Invité
| #Sujet: Iris Sanders ~ Pourquoi en rajouter? Ven 13 Juin - 11:30 | |
| Poudlard, professeur d'étude des runes
Âge : 31 ans Surnom : Aucun, mais je ne demande pas mieux. Origine : Anglaise Dâte de naissance : 12 décembre Statut : sang mêlé Travail : Professeur d'atude des runes CARACTERE Iris n'était pas une personne compliquée. Voire même pas du tout. Son expérience personnelle lui donnait un sens de réflexion assez développé. Elle réfléchissaitt toujours à ce qu'elle allait faire sous plusieurs angles pour être sûre de ne barrer la route à personne. Du coup, elle prenait assez peu d'initiatives. Si elle y était obligée, elle prendrait l'avis de ceux qui l'entourent. Iris avait fortement tendance à se dévaloriser. Elle n'était pourtant ni maladroite, ni mal intentionnée. Elle n'avait juste pas confiance en elle. Imaginez un peu ce que cela doit être pour une enseignante. Elle prenait sur elle. Iris faisait un plan très précis de ce qu'elle voulait dire et une fois qu'elle le trouvait satisfaisant, elle ne quittait plus cette direction. Autant dire que c'était un peu toujours la même chose. Bien des élèves ne l'appréciaient pas pour cela. Pourtant, ce n'était pas la volonté qui lui manquait. Juste la confiance qui lui permettrait de varier un peu. Elle est un peu agoraphobe sur les bords... Iris était très solitaire. Ce qui n'avait rien d'étonnant pourtant. Mais puisqu'elle ne parlait pas beaucoup, on ne la comprenait pas vraiment. En fait, elle ne cherchait pas à être comprise. Elle voulait juste qu'on la laisse tranquille. Mais vraiment tranquille. Alors il fallait bien faire son travail, et elle l'aimait bien finalement son travail. Sauf qu'à part ça, elle resterait bien dans son trou de souris. C'est bien les trous de souris. On était tranquillement dans son coin, on dérangeait personne et personne ne nous dérangeait. Sauf que les trous de sourirs sétaient trop petits pour notre Iris. Alors elle faisait avec ce qu'elle aait. | PHYSIQUE Iris n'avait jamais été une femme que l'ont pouvait dire moche. C'était même plutôt l'inverse. Elle avait toujours eu un certain succès. C'était peut-être là son problème. Pourtant elle ne faisait pas franchement quoi que ce soit pour. Et puis tout cela ne l'interressait pas de toute façon. Mais nous y reviendrons. Pour commencer, elle avait toujours aimé avoir les cheveux longs. D'un roux qui put être flamboyant, ils étaient plutôt lisses mais parfois il arrivait qu'il soient plus bouclés et volumineux. Sa plus grande particularité lui venait de ses yeux. D'un bleu tirant un peu sur le gris, ils attiraient le regard. Avec tout cela, elle gardait une taille svelte et aérienne. C'était également une femme assez pâle, qui pouvait paraître plus fragile qu'elle ne l'était. Oui, vraiment, Iris était une femme plutôt jolie. Sauf qu'elle se cachait bien. Elle avait tendance et rester repliée sur elle-même avec des robes bien couvrantes. Ajoutez à tout cela le regard un poil mélancolique qu'elle arborait souvent et vous n'aurez aucun mal à la retrouver. Même si elle essayait le plus possible de se faire discrète. Jamais il ne lui viendrait à l'idée de porter des vêtements trop voyants ou quoi que ce soit du genre. Vous comprendrez plus tard, c'est promis. | Iris Katherine Sanders. Voilà ce qu'ont été les derniers mots de Susann Sanders. Elle avait épousé un sorcier du nom de Jacob Sanders. Ils vivaient une relation extrêmement fusionnelle et passionnée. Mais ces beaux jours ne durèrent pas longtemps. Un an après leur mariage, Susann perdit la vie en donnant naissance à leur fille. Cet événement bouleversa tout leur univers et ruina la vie d'Iris. Mais laissez-moi vous raconter tout cela un peu plus en détail. C'était un bel après-midi de mars. Susann était une femme mince au visage assez carré et aux yeux gris clairs très particuliers. Elle sortait des cours de langues anciennes qu'elle suivait à la fac. Elle était encore plongée dans son cours lorsqu'elle se fit percuter par un homme apparemment très préoccupé. Elle laissa échapper ses livres que Jacob l'aida à ramasser en s'excusant. « -Je suis désolé, je n'ai pas fait attention où j'allais. -Ce n'est rien, je ne regardais pas non plus. » Lorsqu'il leva les yeux vers elle, il fut comme hypnotisé par son regard. Elle aussi ressentit quelque chose de fort. Il avait des cheveux noirs et était de carrure imposante. Jacob se présenta et Susann fit de même. Ils avaient l'impression que le courant passait étonnamment bien. Les jours suivants, ils se débrouillaient pour se croiser. Les mois suivants, ils passaient du temps ensemble. Un an après, ils se mariaient. C'était ce que Jacob avait attendu pour annoncer à Susann sa véritable nature. Après quelques mois de mariage réussit, il profita d'une soirée romantique pour se lancer. « -Susann? -Oui mon cœur? -J'aimerais te parler de quelque chose. -Et bien, je t'écoute. -Voilà. Je ne t'ai pas dit toute la vérité. -Jacob, qu'est-ce qui se passe? Tu me fait peur. -Je ne suis pas vraiment agent pour les services de l'ordre tel que tu l'entends. Je suis ce que l'on appel un Auror. Je travail pour le Ministère de la Magie. Je suis un sorcier. » Susann resta silencieuse quelques instants. Elle se demanda si son époux lui disait la vérité ou si il devenait fou. Elle ne savait pas quoi penser. Prise de court, elle baissa la tête. Jacob lui pris la main qu'elle retira nerveusement. Il se leva et alla chercher sa baguette. Il lança un sortilège sur le bouquet de fleurs qui s'ouvrirent toutes d'un coup. Susann laissa échapper un petit rire de surprise et il se rassit à ses côtés. « -Et... je veux dire... tu es sorcier depuis toujours? -Oui. Et toute ma famille aussi. Je suis ce que l'on appel un sang-pur. -Pourquoi tu ne m'as rien dit? -J'avais peur que tu me prenne pour un fou. Peut-être que tu aurais été effrayée. -Mais, concrètement, qu'est-ce que cela change pour nous? -Rien, simplement tu sauras ce que je fais réellement de mes journées. -Oh, je vois. Mais moi j'ai quelque chose qui risque d'un peu changer les choses. -Ah oui? -Jacob, je suis enceinte. » En réponse à son air interrogateur, Susann fit un signe de tête venant confirmer ce que son mari avait cru entendre. Il la pris dans ses bras et tout deux versèrent quelques larmes. Neuf mois plus tard, un 12 décembre, Susann ressentit les premières contractions. Jacob avait insisté pour que leur enfant naisse dans un établissement sorcier. Très vite, les médicomages demandèrent à Jacob de sortir. Une hémorragie s'était déclarée et ils ne parvenaient pas à la stopper. Après plusieurs heures de lutte, les premiers pleurs de sa fille envahirent la salle. On la porta au niveau du visage de sa mère. « Iris. Iris Katherine Sanders. » Susann versa une larme en voyant son enfant. Épuisée, elle s'endormit pour ne plus se réveiller. Une infirmière pris le bébé et l’amena à son père. Jacob était fou de joie. Mais lorsqu'il appris la mort de son épouse, elle disparut totalement pour laisser place à un désespoir profond. Bien vite, le sentiment de fierté et l'amour qu'il ressentait pour sa fille fit place à une rancœur irrévocable. Jamais il ne délaissa sa fille pour autant. Mais il avait sa manière de lui faire payer ce qu'il estimait qu'elle lui devait. Durant les huit premières années, il se contentait de crier lorsqu'il buvait un peu trop. Mais un soir, il rentra et trouva sa fille en train de lire les livres de grec de Susann. Iris s’intéressait vraiment à ce que faisait sa mère et elle s'était trouvé une passion pour ces langues perdues. Alors elle lisait, même si elle ne comprenait rien. En l'entendant, Jacob s'adossa au mur et pleura en silence quelques minutes. Iris qui finit par l'entendre vînt le voir. « -Papa? Pourquoi tu pleures? -C'est toi, tout ça, c'est à cause de toi. -Moi? J'ai fait une bêtise? -C'est toi, tu l'as tué, ma Susann. » Iris ne comprenait pas mais Jacob qui avait encore sa bouteille à la main la leva pour l’abattre sur son enfant. La bouteille se brisa sous le choc et Iris tomba inconsciente. Paniqué, Jacob l’emmena rapidement à l’hôpital où il donna une excuse bidon pour justifier les blessures à la tête de sa fille. En rentrant chez eux, Iris ne comprenait toujours pas ce qui s'était passé. Elle était persuadée d'avoir fait quelque chose de mal et que son père l'avait puni. Comme toute petite fille sage, elle alla s'excuser auprès de celui qu'elle avait déçu. Elle le retrouva dans sa chambre, avec une nouvelle bouteille à la main. « -Papa? -Qu'est-ce que tu veux? -Pardon papa. Je voulais pas te faire pleurer. -Non, c'est moi. Je ne voulais pas te faire mal. -C'est pas grave, tu l'as pas fait exprès. » Son père lui fit signe de le rejoindre et il la pris dans ses bras. Il ne pouvait ni l'aimer ni la haïr. C'était sa fille, la fille de Susann. Mais il considérait comme seule responsable de la mort de sa mère. Un cruel dilemme qu'il allait s'imposer encore de longues années. Durant les années suivantes, il continuait de battre sa fille. Elle continuait à l'aimer malgré tout, lui trouvant tout un tas d'excuses pour lui pardonner. Lorsqu'elle eut onze ans, elle reçut sa lettre de Poudlard. Jacob était très fier et alla jusqu'à arrêter de boire. Iris fut envoyée à Serdaigle. Cependant elle ne parvînt à se faire aucune relation. En règle générale, on la remarquait assez peu et elle ne cherchait pas vraiment à se faire des amis. Mais ses professeurs se souvenaient sans mal de son visage car elle devînt très vite une élève brillante. Alors qu'elle rentrait chez elle pour les premières vacances, son père ne prit pas même la peine de venir la chercher à la gare. Au début, elle se dit qu'il aurait simplement du retard. Iris s'assit sur sa valise et se mit à attendre. Au fur et à mesure, la gare se vidait. Même le train finit par repartir. Après deux heures, il commençait à faire froid. Elle avait déjà envoyé deux hiboux à son père qui ne répondait pas et il commençait à faire sombre. En désespoir de cause, Iris fit appel à Dumbledore. Elle ne pouvait payer un taxi et ne savait pas transplaner. Le directeur arriva rapidement alors qu'Iris commençait à pleurer nerveusement. « Miss Sanders? Venez ma chère, je vais vous aider. » Iris lui donna la main et ils transplanèrent jusqu'à chez elle. Une fois devant, elle insista pour remercier son professeur à l'extérieur. Elle ne voulait pas prendre le risque d'arriver dans la maison avec le directeur et de trouver son père ivre sur le canapé. « -Merci professeur. Et je suis désolée de vous avoir dérangé. -Y aurait-il un problème avec votre père? -Non. Il aura oublié que j'arrivais aujourd'hui. Il travail beaucoup. -Très bien. Mais n'hésitez pas si vous avez besoin d'aide. -Merci. » Il partit et Iris entra chez elle en soulevant avec difficulté sa valise. Elle la déposa au pied des escaliers et chercha son père. Elle le retrouva endormi sur le canapé, une bouteille presque vide sur la table. Elle allait repartir monter sa valise quand il se réveilla. « -Ah, te voilà toi! Je peux savoir où tu étais? -J'étais à l'école papa. -Ne me prends pas pour un c** jeune fille. Viens ici tout de suite! -Papa, qu'est-ce que tu fais? -Viens ici! » Il la saisit violemment par le poignet et l'envoya à terre. Iris se replia sur elle-même alors qu'il la frappa dans les côtes. Jacob avait recommencé à boire. Et sa fille en souffrirait. Pendant encore un an cela resta ainsi. Mais un jour, la situation évolua. Iris avait beaucoup changé. Elle restait la jeune fille distante et effacée que personne ne voyait. Mais elle avait physiquement changé. Ses traits se faisaient plus précis. Elle s'affinait. Sa poitrine se précisait, ses yeux s'éclaircissaient, et elle grandissait. Jacob n'y prêtait pas réellement attention. Jusqu'à cette soirée. C'était le retour à la maison pour les vacances de noël. Jacob avait été la chercher à la gare. Elle portait un long manteau noir et ne disait pas un mot. Une fois à la maison, elle alla déposer ses affaires dans sa chambre, se changea et se coucha, tranquillement. Quelques minutes plus tard, son père entra dans la pièce. « -Iris? Tu dors? -Non, pas encore. -J'aimerais que tu vienne avec moi. -Pourquoi? -Viens avec moi. » Elle se releva et suivit son père dans sa chambre. Elle ne se méfiait pas. Jacob lui fit signe de se coucher et il fit pareil. Il éteignit les lumières et pris sa fille dans ses bras. Jusque là, rien n'aurait permit de prévoir le dérapage qui se préparait. Alors qu'elle commençait à s'endormir, Iris sentit la main de son père passer dans son dos, sous ses vêtements. Bien que plus attentive, elle ne s'en inquiéta pas tout de suite. De son dos, la main passa à ses hanches, puis ses fesse, sa cuisse. Elle remonta ensuite pour arriver sur ses seins. Iris se dégagea d'un coup et Jacob la saisit brusquement par le bras. « -Restes ici. -Tu me fais mal. -Tout le monde finit par payer ses fautes. -Je ne veux pas. -Si tu t'en vas, je ne te laisserais plus jamais passer la porte de cette maison. » Intimidée, Iris revînt s'allonger dans les bras de son père qui posa ses mains où bon lui semblait. Même si c'était loin d'être agréable, elle n'avait pourtant pas connu le pire. Lorsqu'elle eut quinze ans, Jacob ne put s'empêcher de passer à la vitesse supérieur. Un soir, ils allèrent se coucher comme tous les jours, mais il se fit plus pressant que d'habitude. Il avait aussi bu plus que d'habitude. Il ne se contenta pas de passer les mains sous ses vêtements. Il le lui retira complètement. Alors qu'elle voulut protester, il plaqua sa main sur sa bouche. Il n'était plus vraiment lui-même. Jacob lui bloqua les mains au dessus de la tête et la viola. Iris pleurait et lui marmonnait dans son délire. « Ma Susann, mon ange. » L'alcool avait complètement ravagé sa pensée. Il confondait sa fille et sa femme. Iris fut encore plus distante qu'avant. Au lieu de simplement se faire discrète, elle ne parla plus, fuyant volontairement toute interaction humaine. Profondément marquée, Iris tenta même de se mutiler, se marquant volontairement, se taillant le coprs pour que son père ne la touche plus. Mais au lieu de cela, il la soignait toujours et ne changeait pas ses habitudes. Se doutant que quelque chose n'allait pas, Dumbledore la convoqua dans son bureau. « -Vous vouliez me voir professeur? -Oui. Asseyez-vous. Je tiens à vous dire que vos enseignants sont tous très fiers de vous. Vos résultats sont excellents et votre attitude exemplaire. -Merci professeur. -Cependant, nous nous inquiétons un peu. -Je ne vois pas pourquoi. -Certains professeurs ne vous ont jamais entendu parler. Nous vous voyons toujours seule. Je me demandais simplement si il n'y avait pas quelque chose que vous vouliez me dire. Me parler de quelque chose. Ou en parler à un autre professeur. -Il n'y a pourtant rien professeur. -Vraiment? -Oui, vraiment. Je vais très bien. » Jamais il n'eut une réponse contradictoire. Iris se refusa toujours à dire quoi que ce soit qui pourrait nuire à la réputation de son père. Ainsi, il profita d'elle quand il le voulait pendant encore un an. Certaines personnes pourraient parler de chance. Mais lorsqu'il tomba malade, Iris cria à l'injustice. Oui il la faisait souffrir. Oui elle lui en voulait. Mais elle l'aimait. Aussi à chaque vacances scolaires, elle prenait soin de lui du mieux qu'elle pouvait. Jacob refusa tout de même d'arrêter de boire, rendant sa fille plus triste encore. « -Papa, non. Tu es encore allé chercher une bouteille. -Qu'est-ce que tu viens m’em****** comme ça. Fout moi la paix. -Allons, prends ta potion. -De quoi je me mêle? Ça t'as pas suffis de tuer ta mère? Tu voulais aussi me torturer. -Ne dis pas de bêtises. Je ne veux pas te torturer, je veux t'aider. -Tu veux m'aider? Alors prends ta potion de m**** et va te pendre pé*****. » Elle ne répondit pas, lui donna tout de même sa potion et sorti de la chambre. Iris alla ranger la bouteille de potion dans le placard, s'assit à table et pleura quelques instants. Bien entendu elle était triste que son père lui parle ainsi. Mais elle en était venu à se dire qu'il avait raison. Susann avait donné sa vie pour la sienne. Si Iris n'avait pas été là, sa mère serait toujours là. Si elle n'avait pas été là, Jacob n'aurait jamais commencé à boire. Et jamais il n'aurait pas attrapé de lymphome. Enfin, lorsqu'Iris retourna à l'école elle avait peur. Bien qu'elle ait laissé des instructions à une bonne âme du voisinage, elle abandonnait tout de même son père alors qu'il était au plus mal. Pourtant, elle ne se doutait pas à quel point elle avait raison. Un jour, quelques semaines avant les vacances qui devaient lui permettre de le revoir, elle reçut une lettre lui annonçant la mort de son père. Iris était en plein couloir et s'effondra. Elle pleura toutes les larmes de son corps et personne n'y prêtait la moindre attention. Certains allaient jusqu'à se plaindre qu'elle gênait le passage. Malgré cela, elle continua son année et passa ses examens comme les autres. Iris réussit plutôt bien d'ailleurs. Même si elle était désormais seule, elle était bien décidée à poursuivre ses études. Elle fut contrainte de vendre la maison de ses parents pour pouvoir se payer un petit appartement sous les combles d'une maison. Après l'obtention de plusieurs diplômes, elle postula immédiatement à l'école de sorcellerie. C'était la meilleur solution qu'elle avait pour s'en sortir. Heureusement pour elle, le poste pour lequel elle postulait était considéré comme le plus ennuyeux après l'histoire de la magie. Iris Sanders devînt le professeur Sanders. Elle enseigna les runes et put enfin se payer une petite maison tranquille à l'écart de la ville. Ce n'était pas la belle maison de campagne dans laquelle on habite pour le plaisir, mais une petite maison dans un coin reculé et mal entretenu. Un peu plus que son appartement d'étudiante, un peu moins que la maison de son enfance. Suffisante pour être en paix sans avoir à se serrer la ceinture à la fin du mois. Iris retrouva certains de ses enseignants parmi ses collègues. Ces professeurs s'entendaient même dire « Le professeur Sanders? Où enseigne-t-il? » Oui, peu de gens voyaient ou savaient qui elle était et où elle se trouvait dans le monde. Mais elle s'en moquait pas mal. En fait, c'était parfois plutôt utile. Prénom/pseudo : Morty, fifille, jumelle, triplette et autres. Âge : 17 ans Fréquence de connexion : le plus possible Comment avez vous connu le forum ? Euh... Autres comptes ? : De plus en plus Acteur de votre avatar : Simon Simons Un mot pour la fin ? : Je vais finir par arriver à la jouer un jour
Dernière édition par Iris K. Sanders le Ven 13 Juin - 12:28, édité 2 fois |
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Flynn Bennet ▌ Messages : 916 Humeur : En couple avec : Caelan QUI SUIS-JE?Baguette: Bois d'houx, 25,6 cm, crin de licorneCamp: NeutreAvatar: Matthew Bomer
| #Sujet: Re: Iris Sanders ~ Pourquoi en rajouter? Ven 13 Juin - 11:38 | |
| Re bienvenue ma jumelle |
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Tom Elvis Jedusor ▌ Messages : 12408 Humeur : QUI SUIS-JE?Baguette: bois d'if, plume de phénix, 33,75 cmCamp: MalAvatar: Gaspard Ulliel
| #Sujet: Re: Iris Sanders ~ Pourquoi en rajouter? Sam 14 Juin - 8:59 | |
| Rebienvenue fifille chérie Je m'occupe de lire et valider ta fiche dans la journée |
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[→] June Gallagher ▌ Messages : 581 Humeur : En couple avec : Andreï QUI SUIS-JE?Baguette: Bois d'orme et plume d'hippogriffe, 23,7cmCamp: NeutreAvatar: Sarah Bolger
| #Sujet: Re: Iris Sanders ~ Pourquoi en rajouter? Sam 14 Juin - 12:42 | |
| Rebienvenue à toi aussi !!! (dis donc, c'est une épidémie ) |
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Tom Elvis Jedusor ▌ Messages : 12408 Humeur : QUI SUIS-JE?Baguette: bois d'if, plume de phénix, 33,75 cmCamp: MalAvatar: Gaspard Ulliel
| #Sujet: Re: Iris Sanders ~ Pourquoi en rajouter? Sam 14 Juin - 18:53 | |
| Sans la moindre surprise, je te valide ma fifille chérie Have fun |
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