Mon nom, Johnny, Johnny Blazefire, je suis née dans l'Oakland, une petite ville paumé en Californie, quelques part en Amérique. Honnêtement, j'aurais préféré ailleurs, pourquoi mes parents ont décidés de me faire naître là-bas. Mes parents ? Tout deux sorciers, anciens élèves de Griffondor, mon père à rencontré ma mère durant sa scolarité, bon, il faut dire qu'ils étaient un peu ...difficile à mettre ensemble on vas dire. Entre une mère autoritaire et un Père qui ne sait pas se faire respecter, de temps en temps, je me demandais si le bon dieu n'avait pas fait expré d'inverser les rôles chez moi. 
En faite, nous vivions dans ce qui semblerait être une maison de campagne, enfin, la maison était des plus étranges qu'il soit ses vraies, pour les Moldues, c'était une simple maisonnette, avec 4 fenêtre maximum, une porte et tout juste un grenier mais pour les sorciers, c'était une maisons qui pouvait s’agrandir autant de fois qu'il y avait de personne à accueillir mais personnellement, j'aimais bien y mettre ma touche personnel, en faisant apparaître une deuxième salle de jeux par exemple, j'y avais installer uniquement des instruments et ce qui était pratique, c'est que lorsque je jouais, ils n'entendaient rien, normal, elle n'était pas censé être ici. 
Je dirais que le plus gros soucis lorsque vous naissez sorcier, c'est le fait que l'on peut pas faire de nos pouvoirs tout ce qu'on souhaiterait. Pourtant, c'est pas faute de vouloir faire apparaître des bonbons ou des gâteaux, c'est même facile, une petite métamorphose et hop ! On a toute les sucreries que l'on souhaiterait mais mes parents ne semblait pas d'accord, combien de fois je me suis fais punir parce que soit j'avais fais disparaître la vitrine du Reptilarium, soit parce que j'avais transformé mon pire ennemi en cochon d'inde, soit parce que j'avais transformé le nez de ma nounou en nez de cochon.
Oui, j'étais bien souvent avec une nounou, par contre, jamais la même, elles se sauvaient toutes de peur au bout d'un moment, c'était assez drôle, je vous l'accorde, mais à force de ne plus avoir personne pour jouer avec vous lorsque vous êtes encore tout jeune, vous finissez par vous ennuyer. J'envie de dire merci d'un sens, c'est un peu comme ça qu'on gagne son autonomie, en montrant à quel point on peut être rejeté parce qu'on est différent des autres enfants. Pourtant, j'ai une bonne tête non ? Enfin, je fais peur à personne je pense. 
En effet, c'est ce que je pensais, un beau jour, je voulais aller jouer avec les autres enfants du quartier le plus proche qui était à 3Km mais ils n'ont pas voulus, sans doutes la réputation du sale gosse avait été plus rapide que moi même, bon au mois, j'étais fixé mais ce qui est sur, c'est que j'allais leurs pourrir la vie maintenant, il vont se rendre bien vite compte à quel point ça peut être douloureux d'être traité comme un moins que rien.

En Septembre 1940, me voilà entré dans la prestigieuse école de Poudlard. Honnêtement, on m'avait dit que c'était grand mais je ne m'attendais pas à ça. Si mes calculs sont bon, j'avais 11 ans à l'époque quand je suis passé sous le Choixpeau pour qu'il me dise dans qu'elle maison aller. Ma mère et mon père ayant été scolarisé sous la maison Griffondor, il faut dire que je m'attendais à suivre le même chemins qu'eux mais visiblement, ce n'était pas ce que le destin avait voulu pour moi. Il m'avait jeté à Serpentar et bien qu'on disait que c'était une maison comme une autre, cela ne me disait rien de bon. 
Pourtant, ce n'était pas si terrible que ça, bien que notre animal représentatifs était le Serpent, lorsque je suis venu m'asseoir avec eux, il m'avait accueillit chaleureusement, d'un sens, ils devaient être flattés, un Blazefire qui rejoins qui rejoins leur maison, c'était la clé du sucée pour eux. Ma scolarité à Poudlard se déroulé plutôt bien. 
Je me souviendrais longtemps de ma scolarité à Poudlard, pour un Serpent, j'étais populaire, surtout auprès des filles, à croire que le côté Bad Boy's leurs plaisent bien, c'est pas une sorte de psychanalyse bizarre ça ? Parce que les filles, pour être honnête, elle me faisait peur et c'était une énigme pour moi. Elles détenaient le taux de réussite le plus élevé de l'écoles, elles prenaient un temps fous à se préparer le matin, et pourtant, je les trouvais toujours aussi belle, les unes comme les autres. Surtout en quatrième année, lorsque le Bal de Noël fut organisé. Moi, je m'étais retrouvé à danser avec Elizabeth Mulciber, sans que je le sache, une futur Mage noir. J'avais tellement danser comme un pieds qu'elle m'avait donné une bonne mandale avant de tourner les talons, je peux vous le dire, ça secoue les esprits.