Mon livre devenu fétiche pour retrouver une paix intérieure bien loin des idées de meurtres que j’avais pu connaître depuis le départ de Seb me conseillait de prendre un animal pour m’aider dans mon parcoure. Il est vrai que je n’avais jamais eu d’animal à moi. Les chouettes que j’utilisais à Poudlard appartenaient à l’école. Après une longue réflexion, et une autorisation de la part de mes parents (bien que j’en avais que peu faire en réalité), j’avais pris la décision de me rendre à l’animalerie du chemin de traverse. Je n’avais cependant pas spécialement d’idée de quoi prendre ou non. Je devais bien avouer que j’étais incapable de choisir. C’était assez difficile.

En cette journée, il pleuvait pas mal. J’avais décidé un instant de ne pas y aller avant de me raviser. Je m’étais donnée pour objectif de ne jamais remettre à demain quoi que ce soit. C’est avec un coup de pied au cul donc que j’avais quitté ma maison familiale pour aller dans la plus célèbre rue des sorciers. Je ne m’y pas longtemps à retrouver la boutique la plus célèbre du coin. Refermant mon parapluie tremper, je le laissais dans le lieu adéquate dans l’entrée. J’espérais le retrouver sous peu à mon retour. J’avais toujours cette crainte que l’on me vole mon parapluie. Si ce n’était pas un désagrément financier, il s’agissait sans nul doute d’un désagrément physique puisque c’était l’assurance de finir tremper.

Par courant les allées, je devais bien reconnaître par craquer sur tous les animaux présent avec bien entendu une préférence pour les bébés. Qui à l’exception d’un psychopathe ne craquait par pour les petits ? je crois bien que je ne connaissais personne. D’une certaine manière, cela me rassurait cela voulait dire que je ne connaissais pas de psychopathe. M’arrêtant finalement devant une chouette noire assez jeune, j’avais un petit sourire béa. Etait-ce une bonne idée ? Une chouette pouvait-elle donner de l’affection ? enfin suffisamment d’affection ? je n’en savais rien, mais les beaux yeux jaunes de cette petite chouette restaient exceptionnels.