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#Sujet: Re: Après l'heure, c'est plus l'heure (pv Christian) Mer 12 Sep - 17:54
Après l'heure, c'est plus l'heure
Les deux Américains
C’était amusant comment les enfants, principalement les garçons d’ailleurs, voulaient généralement à un moment où à un autre suivre les traces de leurs pères. Christian lui-même, durant sa pré-adoelscence, voulit se lancer dans une carrière banquière comme son propre père car il était l’homme le plus impressionnant à ses jeunes yeux, toujours sûr de lui et bien habillé. Des paillettes dans les yeux, le jeune Christian en oubliait que son père rentrait généralement très tard le soir pour partir tôt le matin et qu’ils ne se voyaient donc que très peu. Mais contrairement à Hyppolite, Christian ne lui en avait jamais voulu. Peut-être était-ce dû à son éducation bien plus rigide qui mettait en avant l’excellence et la réussite.
Hyppolite avait la chance d’avoir encore son père, même s’il ne voyait visiblement pas les choses ainsi pour le moment. Perdre son père a juste 15 ans avait été très difficile pour Christian et il aurait tout donné pour pouvoir passer encore ne serait-ce qu’un an avec lui, même s’il devait continuer à être plus souvent au travail qu’à la maison. Encore maintenant, 20 ans plus tard, son père continuait de lui manquer parfois.
Christian eut malgré lui un rire amusé aux derniers propos de Tina. Il n’avait pas encore la joie et le bonheur (hum) d’avoir un fils ado sur les bras mais il avait vu le résultat avec ses neveux et nièces. Cela semblait tout de même être une période bien pourrie pour les parents cela. Heureusement que les écoles de magie se faisaient en internat ! En fait, Christian avait toujours été persuadé que les concepteurs du principe de l’internat avaient été des parents n’en pouvant plus des crises de leurs adolescents.
Et encore… attend un peu qu’il aille une petite-amie ! Si en prime il tombe sous le charme d’une jolie Ecossaise ou Irlandaise, tu n’as pas fini de souffrir durant les vacances d’été. Crois-moi, je sais de quoi je parle ! Ma première petite-amie vivait vraiment à l’autre bout du pays et tu sais comme moi que l’Amérique, ce n’est pas vraiment la même taille que l’Angleterre. Ma mère l’a toujours nié mais je reste persuadé qu’elle a sérieusement réfléchit à la possibilité de me faire adopter cette année-là.
crackle bones
Porpentina Dragonneau
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#Sujet: Re: Après l'heure, c'est plus l'heure (pv Christian) Lun 17 Sep - 13:11
Et encore… attend un peu qu’il aille une petite-amie !
Ho là, qu'il ne lui parle pas de malheur ! Elle espérait quand même avoir encore un petit peu de temps avant que ça arrive... même si ça arriverait sans doute beaucoup trop vite dans tous les cas.
Bon, bien sûr, ce serait dans l'ordre des choses, et il faudrait bien que Tina se réjouisse à ce moment-là, mais pour elle, et c'était très probablement l'un de ses torts, Hyppolite restait son petit bébé, et elle avait du mal à concevoir qu'il puisse grandir si vite et qu'une jolie jeune fille lui dérobe son attention. Elle n'était pourtant pas un maman poule, pas à son sens en tout cas, mais toutes les mamans devaient avoir ce fond de possessivité en elles. Ou une grande majorité d'entre elles en tout cas.
Enfin, pour le moment, ce n'était pas à l'ordre du jour, Merlin l'en préserve.
Si en prime il tombe sous le charme d’une jolie Ecossaise ou Irlandaise, tu n’as pas fini de souffrir durant les vacances d’été. Crois-moi, je sais de quoi je parle ! Ma première petite-amie vivait vraiment à l’autre bout du pays et tu sais comme moi que l’Amérique, ce n’est pas vraiment la même taille que l’Angleterre. Ma mère l’a toujours nié mais je reste persuadé qu’elle a sérieusement réfléchit à la possibilité de me faire adopter cette année-là.
La remarque eut le don de faire sourire Tina... Elle n'avait jamais connu ce genre de choses pour sa part. Déjà parce que dans tous les cas, elle était trop petite quand ses parents étaient morts pour vivre ce genre de choses, ensuite, parce que ses histoires avant de rencontrer Norbert étaient à peine anecdotiques... Ceci dit, en tombant sous le charme d'un Anglais alors qu'elle-même vivait à New York, on pouvait dire qu'elle avait fait fort en termes de relation longue distance.
"Ne mets pas la charrue avant les hyppogriffes, s'il te plaît, je ne suis absolument pas prête pour ce genre de chose.", dit-elle dans un sourire. "Enfin... je pense que je t'ai suffisamment embêté avec mon fils comme ça."
Elle se rendait bien compte que ses soucis et appréhensions avaient accaparé leur conversation. Cela dit, c'est vrai qu'en parler lui en avait fait le plus grand bien.
"Je crois qu'il est grand temps que je rentre chez moi, et toi aussi d'ailleurs."