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| + nobody says it was easy, you know. ( hagrid & zadig) | |
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Invité
| #Sujet: + nobody says it was easy, you know. ( hagrid & zadig) Dim 10 Mar - 15:38 | |
| C'était ce mouvement répétitif, fait et refait inlassablement chaque matin de mon existence qui me perturbait en ce moment précis. Je ne savais même pas pourquoi, d'ailleurs. Le truc, c'était que je pouvais le sentir dans mes os, dans ma chair, cette journée allait être une catastrophe totale, j'en étais consciente. Ramenant mes genoux sur ma poitrine, je suis restée là, léthargique, sans bouger, sans même savoir pourquoi. Posant ma tête sur mes genoux, j'inspirai un grand coup. Je n'étais même pas bien, dans cette position. J'étais partagée entre deux opposés : rester là sans savoir quelle sorte de folie était en train de me guetter, ou bouger. Comme dirait l'autre, la folie n'est après tout qu'un était de conscience, n'est-ce pas ? Apparemment oui. Frottant énergiquement mes cheveux pour leur donner un peu de matière, histoire de prendre forme humaine, je jetais un regard autour de moi. Nous avions une heure de libre ce matin, et j'avais bien l'intention de m'occuper au lieu de rester assise là, c'était décidé. D'abord me traîner sous la douche, cela me semblait être une épreuve insupportable, mais au fond, ce n'était que le début. Ce serait la suite qui serait insupportable. Pendant une instant, mon seule souhait fut de rester sous la couette. Mais non. Je n'étais pas cette fille apathique. Enfin, je n'étais pas encore elle. Je n'étais pas une ombre, bon sang ! Ce fut cette idée qui me donna la force de bouger. Les effluves de savon me récompensèrent bien assez. J'adorais cette odeur, un mélange de vanille et de noix de coco. C'était atrocement doux comme parfum. Signature olfactive, comme dirait ma mère. Elle aurait préféré que je porte du jasmin et des odeurs boisées, des vraies odeurs de femme comme elle disait. Elle disait que la vanille, c'était une senteur d'enfant. Qu'elle les garde, ses parfums d'adultes. Je ne pris même pas la peine de me maquiller, c'était inutile. Quelle importance ? De toute façon, je n'avais personne à impressionner. Lorsque je sortis de la salle de bain, je fus acceuillie par un aimable et détestablement sincère " Tu vas bien, Zadig ?" Cette fille était si gentille. Gentille et innocente. Je me contentai d'hocher la tête avec un petit sourire faussement lumineux. Elle comprendrait. Toujours souriante, elle me serra légèrement le bras avant de quitter le dortoir. Mais, bon sang ! Qu'est-ce que je faisais à Poufsouffle... ? D'accord, je n'étais pas la pire des pestes ( Clio Brunett sors de mon corps ! ), mais quand même... Ha oui, c'est vrai. Pas assez forte pour Gryffondor, trop feignante pour Serdaigle, trop honnête pour les serpents. Oh, pauvre de moi.
Bref, j'errais sans but dans le parc depuis 5 minutes qui me semblaient être une éternité. Dieu seul sait combien le passe lentement lorsqu'on est à Poudlard. Sincèrement, en plus d'avoir l'impression constante que nous sommes coupés du monde ( ce qui est un peu le cas, entre nous... ), j'ai l'impression que le temps s'est arrêté. C'est peut-être moi qui déraille, aussi. Certainement. Bref, mes pas m'avaient porté jusqu'à la forêt interdite. En jour, elle me faisait pas peur, c'était vrai. A vrai dire, si j'y suis retournée plusieurs fois depuis la fois où Hagrid m'avait retrouvée, totalement perdue et paniquée ( heureusement qu'il a gardé ça pour lui, bon dieu. ), rien que pour l'adrénaline et le goût du risque, elle m'inspirait toujours une certaine crainte. En effet, la forêt réveillait en moi un sentiment d'insécurité et de perdition totale. Et c'était vraiment terrifiant. Soudain, au loin, je vis apparaître Hagrid. Certes, ce n'était pas bien dur de le rater, mais tout de même, j'aurais pu, plongée dans mes pensées comme je l'étais. Je me dirigeais vers lui, bras croisés. " Salut" lâchai-je sur un ton amical. J'aurais pu être amère, mais j'avais une telle affection pour Hagrid que c'était impossible. " T'as l'air content d'être rentré de vacances, dis donc." Je n'aurais su dire s'il était de bonne ou de mauvaise humeur, donc je faisais tout de même attention. " Ça va ? Ça doit être... pas vraiment facile. Je sais que tu peux te débrouiller tout seul et tout, mais... si quelqu'un te casse les pieds et que tu ne veux pas t'attirer d'ennuis, dis-le moi, je m'en occuperais. " proposai-je en posant ma main sur on épaule. Sérieux, mais comment pouvait-on ne pas aimer un garçon comme ça ? Hagrid n'était pas un meurtrier. Il y avait anguille sous roche. Et le pot aux roses était sous nos yeux, j'en étais persuadée. |
| | | Rubeus Hagrid ▌ Messages : 644 Humeur : En couple avec : Personne QUI SUIS-JE?Baguette: Un parapluie roseCamp: BienAvatar: Jared Leto
| #Sujet: Re: + nobody says it was easy, you know. ( hagrid & zadig) Mar 12 Mar - 22:42 | |
| Hagrid revenait d'une visite dans la forêt interdite, la rentrée avait repris depuis quelques jours, et le demi-géant tenait à s'assurer que les créatures avaient compris que les élèves étaient de retour. Rubeus adorait ce qu'il faisait pour l'école, c'était un travail important s'assurait que personne ne se perdait dans la forêt, l'année dernière il avait trouvé quelques élèves, notamment une fille poufsouffle qui s'était perdue dans la foret, la pauvre elle avait complétement paniquée dans les bois sombres. Hagrid ne gardait pas particulièrement les secrets, d'ailleurs il avait tendance à parler un peu trop, surtout en compagnie de Steve et Dora, ses deux meilleurs amis, avec qui il se sentait trés à l'aise. Mais si on lui demande rien, il parle pas. Donc l'incident avec la jeune fille, Zadig, qu'elle avait dit qu'elle s'appelait, était resté un souvenir dans sa mémoire. Il pensait justement à elle, parce qu'elle venait vers lui, elle avait les bras croisés, mais ne semblait pas en colère. Donc Hagrid relâcha la pression. Il n'était pas rassuré quand un élève arrivait comme ça vers lui, il avait toujours peur qu'on l'accuse de quelques chose. Heureusement, il était grand et avait une grosse voix, ce qui intimidé certains. Mais pas tous! Par exemple, un certain préfet de Serpentard, non lui il n'était pas intimidé du tout, et n'avait pas hésité un instant pour l'accuser de meurtre.
"Salut" fit-il à la jeune femme qui s'arrêta vers lui. Elle lui demanda si il était content d'être rentré de vacances. Mais le demi-géant n'avait pas quitté Poudlard. Et il se débrouillait trés bien tout seul, il avait les elfes pour les repas, Albus venait le voir de temps en temps, et Steve et Dora étaient venu le voir pendant les vacances. D'ailleurs Bouledepoil, devait se trouver dans la cabane. Il le trouvait encore un peu jeune pour aller dans le forêt interdite. Il sourit à la jeune fille qui lui proposait de s'en prendre à ceux qui lui casser les pieds. Mais ça arrivait de moins en moins, au fil des mois. Sans doute avaient-ils commencer à oublier le garde de chasse. C'est une des raison pour lesquelles, il n'osait pas encore rentrer à Poudlard. Il avait peur de se rappeler à eux. "Tout va bien, je suis resté ici pendant les vacances, mais je suis content de retrouver tout le monde" fit-il. il avança vers sa cabane et ouvrit la porte. Bouledepoil un petit chiot tout noir, qui se mit à sautiller et à aboyer avec énergie. Hagrid se pencha et le souleva pour le présenter à Zadig. "Bouledepoil, mon nouveau compagnon" dit-il pas peu fier devant son petit chien bien à lui.
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| | | Invité
| #Sujet: Re: + nobody says it was easy, you know. ( hagrid & zadig) Sam 16 Mar - 22:28 | |
| Peut-être qu'il avait cru, à première vue, que j'étais animée de cette colère froide et sans pitié, comme tous les autres. Non, il n'y avait presque plus de colère en moi, ce n'était plus la haine ou la rancoeur ( mais est-ce qu'une gentille poufsouffle comme moi était sensée ressentir ces émotions là ? ) qui me faisaient me lever ces matins ombrageux de Septembre. C'était un mélange de vide, car j'avais l'impression que si je ne bougeais pas, ce même vide allait m'engloutir et me réduire à néant, comme une marionnette sans âme. Mais après tout, j'étais déjà une marionnette. Restait à savoir si mon âme, elle, était encore là. Il fallait bien l'admettre : ce n'était pas la gentillesse, la compassion, l'envie de faire le bien, ou plus drôle encore, un amour démesuré pour mon prochain qui me faisait vivre, mais bien ma capacité à être prompte aux vices les plus infâmes. N'était-ce pas le plus cruel ? Et, oui, j'étais bien une marionnette, j'avais beau, depuis que j'avais l'âge de comprendre à quoi se résumait ma triste vie, faire ma rebelle, provoquer ma divine mère dans l'espoir qu'elle comprenne enfin que moi j'étais définitivement perdue, il n'empêchait que depuis que j'étais petite, elle me manipulait indécemment, sans pitié, influençait mes choix, sans être jamais trop près, tout en me laissant croire que je prenais tout mes choix, ces choix si destructeurs, qui avaient façonné ma personnalité de façon à me rendre ignoble, cynique, vicieuse, que tout ces choix étaient pris de mon libre arbitre. Ceux qui pensaient que j'étais une peste snob n'avaient jamais vu ma mère.
Ce que nous avions en commun, avec Hagrid ? Cette manière de survivre à tout ce qui pouvait nous arriver, à encaisser, sans même avoir la possibilité de monter directement sur l'échafaud la tête haute afin d'en finir avec tout ça. Ce monde était si cruel, et Hagrid n'était pas comme moi, ha, s'il avait été perverti, prompt au vice, un immonde séducteur sans morale, un meurtrier, un vrai, oh, oui, tout ça, il l'aurait mérité, mis lui était innocent, il ne méritait ni d'en finir ni de s'en prendre plein la figure, alors, quelles options lui restaient-il ? Moi, c'était différent. Je méritais ma réputation de peste, de fille facile, de fille populaire mais solitaire, de fille qui se gâchait, je méritais tout ce qui m'arrivait dans la vie. Je me rappellerais toujours, même quand je serai une mamie fripée, ratatinée sur elle-même, engloutie par le vide luxueux de temps qui passe et des ravages qu'il occasionne, hantée par la mort qui virevolte autour d'elle comme un mirage, le visage bouffé par les rides, quand je serais moche, amnésique, que je pourrais à peine parler et que mes petits enfants me rendront visite seulement par pitié et que mon mari sera en train d'agoniser en fumant sa clope et en murmurant des paroles sans sens, oh, oui, même là, je m'en rappellerai de ce que me conseillait cruellement ma mère, et ces paroles destructrices étaient les mêmes que lui répétait sa propre génitrice, et je leur dirais, à la chair de ma chair, à ces enfants ignobles et pervertis " Souris, garde la tête haute, soit sûre de toi, ça te fera oublier un instant que tu n'es qu'une gamine que tous manipulent sans scrupules, et que, toute ta vie, tu devras te torturer, te briser, pour qu'ils aient un semblant d'amour pour toi, et aussi, que la fille là-bas est beaucoup plus mince que toi ma chérie." Et la chair de ma chair sera alors brisée comme je l'ai été, et cela continuera ainsi. Garder, la tête haute, quelle belle blague.
Les paroles de Rubeus me sortent de ma rêverie, merci. " Ça t'as pas fait bizarre de rester tout seul mais je suppose que Dora est venue te rendre visite ? " La seconde phrase m'était plus destinée qu'à lui, mais aucune importance. Et je n'avais pas mentionné Steve pour la bonne raison que je ne voulais surtout pas que l'on me bassine avec ça. Nan mais ho, Jéhudiel nous prêtait déjà une liaison, alors autant éviter qu'une rumeur débile ne s'ébruite à cause de cet imbécile. Je me mis à sourire. " Oui, c'est là qu'on voit que même avec tout ce qui c'est passé cet été, quand on voit les même personnes qu'il y a deux mois, avec toujours les mêmes habitudes, en fait, ils n'ont pas changé, et bien au final, j'ai l'impression que rien n'a vraiment changé tu sais..." Hagrid me tendit alors un espèce de machin noir qui aboyait à la mort. Un chiiiiiiien ! Je ne suis pas fan des animaux, mais les chiens ont tendance à me faire fondre en deux secondes, ainsi que les chats et les petits ours aussi, mais bon, entre nous, c'est assez dur d'avoir un ours en animal de compagnie, comme c'est bizarre. " Oh, il est vraiment adorable, j'ai toujours voulu en avoir un ! Hello, Bouledepoil, darling, tu sais que tu es mignon comme tout ! " me suis-je extasiée comme une gamine. J'ai commencé à caresser l'adorable animal. " C'est une bonne idée d'avoir un chien, surtout si tu vas dans la forêt, au cas où, hein . " Grand sourire de ma part, entre nous la mention de la forêt, limite c'était une private joke quoi. |
| | | Rubeus Hagrid ▌ Messages : 644 Humeur : En couple avec : Personne QUI SUIS-JE?Baguette: Un parapluie roseCamp: BienAvatar: Jared Leto
| #Sujet: Re: + nobody says it was easy, you know. ( hagrid & zadig) Mar 19 Mar - 17:30 | |
| Hagrid tendait Bouledepoil devant lui, en face de la jeune femme qui semblait trés contente de faire connaissance avec le petit chiot, il était plein de vie, et avait tendance à courir dans tous les sens, il avait aussi la langue qui avait tendance à lécher tous ce qui passait un peu trop de prés de lui. Il était trés affectueux et gentil. Hagrid était content d'avoir un nouveau compagnon. Bon bien sûr, c'était pas un dragon, comme il avait toujours rêver d'en avoir un. Mais il faudra sans doute attendre. (presque quarante cinq ans pour voir un bébé dragon dans la cabane de Hagrid, un Norbert cracheur de feu), mais ne parlons pas de l'avenir, parlons du présent, Bouledepoil lui avait été offert par Dora et Steve qui étaient venu le voir pendant les grandes vacances, avec ce petit chiot. Il répondit à Zadig par un autre sourire. "C'est un cadeau de Dora et de Steve"précisa-t-il en le reposant par terre, la petite peluche noir se mit en tourner autour d'eux, en aboyant joyeusement, puis revenait vers la cabane en secouant sa petite queue. Il était content de voir du monde rentrer dans sa maison.
"Il est encore un peu petit pour partir dans la forêt, mais oui il pourra sans doute m'aider" fit Hagrid, bien que Bouledepoil serait sans doute plus un ami, qu'un garde chasse. Hagrid leva les yeux vers la forêt et pensa au chien à trois têtes qui erraient encore dans les bois, et puis aussi à Aragog, qui commençait se faire son petit nid dans un coin sombre de la forêt interdite. Tout le monde pensait qu'il s'agissait du monstre de la chambre de secret mais c'était pas vrai. Mais Hagrid n'avait pas eu les moyens de le prouver, on avait cassé sa baguette et sans l'intervention de Dumbledore, il serait peut-être à Azkaban. "Tu veux boire quelque chose?" demanda Hagrid à Zadig, ils pourraient sans doute mieux converser autour d'une tasse de thé, surtout que Bouledepoil semblait préssé de voir tout le monde entrait dans la cabane pour s'occuper un peu de lui. Le demi-géant entra donc chez lui, dans la cabane au fond du parc de Poudlard, et commença à faire chauffer de l'eau avec la bouilloire, et se tourna vers Zadig pour connaître la réponse de la jeune femme. Afin de savoir si il devait sortir deux tasses, ou qu'une seule. "Des gâteaux?" proposa-t-il en posant une boite de biscuit sur la table de sa petite cabane. Bien qu'elle était trés haute de plafond, et Hagrid avait largement la place de pouvoir se tourner. Mais évidement, ce qu'il préférait c'est être dehors ua grand air.
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| | | Invité
| #Sujet: Re: + nobody says it was easy, you know. ( hagrid & zadig) Sam 27 Avr - 20:22 | |
| J'étais en train de me demander distraitement ce qui se serait passé si Hagrid n'avait pas été le coupable désigné dans toute cette affaire, s'il n'avait pas été le gladiateur jeté dans l'arène, s'il n'avait pas été le monstre. Si la nature humaine était différente, il n'y aurait pas eu de bouc emissaire, certes. Mais c'était dans le genre humain de faire semblant de se lamenter devant la mort et la désolation, alors, qu'au fond de nous, dans notre nous-même le plus obscur, il y avait soit un enfant prisonnier et effrayé qui appelait au secours, soit une bête sauvage qui jouissait devant le carnage. Pour ma part, j'avais plutôt l'impression qu'il y avait une petite fille qui hurler à s'en fendre le coeur au secours dans mes entrailles. La petite fille, elle était traquée. Par la bête qui était dehors. Et cette bête, ce n'était pas Hagrid. Mais alors, qui était le monstre ? Du moins, qui était l"humain le plus perverti de Poudlard ? Moi ? Le garçon qui marchait là-bas ? La fille que je croisais si souvent au deuxième étage ? Car, après tout, la quasi totalité des êtres humains prenaient un plaisir infâme à saccager la vie des autres. C'était le propre de l'espèce humaine. Les paroles d'hagrid me réveillerent brutalement. Tiens, encore Steve. Décidemment, celui-ci, il me suivait partout, sans même être là. Quelle sainte-horreur. " Je les reconnais bien là. " lâchais-je pour tout commentaire. Offrir un chien à Hagrid, c'était vraiment une chose qui allait lui faire plaisir à coup sûr. Ils n'étaient pas ses meilleurs amis pour rien.
J'hochai automatiquement la tête à ses paroles. Inutile d'en dire plus. Je savais autant que lui que Bouledepoil serait peut-être le seul qui serait loyal à Hagrid jusqu'à la toute fin. Car, parfois, les animaux traités magiquement vivaient plus que les sorciers eux-mêmes. Puis, l'époque était dangereuse. Ensuite, Hagrid m'a proposé de boire quelque chose. Un de ces cocktails que j'avais un jour eu l'occasion de boire chez le fils d'un banquier de Dublin me tenterait assez, mais vu qu'Hagrid ne me semblait pas très friand de ce genre de boisson... " A défaut d'un bloody mary, j'aimerais bien un thé. Histoire de me préparer à cette ennuyante journée" Oh noooooon pas de gâteaux. Surtout pas de gâteaux. Je sais que je suis censée être délicate, polie et distinguée, mais même pour hagrid, sentir le crac de mes dents au moment où je tente de mâcher ses ignobles... gâteaux, je ne peux pas. " Non, merci. C'est gentil, mais j'suis au régime. " Moi mythomane ? Un peu, beaucoup, passionnément... |
| | | Rubeus Hagrid ▌ Messages : 644 Humeur : En couple avec : Personne QUI SUIS-JE?Baguette: Un parapluie roseCamp: BienAvatar: Jared Leto
| #Sujet: Re: + nobody says it was easy, you know. ( hagrid & zadig) Mar 30 Avr - 18:38 | |
| Zadig accepta le thé avec joie, mais refusa les gâteaux à cause d'un régime. Le demi-géant trouvait les idées de régime des filles un peu bizarre, mais se passa de commentaires, surtout que la jeune Poufsouffle n'en avait pas vraiment besoin. Il sortit deux tasses de son placard et les posa sur la table, une devant la jeune fille et l'autre prés de la chaise où il allait s'asseoir. La bouilloire se mit à siffler, indiquant que l'eau était bouillante. Il prit la bouilloire et versa une bonne quantité d'eau dans les grandes tasses. Puis poussa vers la jeune fille sa boite à thé contenant une grande quantité de thé, qu'il partageait volontiers avec ses amis, où ceux qui venait lui rendre visite. Il y a peu de temps, c'était le professeur Dumbledore qui était passé pour lui demander comme il allait. Avant c'était Dora et Steve qui lui avaient apporté Bouledepoil, ce dernier d'ailleurs, sautillait aux pieds de la jeune fille.
"Je crois qu'il veut un câlin, mais fait attention il a une grande langue" fit Hagrid dans une sourire en prenant place face à la poufsouffle. Bouledepoil avait effectivement tendance à vouloir lécher tout le monde, c'était sa façon de faire connaissance, et de montrer son affection, et sa sympathie. Quoique la dernière fois, il s'était retrouvé face à un serpent, et sur le coup, il n'avait eu vraiment envie de faire ami-ami avec la petit reptile. "Comment se passe tes cours?" demanda-t-il, lui aussi aurait bien voulu retourner à l'école, mais il ressentait de moins en moins la tristesse de ne plus pouvoir s'assoir dans une salle de classe. Sans doute acceptait-il de plus en plus l'idée que la magie c'était bel et bien terminé pour lui. Il jeta un coup d’œil vers son parapluie rose avec un sourire sur les lèvres. Bien sûr il ne pouvait pas parler de tout ça, sa baguette avait été cassé, et si certains morceaux se trouvait dans l'objet, c'était uniquement parce Steve avait prit un grand risque. Et puis, et surtout il n'avait pas le droit de faire de la magie. Mais l'ancien gryffondor n'avait jamais été trés doué pour les cours, sauf peut-être ceux de soins aux créatures magiques, mais aussi de Botanique. Les potions et les sorts ça n'avait pas toujours trop bien marché. Mais Dumbledore avait été d'une patience pour lui enseigner la Métamorphose. Il n'existait plus beaucoup de professeurs et d'hommes comme lui de nos jours...
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