus satisfaisante.
Enfin... chacun appréhendait le sport de chambre à sa manière. C'est ce qu'il y avait à la fois de risqué et d'exaltant dans le fait de prendre pour partenaire une femme que l'on n'avait jamais connue au sens le plus charnel du terme (et qu'on ne connaîtrait sans doute plus jamais ensuite) : apprendre de l'autre en peu de temps ne suffisait pas toujours à ce que chacun y trouve son compte. Rudolf avait connu plus d'une aventure d'une nuit qui l'avaient singulièrement déçu, par exemple. Mais il ne pensait pas que cette fois-ci compterait parmi ses déceptions. Au contraire, même, car le mouvement de ses doigts entre ses jambes avait déjà le don de lui décocher quelques râles de plaisir.
D'accord, il fallait peut-être mettre fin au supplice. A leur supplice à tous les deux. Quand ses doigts regagnèrent cette fois son intimité, et que ses lèvres se déposèrent à nouveau au creux de son cou, ce n'était pas simplement pour effleurer, cette fois, mais pour lui donner tout le plaisir qu'elle méritait bien qu'on lui procure.
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Ines Stinwick
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Jeu 19 Sep - 21:37
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Ines aurait pu plus mal tomber. Rudolf était un partenaire particulièrement bien bâti, sous tous les angles. En même temps, la jeune femme n’aurait certainement pas choisi un homme qu’elle ne trouvait pas à son goût, et surtout qui ne la méritait pas. Non pas qu’elle se vantait, c’était une réalité plus que flagrante, et elle ne doutait pas que Rudolf en avait parfaitement conscience. Ines pouvait avoir qui elle voulait, elle ne se rabattait pas que ce qui restait, elle avait choisi Rudolf, même si c’était tout de même assez hasardeux et soudain comme affaire, elle ne se forçait pas, et ne se sentait en aucun cas diminuée ou quoi que ce soit d’autre.
Elle estimerait presque que Rudolf avait de la chance. Bon, elle aussi, il est vrai que Rudolf n’était pas le premier pecnot qui passait. Il était relativement célèbre et vraiment très séduisant, alors elle n’allait pas se plaindre. Elle en profitait même grandement en cet instant. Glissant ses mains le long de ses muscles bien dessinés, fermes… tout ce qu’Ines appréciait. Elle n’avait que Daniel comme comparaison, mais elle ne les comparait même pas en en cet instant. Elle était toute disposée à ne penser qu’à Rudolf pour le moment. Et cela lui plaisait. Elle se prenait même au jeu instauré par le jeune homme, participant avec grand plaisir.
Pour le moment, ils en étaient à se découvrir sans se satisfaire. A s’attiser progressivement. C’était amusant, certes, mais cela pouvait vite devenir lassant. Ines était une femme qui n’aimait pas qu’on la fasse attendre. Quand elle voulait quelque chose, il fallait qu’elle l’ait tout de suite, pas après. Sinon, elle n’en voulait plus, c’était aussi simple que cela. Mais pour le moment, elle n’était pas lassée de Rudolf, pas du tout, elle avait même envie d’en découvrir beaucoup plus. Et elle espérait que lui aussi, mais elle n’avait aucun doute concernant le désir du jeune homme, elle en avait une preuve concrète, et elle savait également l’effet qu’elle pouvait avoir sur un homme.
Et elle adorait celui qu’elle avait sur Rudolf, ainsi que les râles de plaisir qu’il produisait. De toute évidence, il commençait à en avoir marre de jouer, puisque ses caressent se firent plus intenses, et plus précises. Parcourue de frissons de plaisir, elle poussa quelques gémissements tout en accentuant également ses caresses. Laissant une main entre les cuisses de son presque amant, elle le caressa franchement, glissant son autre main dans les cheveux du sportif, dans son dos, sur ses fesses, ne se lassant pas de découvrir son corps. Elle mordilla doucement son épaule, étouffant quelques plaintes de plaisir par la même occasion.
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Rudolf Brand
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Ven 20 Sep - 17:21
Interview en charmante compagnie
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udolf avait une réputation à tenir. En tant que joueur de Quidditch émérite et capitaine de son équipe, sur lequel pouvait par conséquent retomber tout scandale concernant les Busards, mais pas seulement. Il faut dire ce qui est, son orgueil d'homme en prendrait un sacré coup si l'une de ses maîtresses devait le trouver, d'aventure... insatisfaisant, disons. Bon, sur le nombre de ses conquêtes, il ne pouvait garantir que ce ne soit jamais arrivé et que ce qu'il s'était permis de prendre pour de francs gémissements de plaisir n'en étaient finalement que des similacres.
Mais jusqu'ici, il n'y avait tout de même eu personne pour se plaindre ou encore pour - comble de l'humiliation, vous imaginez bien - remettre en cause ses aptitude sur le plan horizontal. Il avait pensé que ce n'était pas cette soirée qui changerait la donne. D'accord, une fois encore, il ne pouvait se permettre de se fier totalement à ce que laissait deviner l'attitude de la belle journaliste... mais il choisissait de le faire, tout comme lui-même se laissait totalement aller entre les mains expertes de son amante. Il accepterait davantage d'interviews si elles devaient toujours s'achever ainsi. Et la soirée ne faisait évidemment que commencer.
Un sourire de satisfaction naquit quand la jeune femme mordilla son épaule (et pas mordre franchement... non parce qu'il en connaissait qui avaient bien failli lui laisser des marques durables - et il avait pas totalement detesté non plus, ceci dit), étouffant au passage quelques exclamations de plaisir. Elle ne pouvait pas le savoir, bien sûr, mais il adorait ça, c'était le genre de geste qui avaient positivement le don de lui retourner les sens, et qu'il aurait pu attendre d'elle s'il avait choisi de se montrer plus directif. Son excitation n'en était que redoublée.
Ce petit jeu dura un moment encore, mais Rudolf ne résista finalement pas à la tentation d'y mettre un terme pour savourer plus pleinement encore ce moment déjà terriblement agréable. Il la bascula sur le lit, chevaucha ses hanches, embrassa ses lèvres, son cou, ses seins... et finalement, leurs corps ne firent plus qu'un. Impossible d'avoir cette femme sous soi et ne pas se vouloir en elle. Elle était sublime, sous tous les angles et dans toutes les positions. Ses mouvements invitaient ses reins à danser contre les siens, dans un mouvement pour le moment relativement lent, mais qui finirait par s'accélérer.
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Ines Stinwick
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Ven 6 Déc - 11:57
Interview en charmante compagnie
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Ines se laissait totalement aller à ses envies, ses désirs, et pour le moment, elle ne regrettait pas une seule seconde. Quand bien ce n’était pas du tout dans ses habitudes d’être aussi intime avec des inconnus, ou qui que ce soit d’autre mis à part Daniel mais comme il n’y avait plus rien avec Daniel… enfin bref. En tout cas, Rudolf était son exception, ou bien le premier d’une longue série, elle ne pouvait en juger pour le moment, et elle n’avait d’ailleurs absolument aucune envie de penser à autre chose que ce qu’il était en train de se passer.
Rudolf était doué, ses gestes étaient sûrs, précis, elle ne ressentait aucune hésitation de sa part, cela se sentait qu’il avait de l’expérience. Ce qui était tout bénéfique pour elle, il ne fallait pas se mentir. Elle se moquait bien du nombre de conquêtes qu’il avait pu avoir avant elle, et qu’il aurait après. Le principal, c’était qu’ils étaient ensemble pour le moment, et que c’était elle qui profitait de son expertise dans le domaine. En tout cas, se comportait sur un balai comme au lit, elle n’était pas étonnée qu’il soit si réputé.
La jeune femme continuait de frissonner et frémir sous ses caresses expertes, ne restant pas en reste de son côté non plus pour découvrir et redécouvrir le corps de son amant. Il était tellement bien bâti que ce serait presque un crime que de ne pas en profiter. Elle avait eu de la chance de tomber sur un aussi bel homme que Rudolf, mais il lui fallait au moins cela. Après tout, elle n’irait jamais coucher avec n’importe qui. Et Rudolf était loin d’être n’importe qui pour le coup. Un sourire ourla ses lèvres en sentant la patience du jeune homme s’effriter de plus en plus. Elle ne comptait cependant de faire aucune remarque car elle aussi, commençait à peiner de plus en plus à attendre que les choses deviennent plus sérieuses.
Un gémissement s’échappa de ses lèvres entrouvertes quand son amant prit enfin possession d’elle. Les reins délicieusement cambrés, elle s’habitua bien vite à la situation et le laissa se mouvoir comme il le voulait. Si pour le moment, le rythme était assez lent, cela ne la gênait pas. Elle resserra ses cuisses autour de ses hanches et bien vite, ses hanches vinrent à la rencontre de celles de Rudolf, désireuse d’approfondir le contact. Ses mains se perdaient sur son dos musclé, griffant doucement ses reins sous le plaisir qu’elle ressentait.
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Rudolf Brand
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Ven 6 Déc - 18:37
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udolf pourrait justifier le nombre de ses conquêtes et sa tendance à entraîner toute demoiselle à son goût dans son lit pour peu qu'il entrevoie une ouverture par le fait qu'il était un homme et que les hommes avaient leurs "besoins", mais ce n'était pas ainsi que le joueur de Quidditch voyait les choses. Le sexe n'était pas pour lui une commodité à assouvir, comme la faim que l'on résoud en mangeant, la soif que l'on étanche en buvant. C'était juste un moment de pur plaisir, et quand on y avait goûté, il estimait qu'avoir l'idée de s'en passer était stupide. Plus stupide encore quand on avait les opportunités que la carrure et bien évidemment la réputation - ça faisait le gros du boulot, on ne va pas se le cacher - du jeune homme lui permettaient.
Alors oui, il ne savourait pas le corps d'Inès comme on s'empresse d'avaler son déjeuner, mais plutôt comme l'on savoure un verre de bon vin, un sacré millésime, pour le coup. Il aimait cet échange, cette sorte d'intimité qui savait ce concevoir, même, avec des presque-étrangères, quand les mots ne comptaient plus et que tout devenait affaire de caresses, de baisers, de regards, de mouvements de reins.
Bien sûr, le cru était plus ou moins bon selon la maîtresse qu'il se choisissait, mais la belle Ines Stinwick ne décevait définitivement aucune de ses attentes. Certaines beautés fatales comme la sienne tendent à vous décevoir, car elles n'ont finalement rien d'autre à offrir qu'une plastique de rêve... mais de toute évidence, la jeune femme était tout sauf décevante, et ses gestes comme les gémissements qu'il ne retenait pas de dépasser le seuil de ses lèvres en étaient certainement la preuve la plus manifeste.
Ses hanches se balançaient au-dessus des siennes de plus en plus rapidement tandis que ses lèvres venaient embrasser son cou, le mordiller quand il venait y étouffer un exclamation plus prononcée que les précédentes. Le plaisir l'envahissait par salve, et il aimait sentir ses ongles s'enfoncer dans sa chair, juste au-dessus de ses reins. Il savourait tout de cet instant, autant le plaisir certain qu'elle lui procurait que le velour de sa peau, la mélodie de ses soupirs. C'était comme, pour un mélomane, découvrir une mélodie nouvelle, et celle-ci était particulièrement harmonieuse. Et son rythme de plus en plus soutenu.
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Ines Stinwick
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Dim 19 Jan - 13:24
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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Pour le moment, Ines ne regrettait pas une seule seconde de s’être laissée séduire par son amant. En même temps, elle n’avait pas résisté bien longtemps. Mais elle était tout sauf une fille facile, la preuve, c’est que sa dernière fois remontait à plus d’un an déjà, mais Rudolf n’avait en aucun cas besoin de le savoir, et elle estimait qu’elle se débrouillait bien pour le moment. Elle était d’ailleurs fort satisfaite d’observer qu’il semblait vraiment prendre du plaisir. Au moins, ils étaient des deux, ce qui n’était pas plus mal. Même si cela ne durerait qu’une nuit, ce n’était pas une raison pour bâcler, ou faire ça vite fait. Si elle se donnait à lui, ce n’était pas pour que ce soit banal, et qu’elle l’oublie en trois jours. Mais elle n’avait rien à redire pour le moment, et espérait que les choses continuent ainsi.
Ines appréciait beaucoup le moment passé avec Rudolf, et malgré le fait qu’ils ne se connaissaient pas, et que c’était la première fois qu’ils se retrouvaient dans un tel contexte, il savait y faire avec elle. Coup de chance ou non, ce n’était pas le plus important. Ines savourant ses caresses, et ses baisers, ainsi que le mouvement de ses hanches, qui lui procuraient moults plaisirs dont elle n’était pas lasse.
Ses gémissements se firent un peu plus prononcés lorsqu’elle sentit le rythme s’accélérer, répondant à ceux de son amant. La jeune femme ne se privait de continuer de découvrir, et de toucher le corps de son amant, n’ayant aucune envie de jouer les étoiles de mer. Et cela avait l’air de plaire au jeune homme. Tantôt elle caressait la courbe de ses muscles, tantôt elle griffait sa peau, cela dépendait de ce qu’elle-même ressentait sur le moment, mais en général, c’était surtout beaucoup de plaisir.
Au bout d’un moment, la jeune femme entreprit de changer les rôles. Elle retourna aisément Rudolf sur le matelas, le surplombant de ce fait. Elle se redressa tout en prenant appui sur son torse et avec un sourire elle ondula sur lui, reprenant leur activité d’il y a quelques secondes. N’arrêtant en rien d’exprimer son plaisir, et sans couper le contact visuel entre eux, désirant lire le plaisir sur son visage, et dans son regard.
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Dim 19 Jan - 13:39
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udolf n'avait pas vraiment de difficultés à débrancher, à se déconnecter de toute autre considération pour seulement profiter de l'instant présent, ça, et rien d'autre, mais il devait bien reconnaître que des moments comme celui-ci, des maîtresses telles que la belle Ines Stinwick, facilitaient largement ce genre de situations. Et il adorait cela. Ne plus se focaliser sur rien. Se concentrer uniquement sur elle. Elle, son corps de rêve, ses, la cadence de ses mouvements, la saveur de ses soupirs, le goût de ses lèvres et de sa peau, la profondeur de son regard. Elle était parfaite, et il savait en profiter parfaitement.
Et il ne bouda pas la situation quand la jeune femme prit les devants et par la même le dessus sur lui, se retrouvant à califourchon sur lui. Il savait que certains hommes ne supportaient pas de se laisser dominer, y compris dans des circonstances qui pourtant étaient profitables. Ce n'était pas le cas de Rudolf. Bien au contraire. Il savourait son assurance, il savourait ses initiatives, et il préférait largement cela aux quelques cas qu'il avait rencontrés, de quelques maîtresses, souvent des fans faciles à mettre dans son lit, impressionnées et impressionnables, qui se laissaient faire en pensant que la moindre décision de leur part pourrait lui déplaire, grossière erreur.
Il l'observait, les mains agrippées à ses hanches, il contemplait sa plastique parfaite, il aimait la manière dont son regard était plongé dans le sien. Il devinait qu'elle voulait y lire le plaisir qu'il prenait à ce moment, et c'était la même chose pour lui. Il y avait quelque chose de profondément satisfaisant à savourer en même temps que son propre plaisir celui que l'on parvenait à donner à l'autre. Et le plaisir en question n'allait qu'augmentant, accompagné de râle de moins en moins discret. Son regard quitta celui d'Ines au moment de fermer les yeux, quand le plaisir atteignit son point culminant.
Il ne ménagea pas ses efforts pour lui faire éprouver à elle aussi le même sentiment de profonde jouissance. Quand il pensa y être parvenu, il y alla encore de quelques caresses avant de se laisser retomber mollement sur le lit. Fourbu, fatigué, à bout de souffle, mais ravi de cette rencontre, il se contenta de reprendre son souffle sans dire en quoi que ce soit, savourant encore l'instant présent, et ce sentiment d'oubli qui accompagnait pour lui chaque moment d'extase.
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Ines Stinwick
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Ines faisait son maximum pour contenter son amant, et tenter de lui laisser le meilleur souvenir possible. Quand bien même elle ne serait qu’une conquête parmi tant d’autres, ce qui lui convenait, elle avait tout de même envie de ne pas être totalement noyée dans la masse, et de sortir un peu du lot. Elle se contentait rarement de passer inaperçu, ou bien d’être oubliée, elle n’avait pas envie qu’il l’oublie comme ça, elle avait plutôt envie qu’il se souvienne d’elle, et du délicieux moment qu’ils avaient passé ensemble. Qu’il en garde un bon souvenir, et qu’il se dise qu’il avait eu de la chance de pouvoir avoir une amante de sa trempe.
Ines restait elle-même, même dans des moments comme celui-là, mais cela ne l’empêchait en aucun cas de profiter de l’instant présent. Elle appréciait grandement voir qu’elle était loin d’être la seule à prendre du plaisir. Elle avait d’ailleurs de plus en plus de mal à garder les idées claires, s’abandonnant peu à peu à un plaisir plus intense. Surplombant toujours le jeune homme, elle sentit que lui aussi, s’approchait de la fin. Elle ne ralentit cependant pas le mouvement de ses hanches, gagnant en intensité, et en vitesse, voulant plus que tout atteindre ce plaisir, avec lui. Elle en fut secouée en même temps que lui, alors que ses gémissements se firent plus fort, ses ongles se plantèrent dans la peau de son amant, et elle se laissa totalement succombé au plaisir qu’elle ressentait par vague, profitant des caresses de son amant qui le faisait durer, tout en lui en prodiguant, elle aussi.
La respiration haletante, elle se laissa retomber doucement contre le torse de son amant, le temps de se remettre de ses émotions. Elle se sentait détendue, elle se sentait comblée, et groggy. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas ressenti tout cela, et c’était fort agréable. Elle avait beaucoup apprécié ce moment, et elle espérait que Rudolf aussi.
Une fois qu’elle eut repris ses esprits, elle se redressa légèrement pour embrasser Rudolf doucement. Elle lui adressa un sourire, puis elle glissa sur le côté, rompant leur étreinte. Elle ferma les yeux, profitant encore de toute cette ambiance puis elle se tourna sur la tranche pour le regarder d’un œil amusé. Elle traça des motifs imaginaires sur son torse, du bout de l’index.
« J’admets que tu es doué… Ta réputation n’a pas été embellie. »
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Rudolf Brand
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udolf reprenait son souffle, le regard tourné vers sa maîtresse. Il devait bien admettre qu'elle était un plaisir pour les yeux, en plus de tous les autres plaisirs qu'elle avait si bien su lui procurer. Un instant, il n'y eut que leurs souffles entremêlés, qui reprenaient un rythme régulier, puis finalement, Ines se redressa sur le bord du lit. Rudolf aimait le sourire malicieux qui s'affichait sur son visage, il aimait la manière dont ses doigts caressaient son torse. Il aimait le ton qu'elle utilisait pour lui parler.
Cette jeune fille avait tout pour elle. Rudolf ne serait pas vraiment étonné d'entendre son nom dans l'avenir, elle irait loin, et pas uniquement parce qu'elle savait donner de sa personne au sens propre comme au figuré. Et puis, elle savait comment le caresser dans le sens du poil, et le joueur de Quidditch n'était jamais réfractaire aux compliments. En l'occurrence, il n'aurait plus manqué qu'elle lui affirme, au bout du compte, ne pas avoir été si satisfaite que cela de leur... échange. Il n'avait pas besoin de l'entendre, il savait très bien qu'il n'avait pas volé sa réputation, ceci dit, il ne se lassait jamais de l'entendre.
-Tu t'es très bien défendue, toi aussi, répondit-il avec un sourire au coin des lèvres tout en se redressant légèrement à son tour, tout en s'étirant par la même occasion. J'ai rarement passé une interview aussi agréable.
Il ne savait pas vraiment de quelle manière la jeune femme orienterait son papier, et il allait peut-être être nécessaire qu'ils considèrent la chose avec un peu plus de sérieux, ne serait-ce qu'en en revenant à un court jeu de questions-réponses afin de s'assurer que toutes les informations étaient là, mais dsans tous les cas, il était assez curieux de découvrir à quoi ressemblerait l'article de la jeune femme. Ce qui était certain, c'est que pour sa part, il le lirait avec une certaine délectation.
-Tu veux boire quelque chose ? suggéra-t-il.
Les femmes de passage dans son lit ne restaient jamais longtemps chez lui, mais il n'avait pas l'intention de la mettre à la porte. Si la jeune femme voulait rester encore un peu, il n'allait pas la foutre dehors, il appréciait sa compagnie, autant sur le plan horizontal que vertical.
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Ines Stinwick
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Sam 14 Mar - 6:01
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Ines venait de passer un excellent moment, et ce n’était pas peu de le dire. Et elle ne comptait pas le nier. Dans tous les cas, son partenaire devait en être conscient, étant donné qu’elle avait atteint l’extase, grâce à lui. Certes, la simulation restait une opportunité, mais ce n’était pas du tout dans les habitudes d’Ines. Même si en soit, il était le seul homme avec qui elle avait couché hormis Daniel. Mais le jeune homme ne pouvait pas vraiment le savoir.
Ines ne regrettait pas, en tout cas. Elle assumait totalement ce moment d’abandon et de pur plaisir, et elle ne voyait pas l’intérêt de se flageller pour cela. Après tout, elle était célibataire, elle faisait ce qu’elle voulait dans son intimité. Et passer un agréable moment charnel avec un homme qu’elle ne connaissait pas, et qu’elle avait rencontré dans le cadre de son travail, c’était faire ce qu’elle voulait. Elle n’avait aucune raison de s’en vouloir, et ce n’était pas le cas. Elle profitait encore un peu de cette ambiance si particulière qui régnait après le sexe, et aussi de la présence de son amant.
-Tu t'es très bien défendue, toi aussi. J'ai rarement passé une interview aussi agréable.
Elle sourit doucement, ravie de l’entendre. Elle ne savait pas comment se passait les interviews de Rudolf, mais elle espérait que toutes ne terminaient pas dans un lit (lorsqu’il était entendu par des femmes évidemment). En fait, elle espérait même être la seule. Encore une fois, et même si elle n’attendait rien de Rudolf, Ines aimait avoir une place privilégiée dans la vie des autres, et être la seule journaliste qui était passée dans son lit serait une satisfaction pour elle.
-Tu veux boire quelque chose ?
Ines considéra la question un instant. Elle n’avait pas vraiment envie de partir comme une voleuse, et s’il lui posait la question, cela voulait probablement signifier qu’il n’attendait pas qu’elle parte sur le champ. Même si en soit, il n’osait peut-être pas le dire. Mais bon, elle allait prendre cela pour quelque chose de ce positif, elle n’avait pas envie de gâcher ce qu’il venait de se passer.
« Pourquoi pas, puisque c’est toi qui offres. »
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Rudolf Brand
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Sam 14 Mar - 9:21
Interview en charmante compagnie
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udolf était une personne honnête. Il n'était pas du genre à garder quelqu'un chez soi s'il ne voulait plus de la compagnie de cette personne, il s'arrangeait, plus ou moins subtilement, pour mettre ladite personne à la porte, mais la compagnie d'Ines ne lui déplaisait pas du tout, alors autant faire durer le plaisir. Après qu'elle lui eut confirmé qu'elle voulait bien boire quelque chose, il se leva du lit, enfila rapidement un caleçon et un T-shirt - pas que se trimballer à poil dans son appartement le dérangeait outre mesure, mais bon.
-J'ai jamais dit que c'était gratuit, plaisanta-t-il quand Ines répondit qu'après tout, c'était lui qui offrait.
Non, évidemment, il n'allait pas lui faire payer une commission pour chaque verre consommé chez lui. Son bar personnel débordait de bouteilles en tout genre, il fallait bien que certains (souvent certaines, il faut bien l'avouer) en profite. Rudolf était un bon vivant, mais pas du genre à boire tout seul dans son coin. Dans tous les cas, il se devait d'avoir une hygiène de vie sinon irréprochable, du moins importante. Même si un verre, ça ne vous tuait pas. Une fois qu'il eut demandé à Ines ce qu'elle prendrait, qu'il l'ait servi et lui ait tendu son verre, il reprit la parole tout en remplissant le sien.
-J'ai bien peur d'avoir été un interviewé particulièrement dissipé, observa-t-il avec un sourire en coin. Il porta son verre à ses lèvres avant de reprendre la parole. Tu auras quand même de quoi écrire ton article ou il va falloir qu'on se remette au travail ?
Là, il n'était pas particulièrement d'humeur, il devait bien l'avouer, mais en revanche, il ne dirait pas non à un nouveau rendez-vous, même s'il devait rester exclusivement professionnel, évidemment, ça ne le dérangerait pas forcément, il aimait bien la compagnie de la jolie blonde, dans tous les cas. Dans tous les cas, il se doutait qu'Ines saurait très bien s'en sortir. On pourrait prétendre qu'elle s'était montrée tout sauf professionnelle avec lui, mais Rudolf lui faisait confiance, il osait croire que son article ne serait ni voyeuriste, ni compromettant. Et si finalement il se trompait ? Eh bien tant pis, ce ne serait pas la mer à boire. Il en avait connu d'autres, et des largement pires.
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Ines Stinwick
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Ines n’aurait pas pu imaginer que l’interview de Rudolf Brand se terminerait ainsi. Mais elle était bien loin de s’en plaindre. Ce serait mentir, que de dire qu’elle n’avait pas passé un agréable moment. Elle ne saurait pas vraiment dire pourquoi elle s’était laissé aller avec lui, et pas les autres, mais cela n’avait pas une grande importance, au final. Rudolf Brand était un homme charismatique, et cela se voyait, cela se sentait qu’il savait y faire avec les femmes. C’était tant mieux pour lui, étant donné qu’il aimait papillonner.
-J'ai jamais dit que c'était gratuit.
Ines eut un petit sourire amusé. Elle pensait qu’il plaisantait. Elle espérait qu’il plaisantait, parce qu’elle ne comptait pas payer quoique ce soit. Mais il y avait peu de chances pour qu’il soit sérieux. Ce serait vraiment faire preuve d’une goujaterie de la pire espèce. Enfin, peu importe, elle aurait pu partir tout de suite, mais elle avait bien envie d’un petit verre. Il y avait presque aucune chance (parce qu’il ne fallait jamais dire jamais) qu’ils se revoient dans ce contexte-là, c’est-à-dire sous les draps, mais elle appréciait tout de même la compagnie du joueur de Quidditch, alors autant qu’elle se passe encore un peu plaisir en buvant un dernier verre avec le jeune homme.
« Tu es donc le genre d’homme qui devient un véritable goujat macho quand il a eu ce qu’il voulait ? Je suis déçu. Toi qui étais un tel gentleman… »
Elle lui adressa un petit sourire, d’humeur taquine. Elle n’avait pas envie de brutalement cesser leur petit jeu. Même s’ils avaient couché ensemble, ils pouvaient toujours continuer de se titiller un peu n’est-ce pas ? C’était en tout cas ce que pensait Ines, et elle espérait que son amant d’une fois était du même avis. Parce qu’ils étaient tout de même d’accord sur pas mal de choses.
-J'ai bien peur d'avoir été un interviewé particulièrement dissipé. Tu auras quand même de quoi écrire ton article ou il va falloir qu'on se remette au travail ?
Elle trempa ses lèvres dans son verre, un peu amusée par ce qu’il lui disait. Effectivement, il n’avait pas été très sérieux, mais elle n’avait pas fait mieux. Mais elle pensait pouvoir se débrouiller pour son article. Bien évidemment, elle ne dirait rien sur leur petit moment privilégié et intime, elle n’aurait aucun bénéfice à faire cela. Elle avait envie de garder cela entre eux, mais sinon, il avait tout de même répondu à ses questions « professionnelles » donc cela devrait aller.
« C’est vrai que des comme toi, c’était ma première. Mais je ne te blâme pas, je n’ai pas été très professionnelle non plus. Mais ne t’en fais, je devrais pouvoir m’en sortir avec ce que j’ai réussi à récolter durant la phase où tu étais le plus discipliné. »
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Rudolf Brand
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udolf afficha un sourire amusé quand Ines plaisanta à son tour, suggérant qu'à présent qu'il avait eu ce qu'il voulait, il pouvait se comporter en goujat et en macho. Bien évidemment, il ne se vexait pas, il était convaincu qu'elle plaisantait, par ailleurs, il n'y avait pas grand commentaire à faire sur son tempérament vis-à-vis des femmes. Il n'était pas franchement convaincu d'être un gentleman, il pouvait même reconnaître ne pas avoir été tendre avec certaines femmes (enfin, il n'avait pas été tendre avec Gwen, quoi - mais en même temps, elle l'avait bien cherché, aussi), mais il ne pensait pas non plus être le plus grand misogyne que cette terre ait jamais porté.
Disons qu'il se situait dans un entre-deux. Son rapport aux femmes était... par instant biaisé par son éducation. Mais il les aimait toutes, chacune à leur manière, alors forcément, il les respectait tout de même au moins un peu. Quoi qu'il en soit, cette légère taquinerie confirmait l'affinité qu'il avait avec la jeune journaliste. Elle avait de l'esprit, en plus de ce physique avantageux auquel nul homme un tant soit peu sensé ne devrait être capable de résister.
Ines lui apprit qu'il était bien le premier de ses interviewés avec qui elle s'était laissée aller comme ça. Tant mieux, d'un côté. Pas que Rudolf soit possessif pour rien, mais ça flattait tout de même son égo de savoir qu'Ines avait fini dans son lit non pas parce qu'il était traditionnel chez elle de coucher avec tous ceux qu'elle voyait en entretien mais parce qu'il lui avait plus, tout comme elle lui avait plu. L'air de rien, il y avait eu des atomes crochus, entre eux, et ils s'étaient encore confirmé sur le plan horizontal. C'était plaisant de constater qu'ils avaient vécu cette situation de la même manière. Car évidemment, Rudolf non plus ne couchait pas avec toutes les jolies journalistes qui avaient pour mission de l'interviewer.
Ines lui assura que quoi qu'il en soit, elle aurait certainement de la matière avec ce qu'elle avait pu obtenir d'informations quand ils étaient encore suffisamment sérieux pour entretenir un échange cohérent et qui n'était pas forcément voué à déraper. En soi tant mieux, même si toutes les interviews de la jeune femme devaient ressembler à celle-ci, il ne disait bien évidemment pas non.
-Dans ce cas, j'ai hâte de découvrir ton article. Tu me laisseras le lire en exclusivité ?
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Ines Stinwick
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Sam 11 Juil - 16:56
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But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Les choses n’avaient pas été des plus professionnelles, elle en était consciente, mais bon, elle avait tout de même recueilli des informations. Assez pour écrire un article. Et si jamais elle péchait un peu, elle tenterait de le recontacter pour quelques anecdotes supplémentaires. Elle savait tout de même ce que les lectrices attendaient des interviews que proposaient Sorcière Hebdo, elles n’attendaient rien de profond, elles attendaient essentiellement les potins. Des petites histoires croustillantes sur des personnes qu’elles idéalisaient un peu. Elle estimait que Rudolf lui avait donné assez de matière, même si les choses n’avaient pas vraiment traîné avant que cela ne dérape.
Elle ne regrettait pas pour autant. La bienséance n’était sans doute pas du tout en adéquation avec ce qu’il venait de se passer, mais tant pis. Pour une fois, elle avait juste eu envie de se laisser aller, et elle ne regrettait pas. Elle avait passé un bon moment avec Rudolf, un excellent moment bien qu’éphémère. Elle n’avait pas besoin de plus venant de sa part, et elle n’attendait rien, mais elle l’appréciait tout de même. Il était un jeune homme avec qui elle appréciait discuter et qui l’amusait, ce qui n’était pas donné à tout le monde.
Ce n’était pas bien grave, si elle ne devait figurer que comme un numéro aux yeux de Rudolf. Evidemment, elle avait de l’égo, et une fierté présente, mais elle se doutait du genre d’homme qu’il devait être. Souvent en compagnie de femmes, et jamais deux fois la même. Mais elle espérait tout de même qu’il garderait un bon souvenir d’elle, et qu’elle ne se noierait pas dans la masse que représentait ses anciennes conquêtes. Elle n’attendait pas de remerciements ou de compliments, mais elle ne doutait pas qu’il ait passé un bon moment lui aussi. C’était déjà ça de pris.
-Dans ce cas, j'ai hâte de découvrir ton article. Tu me laisseras le lire en exclusivité ?
Ines ne put s’empêcher de sourire, amusée encore une fois par le comportement de son amant du jour. Elle ne faisait pas relire les articles qu’elle écrivait par ceux qu’elle avait reçus. Pas qu’elle ait des choses à cacher, mais cela ne faisait pas partie de la procédure. En même temps, elle était toujours restée fidèle à ce qu’il s’était dit, elle ne dérapait pas, ni n’inventait des histoires pour rendre le tout plus vendeur. Elle n’était pas la femme la plus intègre qui soit, mais elle aimait quand les choses étaient bien faites.
« Qu’est-ce que j’y gagnerais ? »
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Sam 11 Juil - 17:33
Interview en charmante compagnie
R
udolf n'était pas franchement du genre à s'intéresser à ce qu'on écrivait sur lui du moment que les propos en question savaient le mettre en valeur - ce qui était bien souvent le cas, au pire se retrouvait-il parfois au coeur de l'un ou l'autre scandale qui jamais ne l'alarmait vraiment car il était bien vite oublié la plupart du temps au profit d'une information plus juteuse (pour cause, la vie de Rudolf Brand n'était au fond pas si scandaleuse... en dehors de ses moeurs et légères et de sa relation mouvementée avec Gwen, on pouvait même prétendre qu'il était sage comme une image - pas de drogue, pas d'excès, beaucoup de ses camarades ne pouvaient pas en dire autant).
Mais il voulait bien faire une exception cette fois, parce qu'il était à vrai dire assez curieux de savoir comment se débrouillait ce joli brin de femme quand il était question d'écrire un article. Elle lui avait prouvé qu'elle était tout à fait capable d'aller... au fond des choses, sur le plan horizontal, mais c'était là un autre aspect d'elle qu'il serait curieux de découvrir. Et puis, ça ne le dérangerait pas de trouver un nouveau prétexte pour la revoir. Pas qu'il souhaite forcément faire d'Ines un plan régulier, mais sa compagnie lui plaisait définitivement, nue ou habillée. Alors pourquoi s'en priverait-il, après tout ?
Seulement voilà, Ines était joueuse, et bien évidemment, elle n'allait pas se contenter de répondre par la positive. Et il adorait ça. Définitivement, son tempérament joueur faisait partie de son charme. Logique, il faisait écho au sien. Et parce que Rudolf était un rien égotique dans son genre, il aimait évidemment beaucoup les personnalité qui ressemblaient aux siennes.
-Eh bien, tout dépend. Je ne t'ai jamais lue, après tout, je ne vais pas te décrocher la lune si je dois me mettre un article à peine passable sous la dent, se permit-il de la taquiner. Il la devinait fière, mais il ne pensait pas qu'elle serait susceptible. Il n'était clairement pas sérieux. Et par ailleurs, il serait bien incapable de juger la qualité d'un article de presse. Rudolf était tout sauf un littéraire, et certainement pas un expert en écriture. Et d'ailleurs, il s'en moquait un peu. Sinon, je te dirais bien que ton prix sera le mien. Même si je te pensais plus désintéressée que ça.
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines] Mar 15 Sep - 20:57
Interview en charmante compagnie
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Ines n’avait pas l’intention de lui faire payer quoique ce soit pour qu’il lise l’article qu’elle écrirait sur lui en avance. S’il y tenait, elle lui enverrait simplement une copie, ou alors elle le lui apporterait, ils verraient bien à ce moment-là. Mais elle trouvait qu’il était de bon ton de continuer sur celui qui avait été instauré presque dès le début entre eux. Elle continuait simplement de s’amuser avec lui, pour encore quelques minutes, avant que leurs chemins finissent par se séparer, pour ne plus jamais se recroiser, ou bien peut-être que si, elle ne pouvait pas dire. Et ce n’était pas si important. L’imprévu de cette situation était quelque chose qu’elle avait apprécié, alors elle préférait ne pas trop s’avancer en ce qui pouvait concerner Rudolf Brand.
Elle ne savait pas encore ce qu’elle écrirait sur lui, mais ce ne serait rien d’indécent, ou de dégradant pour lui. Même si elle se doutait qu’il n’accordait de toute façon pas beaucoup d’importance à ce qu’elle pourrait raconter, elle avait une certaine éthique. Elle aimait démonter totalement les personnes qu’elle n’appréciait pas, mais pour les autres, elle savait aisément les encenser, parce qu’elle-même adorait qu’on la caresse dans le sens du poil. Et ce depuis toujours, elle était comme une experte en la matière, et Rudolf avait su y faire, il n’y avait pas à dire.
-Eh bien, tout dépend. Je ne t'ai jamais lue, après tout, je ne vais pas te décrocher la lune si je dois me mettre un article à peine passable sous la dent.
Ines était une femme vaniteuse, mais elle estimait en avoir totalement le droit. Parce qu’elle ne faisait qu’énoncer une vérité. Elle se pensait et se savait parfaite, et elle l’était même dans son travail. Ses articles étaient toujours impeccables, et jamais ses supérieurs n’avaient eu à se plaindre d’elle. Mais elle ne prenait pas mal la remarque de son interlocuteur, parce qu’elle savait très bien sur quel ton il disait cela.
- Sinon, je te dirais bien que ton prix sera le mien. Même si je te pensais plus désintéressée que ça.
La jeune femme lui offrit un léger sourire, amusée. Son prix sera le sien, elle doutait de sa sincérité, parce qu’encore une fois, il ne se souciait probablement pas tant de l’article que ça, comme elle n’attendait rien de lui, mais le jeu restait plaisant. Même s’il n’y avait aucun enjeu, et aucune suite, la partie n’était pas terminée. Elle ne se terminerait peut-être pas, mais ce n’était pas plus mal. S’ils étaient tous les deux gagnants dans cette histoire c’était une bonne chose.
« Tu me connais encore mal très cher. Mais tu sais, j’aime qu’on me surprenne, alors je ne vais pas te donner la réponse, ce serait beaucoup trop simple, et beaucoup moins amusant. »
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#Sujet: Re: Interview en charmante compagnie [pv Ines]