Une nuit de décembre,
« - Monsieur Des Ormes ? »
L’homme releva la tête, il portait un costume gris, un nœud papillons et des chaussure en cuir pointue. Edouard Des Ormes était de ses personnes toujours tiré à quatre épingle, impeccablement coiffé et toujours à la dernière mode, la seule chose que les moldus faisaient de bien, à son humble avis.
« - Quoi Oggy ? »
L’elfe de maison releva doucement la tête.
« - L’accouchement de Madame est terminé. »
L’homme replia son journal et se leva, qu’importe les circonstances, Edouard ne se laissait jamais perturber.
« - Vraiment ? Et bien si elle n’est pas trop fatigué, je m’en vais la retrouver. »
A vrais dire que sa femme soit fatigué ou non, cela n’aurait nullement empêcher Monsieur Des Ormes d’aller voire sa progéniture. Il pénétra dans la pièce sombre, seulement éclairer par un lampe à huile. Allonger dans le lit baldaquin Alycia tenait dans ce bras un petit amas de couverture. Edouard embrassa sa femme et prit le bambin dans ses bras. Un sourire éclaira son visage si sérieux et ses yeux s’humidifièrent légèrement quand il approcha la petite fille de son visage.
« - Bienvenue parmi nous, mon ange. »

Quatre ans plus tard,
« - Ange, mets ton manteau s’il te plait. Ton père nous attend. »
La petite tête blonde se releva, et eut une moue renfrogné.
« - Mais mère… J’aimerais autant l’attendre à la maison. »
Alycia fronça les sourcils.
« - Ne commences pas jeune fille ! Je me passerais de tes caprices ce soir, alors maintenant tu mets ton manteau et tu te dépêches. »
La blondinette suivit sa mère, une moue boudeuse sur le visage, elle n’avait jamais aimée le vendredi soir… Il fallait toujours qu’elle accompagne sa mère au ministère ce soir-là, puis le restaurant… et ensuite le théâtre… Qu’est-ce qu’elle pouvait haïr cela, enfin au moins son père était ravis à chaque fois. Justement, il sortait de son bureau.
« - Alycia. »
Ange ce demandait toujours pourquoi une telle tension entre ses parents, son père l’embrassait sur le front, et c’était tout. En revanche avec sa fille c’était toute autre chose, il la soulevait dans ses bras et elle avait le droit au rare sourire de son père.
« - Bonjour ma petite Ange. Tu as passé une bonne journée ? »
Sourire, toujours sourire pour son père, il détestait la voire bouder.
« - Très bonne père… mais je dois dire que je suis très fatigué. »
Edouard avait froncé les sourcils et c’était tourner vers sa femme.
« - Tu aurais dut m’envoyer un hiboux pour me prévenir que la petite voulait se reposer. Ne la force pas à sortir si elle est fatigué. »
Alycia avait soupirer, ne pas la forcer, toujours lui céder… Edouard ne serait surement pas comme ça si ils avaient réussit à avoir d’autre enfants… Ange était née suite à de nombreuse fausse couche et depuis elle était devenue la petite protégée de son père et il ne fallait surtout pas la contrarier. Redoutablement intelligente, capricieuse et manipulatrice, mais inutile de contredire Edouard à propos de sa fille il pouvait alors se montrer d’une rare violence.
« - Bien, la prochaine fois nous resterons à la maison. »

Deux ans plus tard,
« - Ange ! Qu’est ce qui c’est passer ici ? »
La petite fille était recroqueviller dans un coin de la pièce, les yeux baigner de larme. Face à elle gisait le corps sans vit d’une femme. Alycia était dans l’embrassure de la porte, elle étouffa un cris de stupeur. Le salon était sans dessus-dessous, son mari ne tarda pas à la rejoindre. Il se précipita sur sa fille et la prit dans se bras, elle tenait encore la baguette de sa mère dans les mains.
« - Mais pourquoi ne l’as-tu pas mieux ranger Alycia ? Tu ne peux pas faire attention ! Regarde la petite. »
Il radoucit doucement sa voix.
« - Tout vas bien ma chérie… Ne t’inquiètes pas tout va bien, papa est là… Ce n’était qu’une sang de bourbe… Allez arrêtes de pleurer mon ange, tout vas bien ma puce… tout vas bien… »

Cinq ans plus tard,
« - Père, je ne veux pas y aller… Je veux resté avec vous et mère… »
Edouard avait caresser la longue chevelure blonde, et regarder un long moment les jolies yeux bleus. Depuis la mort de sa nourrice la jeune fille était devenue assez timide et renfermé… Enfin sauf dans ces moments de colères.
« - Ne t’en fais pas ma puce, tout ira bien. Et puis nous vivons à Londres maintenant, nous ne sommes pas loin. »
La jeune fille était entrée dans le poudlard express et s’était installer sur un siège, raide et timide. Elle était arrivée intimidé dans la grande salle et c’est avec la même angoisse qu’elle était montée sur le tabouret, sa peur ne la quitta pas quand elle fut envoyer à Serpentard.

Trois ans plus tard,
« - Ne me fait pas rire… Toi et moi, sortir ensemble ? Allons ait un peu de bon sens, qu’est-ce qu’une fille de mon rang ferait avec un sang de bourbe comme toi ?! »
Elle avait éclaté de rire.
« - Oh ne fait pas cette tête, après tout je n’ai d’ange que le nom. »
On change en trois ans, surtout quand votre jolie visage et votre apparente fragilité fait de vous une petite privilégier dans votre maison. Elle avait tournée les talons et s’était dirigé vers un groupe d’élève portant le même uniforme vert et tout aussi ravis qu’Ange vis-à-vis de son attitude avec le jeune Poufsouffle. La petite blondinette faisait des ravages avec son jolie minois.

Trois années ont encore passé,
« - Un fiancé ? »
La jeune fille avala de travers sa gorgée de thé.
« - Mère, où avez-vous la tête ? J’espère au moins que c’est père qui l’a choisit, car si je m’en remet à vous ce sera un espèce d’idiot… Un sang mêlé au mieux… Voilas qui serait fort amusant, n’est-ce pas père ? »
Edouard avait fermé son journal.
« - Ne t’inquiètes pas, Ange. C’est moi qui l’ai choisit, un sang pur, bien évidement, un prince à ta hauteur, et rien est encore dit... Si le jeune homme ne te plait pas je te promet qu’il n’y aura aucun mariage.»
La jeune fille avait eut un sourire, son père l’avait toujours traité comme une princesse , à n’en pas douter il avait surement sélectionner avec soin la personne qui allait partager la vie de sa chère fille.
« - Tu as toute l’année pour voir si ce jeune homme te plait. »
Ange eut un petit sourire, à coup sur l’année promettait d’être passionnante.

PRENOM – Noyami.
PSEUDO – Noy.
AGE – 19 ans.
NOMBRE DE LIGNE – Entre quinze et vingt-cinq.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? – Via un partenariat.
QUE PENSES TU DU FORUM ? – Il à l’air très sympathique.
ACTEUR SUR VOTRE AVATAR – Florrie Arnold.
UN MOT POUR LA FIN ? – Hmm, bonjour à tous !