What shouldn't be... but will happen [PV Jacob & Tristan]
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[Last] Audrey Chaser
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#Sujet: What shouldn't be... but will happen [PV Jacob & Tristan] Dim 17 Nov - 14:10
What shouldn't be... but will happen
L
es brancardiers l'avaient retrouvée, inconsciente et visiblement amochée dans une ruelle près de l'hôpital. Comme si la jeune femme était parvenue à s'échapper de ces mystérieux agresseurs pour parvenir à transplaner jusqu'à ce lieu où elle devait savoir pouvoir trouver soin et protection. Mais ses forces avaient du l'abandonner trop tôt puisqu'elle n'avait pas même eu le temps d'en franchir le seuil et qu'elle se retrouvait allongée à même le sol et baignant dans ce qui semblait être son propre sang. Aussitôt le personnel c'était précipitée vers elle et, tandis qu'un infirmier la prenait dans ses bras pour mieux l'amener jusqu'à ce brancard qui n'attendait plus qu'elle l'équipe des médicomages des urgences se mettait en branle. Un ballet étrange s'était formé autour de cette femme qui reprenait peu à peu connaissance. Sa voix était aussi ténue qu'un souffle et elle gémissait des paroles incompréhensibles. Alors que l'infirmière voulait lui ôter ses habits pour nettoyer les plaies et en déterminer la gravité, Audrey rua et se débattit, comme effrayée. Il fallut au personnel faire preuve d'une patience et d'une diplomatie infinie pour parvenir à la calmer et à gagner cette étincelle de confiance qui leur permettrait de la soigner.
Pendant plus de deux heures ils l'examinèrent, lui dispensant les soins dont elle avait besoin. Les plaies, bien que trop nombreuses pour n'être dues qu'à un banal accident de chaudron comme la patiente le prétendait avec acharnement, étaient heureusement superficielles et, avec quelques sorts, elles ne se verraient même plus. Mais, quand une femme avait voulu pratiquer un examen gynécologique la jeune femme affolée, s'était mise à hurler et à se recroqueviller sur elle-même, complètement prostrée. Les regards des soignants s'étaient trouvés et, au fond de leurs prunelles, étincelaient la question qu'aucun n'osait énoncer. Avait-elle été violée ? Comme si elle avait pu lire dans leurs esprits, le regard empli de larmes, elle secoua la tête, incapable de parler. Non, non et non... Qu'ils la laissent tranquille ! Qu'ils soignent ses plaies et la laissent partir. D'ailleurs elle allait bien mieux et leur était reconnaissante de leurs soins mais il lui fallait partir, rentrer chez elle. Déjà elle tentait de se relever. Avant que de s'effondrer de nouveau sur son brancard, dans un hurlement de douleur. Furieuse, perdue et affolée, ils durent lui administrer un léger sédatif. Pour qu'elle se calme, les laisse faire leur travail et, aussi, qu'elle ne se blesse pas plus qu'elle ne l'était déjà. En fouillant dans ses affaires ils avaient pu trouver son nom : Audrey Chaser. Identité qu'elle leur avait confirmée avant que de se remettre à paniquer quand on avait suggéré de prévenir sa famille, ses parents. Non, elle refusait qu'on les avertisse ! Elle voulait partir. Quand on lui avait dit qu'elle ne sortirait pas d'ici seule la jeune malade s'était calmée et avait lâché un nom. Celui de la seule personne qu'elle désirait mettre au courant de sa mésaventure. Jacob Hoover.
Au ministère la secrétaire reçut le hibou express et en prit connaissance, avec le flegme qui était le sien. Mais, au fur et à mesure que ses yeux glissaient sur la surface du parchemin, ses sourcils se fronçaient tandis que sa main se porta devant sa bouche grande ouverte. Elle le savait, Jacob était en rendez-vous avec Tristan Mayfair et ni l'un ni l'autre ne souhaitait apparemment être dérangés. Lorsque le politicien avait déboulé, pareil à un tourbillon, il ne semblait déjà pas de bonne humeur. Il avait demandé à parler à Jacob mais, celui-ci devant absolument travailler sur un dossier important, elle avait tenté de l'éconduire. Aimablement et avec courtoisie mais rien n'y avait fait. Rendez-vous ou pas le favori des partis politiques en vogue entendait bien être reçu. La femme avait soupiré avant que de se lever et d'aller trouver son supérieur. Puis elle était revenue et avait introduit le visiteur impatient et les avait laissés seuls. Avec l'injonction de ne surtout pas les déranger. Ce qu'elle comptait bien faire mais … Mais là, il s'agissait d'une urgence ! Prenant son courage à deux mains elle alla toquer à la porte du bureau de Jacob et, sans prendre la peine d'attendre une réponse, elle entra. Evitant le regard contrarié des deux hommes elle alla droit au but. Posant le hibou en face de Jacob elle annonça
Pardonnez-moi messieurs. Je viens de recevoir un hibou de Ste Mangouste. Votre filleule, Miss Chaser, vient d'être retrouvée en piteux état dans la rue et conduite aux urgences. Son état n'est pas grave mais préoccupant. Et comme elle refuse de contacter sa famille ils souhaiteraient que vous veniez la chercher. Ou, plutôt, la convaincre de leur dire ce qui lui est vraiment arrivé... Ils semblent craindre que... vous comprenez...
Puis la femme attendit la réaction des deux hommes. Connaissant l'attachement de Jacob pour sa filleule cela ne saurait tarder. Quant au politicien... La secrétaire s'en fichait pas mal ! Après tout ce n'était pas lui qui la payait !
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[Last] Jacob Hoover
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#Sujet: Re: What shouldn't be... but will happen [PV Jacob & Tristan] Dim 29 Déc - 16:48
« What shouldn't be... but will happen »
Ça avait faillit être une journée comme les autres. J'étais arrivé à l'heure. Les placards chez moi étaient vides. Je planchais toujours autant sur ce problème qui ne laissait pas apparaître l'ombre d'une solution. Oui, une journée comme les autres. Faillit. C'était le mot. J'aurais dû me douter de quelque chose lorsque la secrétaire du service était venue m'apprendre que M. Mayfair voulait m'entretenir d'un sujet.
Tout simplement parce que je n'étais pas spécialement en bon terme avec lui. C'était... Une connaissance disons. Je lui avais déjà parlé quelque fois, mais ce n'était rien de très élaboré. De simples échanges de politesses. J'étais comme tout un chacun, et je savais de lui ce que la presse et les rumeurs en disait. Avec un petit supplément lorsque sa fiancée prenait la peine de me parler de lui. Rien qui ne justifie ce déplacement dans mon bureau. Si c'avait été professionnel, Tristan aurait été voir M. Cloudman, le directeur du comité des sortilèges expérimentaux. Autant m'y résigner de suite, la conversation qui allait suivre serait sûrement personnelle. Au travail. Merci bien. C'était sûr mon dos que les ragots se colporterait dans le service après.
J'avais rejoint l'espace d'un instant mon ancien bureau pour que monsieur le politicien vienne m'y rejoindre. Il avait beau être une personne d'importance, le projet sur lequel je travaillais l'était tout autant, et la culture du secret était l'une des choses que l'on nous apprenait assez vite à cet étage. Je ne m'attendais pas à grand'chose de lui. Mais j'avoue n'avoir pas du tout prévu qu'il viendrait m'entretenir de sa femme. Ou plutôt fiancée, car actuellement, la chose n'est pas encore faite, n'est-ce pas ?
Heureusement pour moi, son monologue ne dura guère, puisque la secrétaire vint de nouveau nous rejoindre. Et susciter par la même un intérêt beaucoup plus poussé que celui que j'accordais jusqu'alors à Tristan Mayfair.
- Pardonnez-moi messieurs. Je viens de recevoir un hibou de Ste Mangouste. Votre filleule, Miss Chaser, vient d'être retrouvée en piteux état dans la rue et conduite aux urgences. Son état n'est pas grave mais préoccupant. Et comme elle refuse de contacter sa famille ils souhaiteraient que vous veniez la chercher. Ou, plutôt, la convaincre de leur dire ce qui lui est vraiment arrivé... Ils semblent craindre que... vous comprenez...
La lettre toujours entre les mains, je dévisage un court moment la femme, le temps que l'information s'imprègne dans mon cerveau et que je réagisse finalement. Si la situation semblait moins grave que celle que Liv avait vécut dans ce même hôpital, elle semblait tout de même bien préoccupante. Ils semblaient craindre quoi ces médicomages, par Merlin ? Le non-dit avait tendance à m'inquiéter bien plus que la vérité crue, et j'en faisais encore une fois les frais.
Lançant un regard rapide à mon visiteur, je me lève et enfile ma veste. Ce n'est pas très poli que d'interrompre ainsi un rendez-vous, même pris à l'improviste, mais j'espère qu'il comprendra. S'il vient me voir pour sa fiancée, alors la famille doit autant compter pour lui que pour moi, non? C'est ainsi que je me le figure du moins. J'espère qu'il n'est rien arrivé de grave à Audrey...
J'ouvre la porte du bureau, invite la secrétaire à sortir en la remerciant et me tourne ver Mayfair, sur le pas de la porte.
- Si vous voulez continuer cette conversation, il va vous falloir me suivre jusqu'à Ste Mangouste.
Cette conversation stupide si vous voulez mon avis. Mais Tristan Mayfair est ce qu'il est, et je ne peux pas prendre le risque de le froisser davantage que je ne le froisse déjà...
[Last] Tristan Mayfair
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#Sujet: Re: What shouldn't be... but will happen [PV Jacob & Tristan] Lun 10 Fév - 16:05
♫ « What shouldn't be... but will happen » ♫ Audrey Chaser & Jacob Hoover & Tristan Mayfair
Tristan réfléchissait à son couple depuis un certain temps. Il trouvait que certaines choses étaient différentes. Nemesis n’était plus la même, elle était souvent absente aussi bien physiquement que mentalement. Il voyait bien que quelque chose n’allait pas mais il ne pouvait dire quoi. Et cela le contrariait. Surtout que leur mariage approchait. Si déjà ils en étaient là aujourd’hui qu’en serait-il lorsqu’ils seront mariés ? Le jeune homme avait souvent peur que sa fiancée s’en aille avec un autre et le laisse seul. Si jamais cela se produisait il ne s’en remettrait jamais.
D’ailleurs, Tristan avait quelques doutes à ce sujet. Bien qu’il ait confiance en Nemesis, il ne pouvait s’empêcher d’être jaloux. Surtout quand il trouvait qu’elle passait trop de temps avec certains hommes, comme Jacob Hoover. Nemesis lui avait souvent dit qu’ils étaient amis mais il n’aimait pas quand il restait trop de temps avec elle.
C’est pour cela que Tristan pris la décision d’avoir une discussion avec lui, maintenant. Cependant, étant donné qu’il n’était pas un sauvage et qu’il savait que Jacob travaillait, il prit la peine de demander à la secrétaire d’aller le prévenir. Il se doutait bien que l’autre homme ne serait que peu ravi de le voir étant donné qu’ils n’étaient pas vraiment amis, juste de simples connaissances.
Et il ne se trompa pas, en effet, Jacob n’avait pas l’air réjouit de sa petite visite. Tant pis, il ferait avec. Et puis on ne pouvait pas vraiment dire que Tristan était ravi lui aussi, il se serait bien évité cela mais il avait besoin de réponses à ses questions et il espérait sincèrement que Jacob allait les lui donner.
« Veuillez m’excuser de vous déranger Mr. Hoover mais je voulais m’entretenir avec vous d’une affaire privée. Je voudrais vous parler de ma fiancée, Nemesis. Je sais bien que vous êtes plutôt proches tout deux et que Nemesis tient à vous. Seulement je ne peux m’empêcher d’avoir des doutes concernant votre relation. Je ne vous accuse de rien ne vous en faîtes pas, seulement je trouve que vous vous voyez un peu trop souvent à mon goût. C’est pour cela que j’aurais besoin de… »
Il ne put finir son discours puisque la secrétaire les interrompit.
- Pardonnez-moi messieurs. Je viens de recevoir un hibou de Ste Mangouste. Votre filleule, Miss Chaser, vient d'être retrouvée en piteux état dans la rue et conduite aux urgences. Son état n'est pas grave mais préoccupant. Et comme elle refuse de contacter sa famille ils souhaiteraient que vous veniez la chercher. Ou, plutôt, la convaincre de leur dire ce qui lui est vraiment arrivé... Ils semblent craindre que... vous comprenez...
Tristan ne savais pas qui était cette Miss Chaser, et encore moins que Jacob Hoover avait une filleule. Cependant, en jetant un coup d’œil à Jacob, et en vue de son air inquiet, il était évident que Jacob tenait à elle. Le voyant se lever et prendre ses affaires, Tristan comprit que Jacob avait maintenant d’autres priorités que de l’écouter lui raconter sa vie. Néanmoins Tristan aurait vraiment souhaité continuer cette conversation.
- Si vous voulez continuer cette conversation, il va vous falloir me suivre jusqu'à Ste Mangouste.
Même si la proposition semblait tout sauf réjouir Jacob, Tristan accepta et le suivit jusqu’à Ste Mangouste. Cependant, il ne dit rien sur tout le chemin les y conduisant, préférant attendre que l’histoire avec la filleule de Jacob soit réglée. Arrivés là-bas, une femme les conduisit jusqu’à la chambre d’une jeune femme. Tristan était maintenant certain qu’il ne l’avait jamais rencontrée, il s’en serait souvenu. Elle semblait être très jeune, il lui aurait donné entre 20 et 25 ans pas plus. Elle paraissait perdue, blessée, seule… Il croisa son regard par inadvertance et il fut stupéfait de tout ce qu’il put y lire il n’avait jamais vu autant de désespoir et de tristesse dans un regard, cela lui fit mal au cœur. Il lui adressa un sourire rassurant bien qu’il ne connaisse pas cette jeune femme. Il ne savait pas pourquoi il faisait cela, mais elle dégageait quelque chose qui donnait envie qu’on la rassure et qu’on la protège. Tristan fut lui-même supris par son geste.
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#Sujet: Re: What shouldn't be... but will happen [PV Jacob & Tristan] Lun 10 Fév - 18:07
What shouldn't be... but will happen
I
ls ne l'avaient, bien évidemment, pas écoutée. Tout juste s'étaient-ils contentés de hocher distraitement la tête alors qu'elle leur donnait l'identité de la seule personne qu'elle consentait à prévenir. Son parrain, le seul en qui Audrey conservait un tant soit peu de confiance et le seul , aussi, auquel elle n'oserait jamais manquer de respect en s'énervant et en outrepassant ces limites qu'elle prenait le plus inconscient des plaisirs à exploser le reste du temps. Ces mêmes limites à cause desquelles elle se retrouvait aujourd'hui, plus prostrée qu'allongée, dans ce lit d'hôpital où ne cessaient de tournoyer autour d'elles toutes ces blouses blanches qui l'insupportaient autant que l'effrayaient ! Audrey ne voulait pas qu'on l'approche et encore moins qu'on la touche. Dès que l'un d'entre eux s'y aventurait elle fondait en larmes, explosait en sanglots et se recroquevillait sur elle-même comme un animal blessé. Ce qu'elle était d'ailleurs sans doutes.
Alors qu'elle les entendait rejoindre ce couloir où des voix s'élevèrent, Audrey ferma les yeux. Mauvaise, très mauvaise idée même. Aussitôt, les images, les sons et jusqu'à l'odeur de cet homme qui l'avait agressée, lui revenaient, venant achever de martyriser son esprit après que son corps eut été supplicié. Elle revoyait cette ruelle où elle ne se souvenait même pas être arrivée. Elle sentait les fines gouttelettes de pluies ruisseler sur son visage terrifié après qu'il l'ait agrippée pour mieux la projeter contre le mur en briques sales et poussiéreuses. Le choc... Elle se souvenait d'avoir gémit sous la douleur avant de trembler quand il l'avait violemment retournée pour mieux la gifler et la jeter au sol avant de... Non ! Elle ne voulait pas se souvenir ! Ses doigts fins et tremblants se serrèrent sur ces draps fins qui couvraient son corps meurtri et couvert d'ecchymose et de plaies. Lorsque la porte s'ouvrit de nouveau Audrey recula dans son lit, véritablement paniquée, ne se calmant que lorsqu'elle reconnut les traits de son parrain. Pourtant, pendant une poignée de secondes qui lui parurent être bien plus longues elle ne vit que lui. Cet homme qui l'accompagnait et qu'elle ne connaissait pas mais dont le regard était si bien venu s'ancrer au sien. Elle aurait sans doutes du avoir peur mais elle se sentait étrangement sereine. Il ne lui souriait pas, ne bougeait pas même. Elle ignorait jusqu'à son nom et elle s'en fichait pas mal. Sans comprendre pourquoi Audrey lui avait souri. Puis, celui-ci s'était fané et s'était les yeux embués de larmes qu'elle avait reporté son attention sur ce parrain près d'elle. Se jetant à son cou comme elle le faisait quand elle était encore une enfant, elle enfouit son visage au creux de son épaule et pleura, soupira, se perdant dans ses mots.
Je suis désolée Jacob ! Je... je ne voulais pas te déranger mais ils ne m'ont pas laissé le choix ! Ils refusent de me laisser sortir seule ! se reculant quelque peu elle plongea son regard encore bien enfantin dans celui de l'homme avant que de lui murmurer, de le supplier et de l'implorer presque Fais moi sortir d'ici ! Maintenant ! S'il-te-plaît... Je veux sortir...
Mais déjà un médecin arrivait, entraînant Jacob quelque peu à l'écart et lui parlant franchement. Audrey refusait de se laisser examiner et ils ne pouvaient la laisser sortir ainsi. Elle prétendait que non mais tout semblait, pourtant, indiquer qu'elle avait été victime d'un viol. Si tel était bien le cas alors des prélèvements devaient être effectués. Ce seraient autant de preuves pour permettre de confondre le monstre qui lui avait fait ça ! La jeune femme frémit quand elle surprit ces mots et, sans même réfléchir, se leva de son lit et tenta de se précipiter vers la sortie. Mais elle était encore bien trop faible et ses jambes flanchèrent. Ses mains se raccrochèrent de justesse au tissu de cette chemise qu'elle agrippa nerveusement. Levant les yeux elle rougit avant que de balbutier à celui dont elle ne devait jamais oublier le regard et le sourire gêné
Je... Pardon...
Audrey venait de rencontrer Tristan. Et, dans le genre, on faisait mieux !
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#Sujet: Re: What shouldn't be... but will happen [PV Jacob & Tristan]
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