Rencontre foudroyante

Lizzie marchait dans une ruelle de Londres, du côté moldue, elle se rendait dans la librairie où elle avait déjà été avec Carlotta. Elle pensait souvent à Harfang, et à son travail à Gringotts. Elle ne savait pas du tout quoi faire face à ses sentiments, elle ne savait pas si elle devait ... faire plus pour avoir une relation avec lui, ou bien rester professionnel pour peu à peu l'oublier et ne plus penser à lui. Mais évidement travailler avec lui, chaque jour, n'arrangeait pas les choses. La jeune femme avait donc commencé à observer les sorciers pour se trouver un nouveau partenaire, elle se sentait à nouveau prête. Elle avait même demandé à son père la liste de ses prétendants pour choisir, ou au moins fréquenter l'un d'eux et voir si elle pouvait développer des sentiments pour l'un d'eux. Lizzie aimait bien les moldus, elle n'avait rien contre eux, mais elle n'avait jamais envisagé de les voir comment des partenaires potentiels. Elle avait toujours des restes de son éducation de sang-pur.

Lizzie était dans la lune à penser à Harfang, quand elle se prit la porte de la fameuse librairie où Lizzie voulait se rendre. Sa tête heurta fortement la porte, elle se recula en se frottant les cheveux pour chasser la douleur. Elle leva la tête pour comprendre ce qui venait de passer, est-ce qu'elle avait été distraire au point de se prendre la porte toute seule. Mais non un jeune homme se tenait devant elle. Lizzie le trouvait vraiment mignon, et son cœur rata un battement, à l'intérieur d'elle-même, elle avait l'impression d'être toute molle. Si elle n'avait pas été attiré par l'attraction terrestre, elle se serait presque envolé dans les cieux.
"Euh, ça va?" demanda Lizzie, même si c'était elle qui avait eu le plus mal dans l'histoire. Mais elle était perturbé par cette sensation, qu'elle ne connaissait pas vraiment. C'était la première fois qu'elle ressentait un truc comme ça.

Rencontre foudroyante.

Dennis avait décidé de sortir de chez lui. Oui, bon, ça pouvait semblait être une information anodine et peu intéressant, mais dans la vie du jeune homme ce n’était pas rien du tout qu’il se décide à partir de chez lui, à quitter son appartement. Évidemment, il était bien obligé de le faire de temps en temps pour travailler et essayer de s’en sortir un minimum, mais là il ne sortait pas pour travailler. Il avait décidé de faire un tour. Oui, ça n’était pas grand-chose en soit, mais c’était quand même beaucoup pour Dennis.

En fait, depuis que Amy lui avait rendu visite (mais ça avait surtout commencé par la lettre qu’elle lui avait envoyé), le jeune homme ne pouvait pas nier qu’il cogitait quand même énormément. C’était quelque chose qu’il faisait de base de toute façon, il passait son temps à penser à ce qui s’était passé dans son enfance avec Tom et Amy. Mais là, c’était différent. Le jeune homme ne saurait dire, mais le retour de la jeune femme dans sa vie ça lui faisait quand même quelque chose. Et donc, oui, il sortait dans le but de sortir seulement.

Enfin, Dennis prit la peine de s’arrêter à une librairie, dans le but d’acheter un ou deux livres. Il n’avait pas beaucoup d’argent sur lui, il n’en avait pas beaucoup tout court, mais il se disait qu’il pouvait bien trouver un livre pas cher. Quelque chose qui puisse peut-être l’occuper un peu, quand il avait un peu trop tendance à cogiter et penser à ce qui s’était passé autrefois. Peut-être qu’ainsi, il allait pouvoir réussir à dormir un peu sans avoir besoin de drogue. Non parce qu’il n’était pas idiot, il savait bien que le remède qu’il se procurait (et qui lui revenait quand même assez cher) n’avait rien de sain. Mais c’était la seule chose qui lui permettait de dormir.

Il avait donc trouvé son bonheur, un petit livre qui devrait faire l’affaire qu’il avait eu pour à peine cinq livre. Il ne payait pas de mine, il ne ressemblait à rien et Dennis n’était même pas certain qu’il y ait toutes les pages, mais ça allait faire l’affaire. Il n’avait donc plus qu’à rentrer chez lui (il ne fallait pas exagérer, il n’allait pas passer sa journée dehors non plus), et pour ça il s’approcha de la sortie de la librairie et ouvrit la porte. Il ne s’attendait malheureusement pas à ce qu’il y ait une jeune femme derrière la porte, qui se la prit en pleine tête. Dennis se sentit soudainement idiot, se tendit tout d’un coup, incapable de dire quoi que ce soit. Il se sentait bête et le pire c’était que la jeune femme lui demanda s’il allait bien. Alors que c’était elle qui venait de se prendre la porte en pleine figure.

« Heu… oui… enfin, je… ça va. » Oui bon bah dès qu’il s’agissait de parler avec quelqu’un d’autre. « Mais euh… toi, tu… tu vas bien ? »

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Lizzie était bien incapable de réfléchir posément, elle regardait le jeune homme comme un poisson hors de son bocal. Son estomac continuait de faire des yoyo et son cœur des boom-bomm. La jeune fille ne se sentait pas trés bien, en plus elle avait mal à la tête, parce que son front avait cogné dure avec la porte. Le jeune homme semblait lui aussi confus et désolé de lui avoir rentrer la porte dans le nez.
"Euh... oui... oui-oui, ça va bien" fit Lizzie avant de se frotter doucement le front comme pour en chasser la douleur. Elle fit un sourire un peu bête, quand elle entendit un toussotement derrière elle. La jeune fille se retourna pour voir qu'une vieille dame semblait vouloir entrer dans la boutique.
"Ah ... euh.. oui... Pardon" fit Lizzie en faisant quelques pas sur le côté, mal assurée par son mal être dû à la présence de cet homme, elle faillit se reprendre la porte dans la tête, quand la vieille dame l'ouvrit pour entrer.
"Oh... " fit-elle alors que son nez s'arrêta à un centimètre de la porte. Elle soupira de soulagement. Puis elle s’éloigna de la porte, craignant se la prendre à nouveau.

Lizzie se trouvait sur le côté, et tendait de mettre un peu d'ordre dans ses idées Elle n'était pas particulièrement maladroite, mais là en l’occurrence, elle enchainait un peu les boulettes dans cette histoire. Mais la présence du jeune homme ne l'aidait vraiment pas à comprendre ce qui était entrain de se passer. Pourquoi avait-elle la tête complétement out, le ventre dans lequel des papillons dansaient, et un corps un peu flagada.
"C'est ... pas trop mon jour" commenta Lizzie, alors que malgré son mal de tête, elle avait l'impression que c'était le plus beau jour de sa vie.

Rencontre foudroyante.

Dennis espérait vraiment que la jeune femme sous ses yeux ne s’était pas fait trop mal, même si elle venait quand même de se prendre une porte dans la figure et donc qu’elle ne devait pas avoir la grande forme. En tout cas, Dennis se disait que de son côté, il souffrirait quand même de s’être fait frapper de la sorte. La jeune femme reprit la parole, clairement mal assurée mais le jeune homme ne pouvait pas deviner une seule seconde de pourquoi elle était si mal assurée, pour affirmer qu’elle allait bien. Dennis était un peu soulagé, se disant surtout qu’ils allaient pouvoir reprendre leur route chacun de leur côté et que ce n’était pas une si mauvaise chose. Oh, Dennis n’avait rien contre la jeune femme en soit, mais disons qu’il se sentait particulièrement mal à l’aise, il n’appréciait pas forcément faire de nouvelle rencontre, encore moins dans ce genre de circonstance.

Dennis se décala quelque peu quand une femme toussa derrière l’inconnue parce qu’elle avait envie de rentrer à son tour. Il observa la scène, alors qu’elle entrait donc, et que Lizzie ne manqua pas de manquer de se prendre encore une fois la porte. La pauvre, ce n’était pas évident du tout. Au final, la dame qui voulait entrer entra et ils se retrouvèrent de nouveau que tous les deux devant l’établissement. La jeune femme affirma que ce n’était pas sa journée, ce que Dennis pouvait comprendre. Quand bien même de son côté, c’était toutes les journées qui n’étaient pas ses journées au final.

« Dé… désolé pour toi. » Dit-il simplement, ne voyant pas bien ce qu’il pouvait dire de plus.

Et peut-être qu’il devrait enchaîner, dire quelque chose, faire quelque chose. Mais il en était incapable, il restait planté là. Il ne parvenait même pas à s’en aller, alors que franchement, il avait bien envie de rentrer chez lui et de retrouver le « confort » de son appartement.

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Lizzie se sentait trés gauche en présence du jeune homme, elle avait faillit par deux fois se prendre la porte dans le nez. Alors pas prudence, elle s'éloigna de l'ouverture du magasin. Elle s'approcha donc du jeune homme par la même occasion. Lizzie fondait littéralement en le regardant, et dés qu'elle croisait son regard, elle avait l'estomac qui faisait des yo-yo, c’était bien la première fois que cela lui arrivait, enfin d'une manière aussi intense, avec une personne qu'elle ne connaissait pas du tout. C'était donc à ça que ressemblait un coup de foudre. C'était différent de ce qu'elle avait ressentit avec Bill, avec lui c'était plus sur la longueur qu'elle avait été amoureuse, et peut-être aussi parce qu'elle était obligé de l'aimer, vu que c'était un mariage arrangé. Et puis avec Harfang, ça avait été plus modéré, mais ça grandissait un peu chaque jour, et cela l’inquiétait beaucoup, car leur histoire n'a aucun avenir. C'est bien pour ça qu'elle n'a rien commencé, et qu'elle fera tout pour que rien n'arrive.

Mais ce garçon, c'était fort, elle se sentait toute retournée, et elle avait envie d'en apprendre plus sur lui. Elle lui fit un sourire en venant vers lui.
"Vous venez souvent à la libraire?" demanda Lizzie qui n'avait pas envie que le jeune homme s'en aille. Elle voulait pouvoir discuter encore avec lui, elle était bien curieuse d'en savoir plus sur lui. Peut-être qu'elle aurait la chance de pouvoir le recroiser, de pouvoir vivre un quelque chose avec lui, même si le fait qu'il soit moldu allait vraiment gêner ses parents, mais Lizzie s'en fichait royalement, elle voulait tout simplement suivre son cœur, bien que pour l'heure il lui disait des choses un peu étranges. Elle aurait même pu croire qu'elle avait été envouté, si le jeune homme n'était pas un moldu.

Rencontre foudroyante.

La jeune femme à ses côtés était quand même sacrément étrange. Bon, Dennis n’avait pas de raison de le penser, parce que quand on le voyait lui de son côté, on devait souvent le trouver étrange. Mais en même temps, le moldu n’avait rien demandé à personne de son côté. Bref, il trouvait cette fille un peu étrange, mais c’était surtout parce qu’elle était quand même sacrément différente de lui. En tout cas, Dennis était quand même soulagé de savoir que la jeune femme ne s’était pas fait plus mal que cela, il se serait senti clairement mal à l’aise. Bon, en fait, il aurait été encore plus mal à l’aise qu’il ne l’était déjà, parce que clairement le jeune homme n’était pas du tout à l’aise en cet instant précis.

Parce qu’il ne pouvait que se sentir de plus en plus mal à l’aise alors qu’elle s’approcha de lui. Dennis n’était pas à l’aise avec les autres, encore moins ceux qu’il ne connaissait pas. Bon, il parvenait à être un peu à l’aise par instant avec ceux qu’il connaissait bien, mais là le jeune homme avait clairement le sentiment de se retrouver en dehors de sa zone de confort (qui se résumait plus ou moins à son appartement en réalité). La jeune femme s’approcha de lui, lui demandant s’il venait souvent à la librairie. Il n’avait rien contre elle, mais clairement il avait juste envie de rentrer chez lui, de retrouver son appartement et de penser à autre chose. Et il était bel et bien évident que le jeune homme n’imaginait pas une seule seconde qu’il avait tapé dans l’œil de la jeune femme. En même temps, quand il était question des femmes, Dennis était le plus ignorant du monde. Sans doute parce qu’il n’y avait eu qu’une seule fille pour… enfin, pour… lui plaire.

« Heu… eh bien, non pas vraiment. » Affirma-t-il la voix tremblante.

Si cela ne tenait qu’à lui, Dennis prendrait sans doute ses jambes à son cou pour s’en aller. Mais il était incapable d’esquisser le moindre mouvement.

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Lizzie fit un sourire un peu niais, elle devait peut-être le regardait bizarrement. Elle essayait de reprendre contenance de pouvoir avoir une discussion normale avec lui, mais à chaque fois qu'elle posait son regard sur lui, c'était comme si son cerveau s'envolait et que son cœur explosait de mille et une couleurs. Elle avait un arc en ciel dans le cœur, et un papillon dans l'estomac. La jeune fille souriait donc un peu bêtement en le regardant.
"Oh, c'est dommage!" fit Lizzie avec un sourire, ne sachant pas trop ce qu'elle devait dire ou faire dans des cas comme ça, qu'est-ce qu'on est censé faire. Lizzie ne s'est jamais retrouvé dans ce genre de situation. Devait-elle lui dire franchement qu'elle le trouvait mignon, et qu'elle venait d'avoir le coup de ... foudre... enfin de fondre pour lui. Ou bien ne rien dire, et continuer de lui parler normalement.

"Euh... Qu'est-ce que vous lisez généralement?" demanda Lizzie, qui voulait clairement retenir le jeune homme le plus longtemps possible auprès d'elle. Elle sentait pourtant qu'il avait envie de partir, mais la jeune femme ne voulait pas le quitter. Elle espérait qu'elle puisse éveiller un peu d’intérêt chez lui. Aprés tout, elle était jolie, gentille, peut-être un peu superficielle, mais ça ça peut s'arranger, n'est-ce-pas. Aprés la lecture n'était pas le sujet le plus passionnant du monde, surtout que si c'était un moldu, ils n'auraient surement pas les même lectures. Elle se voyait mal lui parler de son dernier livre qu'elle avait lu. Mais elle ne pouvait pas non plus lui parler, de magie de Quidditch, et en "monde moldu", les livres, surtout les contes de fée, était la seule chose qu'elle connaissait vraiment bien.

Rencontre foudroyante.

C’était dommage, oui, peut-être… Dennis ne savait pas vraiment si c’était vraiment dommage qu’il ne vienne pas souvent à la librairie. Ce qui était dommage, bien évidemment, c’était qu’il ne soit pas réellement capable de sortir de chez lui, qu’il se retrouve incapable d’avoir une vie normale. Mais évidemment, la jeune inconnue qu’il croisait ne savait rien de ce qu’il vivait, elle ne pouvait pas deviner. Elle ne voyait que les choses… devant elle, ce qu’elle avait sous les yeux, sans savoir ce qu’il y avait au fond, sans savoir ce qu’il y avait au fond d’elle. Il ne pouvait pas lui en vouloir, en un sens il appréciait même qu’elle lui parle normalement, comme s’il était « normale ». Même s’il était évident qu’il ne l’était pas réellement.

Elle lui demanda alors ce qu’il lisait généralement, mine de rien c’était une question « classique » que l’homme n’entendait pas forcément souvent. Pour la simple et bonne raison que souvent, les personnes se concentraient bien plus sur ce qu’il dégageait, et non ce qu’il appréciait dans la vie.

« Eh bien, en fait… je lis un peu de tout. » Dennis savait bien que sa réponse n’était pas forcément idéale, parce qu’elle était plutôt générale. Le jeune homme avait conscience qu’il n’était pas très facile comme personne, que ce n’était pas évident de discuter avec lui. Ce n’était pas quelque chose qu’il n’avait pas envie, il aimerait bien être quelqu’un de plus accessible et parvenir à avoir plus souvent des conversations normales avec les autres. Mais on ne se refaisait pas facilement. Cela dit, Dennis prit quand même la peine de reprendre la parole. « En fait… je… hum, je m’appelle Dennis. »

Il ne savait pas si ça allait vraiment le mener quelque part, mais il se disait que puisqu’ils parlaient en cet instant précis, puisqu’elle voulait en savoir plus sur lui, peut-être qu’il devrait se présenter. C’était comme ça que les gens faisaient non ? Normalement. Il espérait simplement que ça n’allait pas lui retomber dessus, mais il n’avait pas le sentiment que c’était le cas, que la jeune femme puisse décider de lui faire du mal. Il était paranoïaque, il n’allait pas s’en cacher, il avait peur de tout, mais il savait par moment ne pas avoir peur de tout le monde quand même.

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Lizzie ne savait pas trés bien ce qu'elle pouvait bien répondre à sa remarque. Elle avait envie d'en savoir plus sur le jeune homme. Son estomac continuait de faire des yoyo, et des papillons voletaient dans son ventre. Bref, elle était totalement sous le charme du jeune homme. Sauf que ce dernier ne lu facilitait pas la tache ne répondant que par des phrases toutes simples. Je lis un peu de tout, elle était censé faire quoi avec sa phrase pour lui répondre, ou relancer la conversation. Surtout qu'ils n'avaient surement pas les mêmes lectures. Étant donné que c'était un moldu et elle une sorcière, cela non plus n'allait pas faciliter leur entente. La jeune femme lui fit un sourire, et il ajouta son prénom, avec cette seule information, elle aurait beaucoup de mal à le retrouver, mais sur le moment, elle ne pensa pas à lui demander plus de détails.

"Moi c'est Lizzie" fit-elle en lui tendant la main pour le saluer, mais elle avait surtout envie de le toucher, pour voir quel effet cela ferait à son corps, à son cœur. Elle se demandait si les papillons allaient bouger plus vite, ou si le yoyo dans son estomac allait s'arrêter. Lizzie lui sourit, et cherchait encore quelque chose à lui dire, mais son cerveau était comme en mode pause, et elle ne trouva rien de bien intelligent à lui dire. La jeune fille continua de sourire, heureuse malgré tout de faire la connaissance du jeune homme.
"Je suis contente de te rencontrer" ajouta-t-elle, sans vraiment se rendre compte qu'elle venait de le tutoyer, cela lui avait sembler tellement naturel, avec les émotions qu'elle était entrain de vivre. Est-ce que c'était ça le coup de foudre?

HJ : Si tu veux dire que la jeune fille ne lui lâche pas la main, tu peux si tu veux.

Rencontre foudroyante.

La jeune femme affirma qu’elle s’appelait Lyzzie, en soit c’était une bonne chose que Dennis connaisse son prénom puisqu’ils se retrouvaient à parler tous les deux en cet instant précis. Cela dit, Dennis n’était pas sûr et certain qu’il puisse réellement parler de nouveau avec cette femme et donc que ça soit bien utile qu’il soit au courant de comment elle s’appelait. Cela dit, c’était en soit une bonne chose quand même qu’ils puissent connaître le nom de l’un et l’autre. Elle lui tendit la main en même temps dans le but de la lui serrer. C’était quelque chose qu’on faisait normalement, qu’on faisait dans le but de se présenter. Cela dit, c’était aussi ce genre de chose que Dennis avait un peu de mal quand même, parce que ça lui faisait faire un contact avec une autre personne. Bon, en soit, le jeune homme n’était pas non plus réfractaire au fait de saluer quelqu’un et d’avoir un contact physique avec une personne, mais il était quand même quelque peu mal à l’aise en cet instant précis.

Cela dit, Dennis prit quand même la décision de prendre la main de la jeune femme pour la saluer donc, alors qu’elle affirmait ensuite qu’elle était contente de le rencontrer. En soit, on ne pouvait pas réellement dire que ça allait signifier quelque chose, ils ne se connaissaient pas et Dennis ne s’imaginait pas qu’ils puissent potentiellement se revoir. En grande partie parce qu’il était aussi incapable de garder des relations amicales avec grand monde En tout cas, quand il le faisait, c’était en grande partie parce que les autres faisaient l’effort de l’approcher encore et d’entretenir ces relations.

« Moi… moi aussi. » Répondit-il alors, ne pouvant pas s’empêcher de se sentir réellement mal à l’aise au vu de la situation et du fait qu’il se retrouvait en face d’une inconnue qui lui affirmait qu’elle était contente de le rencontrer et surtout une jeune femme qui ne lui lâchait pas la main.

Dennis ne connaissait rien concernant Lyzzie, elle était sans doute une bonne personne, mais là tout de suite il se sentait réellement mal à l’aise et il avait quand même bien envie qu’elle finisse enfin par lâcher sa main. Ca serait une très bonne chose…

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Lizzie ne s'était jamais senti aussi ... déstabilisée par un homme, même Bill n'avait jamais eu cet effet sur elle, et pourtant elle l'avait beaucoup aimé. Enfin... c'est ce qu'elle avait longtemps cru, et puis avec son départ précipité, c'est comme si elle avait fermé une partie de son cœur. Et maintenant il était tout chamboulé par la présence de Dennis, si elle avait eu la présence d'esprit de lui demander son nom de famille, elle aurait eu une chance de pouvoir le revoir, le retrouver. Mais non sur le moment, rien de la sorte ne lui était venu à l'esprit. Elle lui dit être contente de le rencontrer, et lui répond que lui aussi. La jeune femme affiche un grand sourire, et garder sa main dans la sienne pour la serrer doucement. Puis elle lui lâcha sa main, il fallait le bien le faire à un moment ou à un autre, même si il y avait une grande part de regret dans ce geste.

"C'est gentil de dire ça." fit-elle avec le sourire. Elle ne savait pas si le jeune homme ressentait la même chose qu'elle, avec ses yoyo, ses papillons, et ses étoiles. Ou si ce nervosité qu'il manifestait était dû à malaise de se retrouver dans cette situation, face une jeune fille un peu bizarre qui semblait être ... un peu folle. Mais bon il faut bien mettre un peu de folie dans sa vie, sinon elle doit semblait bien morose. Enfin la jeune fille pensait cela sur le moment, parce que c'était une "bonne" folie qu'elle ressentait, mais la plupart du temps, elle avait quand même une vie particulièrement rangée et organisée par sa famille, particulièrement son père. Elle ne lui donnait pas trés longtemps avant de lui trouver un bon mari, un bon sang-pur. Cela rendait un peu triste quand elle y pensait un peu trop, mais elle n'avait pas de chance en amour. Elle aimait trois hommes, le premier était partit, le seconde était marié, et le troisième était un moldu. Vraiment pas de chance !

Rencontre foudroyante.

La jeune femme fini par lui lâcher la main et ça lui allait donc très bien, Dennis était clairement soulagé de ne pas avoir encore sa main dans celle de cette inconnue. Parce que même si la jeune femme s'était présentée, qu'elle lui avait un peu parlé d'elle, qu'elle affirmait qu'elle était heureuse de faire sa connaissance, ça n'enlevait pas le fait que la jeune femme était une parfaite inconnue pour lui. Et tout ce qui était inconnu pour le jeune homme avait tendance à l'angoisse quand même énormément. Cela dit, ce n'était pas comme s'il y avait quoi que ce soit qui n'angoissait pas le jeune homme, il suffisait d'un rien pour qu'il soit particulièrement mal à l'aise.

Ça ne voulait pas dire que le jeune homme n'appréciait pas la présence de l'inconnue, c'était juste qu'il ne savait pas comment s'y prendre, il ne savait jamais comment agir. Et en prime ça sortait de son habitude, ce qui était pire que tout. Apparemment, la jeune femme sembla apprécier sa réponse, puisqu'elle affirma que c'était gentil de sa part de dire une telle chose. Tant mieux si elle appréciait ses paroles, Dennis en était plus que ravis. Enfin en tout cas, il se disait que c'était une bonne chose.

Cela dit ça commençait aussi à faire beaucoup pour lui. Déjà il ne se trouvait pas chez lui, il devait subir une telle chose, ce n'était vraiment pas facile. Autant dire qu'il n'avait pas spécialement envie de prendre plus de risque, il avait envie de rentrer chez lui.

« Je suis désolé… je… il faut… je dois rentrer. »

Les mots avaient de plus en plus de mal à sortir de sa bouche, il ne savait pas du tout combien de temps il allait pouvoir tenir. La tout de suite il voulait simplement rentrer chez lui, c'était la seule chose qu'il demandait

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Lizzie était bien en compagnie de cet homme, elle se sentait fondre à l'intérieur, lui tenir la main l'avait rendu toute chose. Et elle s'était demandé en rougissant si l'embrassé, ou toucher une autre partie de son corps, l'aurait rencontre encore ... mieux. Elle fit un sourire, et s’apprêtait à lui demander si il voulait boire un verre avec elle, ou bien aller se promené dans le parc non loin de la librairie. Mais il lui dit alors qu'il avait .... autre chose de prévu, enfin qu'il devait rentrer chez lui.
"Oh... Ah oui.. Pardon, je vous ... embête" fit Lizzie avec un sourire, même si elle n'avait pas du tout envie de sourire, mais plutôt de pleurer. Elle imaginait le garçon avec une femme qui l'attendait à la maison, avec un bébé dans les bras, ou enceinte. Ce qui était bête de se rendre malheureuse comme ça, alors qu'elle ne savait rien du tout de sa vie.

"Je vous laisse" ajouta donc la jeune femme, en se déplaçant pour laisser le jeune homme s'en aller. Elle ne savait pas vraiment pourquoi, elle sentait si étrange en sa présence, c'était comme un frisson qui lui parcourrait le corps, ça devait ce qu'on appelle un coup de foudre. Elle était toute chose, et émoustillé à l'intérieur d'elle-même. Mais le voir partir, en lui imaginait une femme enceinte, la rendrait étrangement triste et malheureuse. Soudain, elle réalisa que c'était une rencontre fortuite dans une rue passante, et qu'elle n'aurait peut-être jamais la chance de le recroiser. Elle regarda autour d'elle, mais il était déjà parti, et la jeune femme n'avait qu'un prénom pour pouvoir le retrouver. Elle se sentait vraiment gourde, et encore plus malheureuse. Par la suite, Lizzie passerait beaucoup de temps à arpenter cette rue, avec l'espoir de le retrouver, peut-être en vain...

FIN POUR MOI!
Merci pour ce chouette RP.
Crois-tu qu'ils auraient la "chance" de se recroiser un jour?

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