Malory passait une ô combien merveilleuse journée, elle était de très bonne humeur toute la journée, et elle se fichait pas mal des commentaires soit disant méchants de ses professeurs, c'est bon quoi, elle les écoute, elle les écoute pas, pour eux ça ne change rien, il n'y a qu'elle que ça consiste ! Enfin bref... Toute contente elle ne se plaignit pas de la fin de cours, elle avait prévu de faire un tour à la bibliothèque avec Stanislas pour l'aider à réviser un devoir.

Oui, cela sonne très paradoxal : Malory aider dans des devoirs... Comment dire ce n'est vraiment pas son truc, mais en fait c'est l'unique manière de la faire travailler : en regardant les autres le faire et en les interrogeant ! Il n'y a que comme ça que cette blonde a réussit à obtenir ses BUSES...

Elle se balada dans une paix improbable, l'automne était vraiment sa saison fétiche, elle aimait cette couleur rouille, cuivre qu'elle pouvait observer chaque fois qu'elle regardait à travers une fenêtre. Cette couleur marquait non seulement un nouveau cap dans l'année scolaire mais aussi était une saison haute en événements. Elle aimait quand les choses s'animaient autour d'elle, sans une participation de la guilde de préférence.

Elle avait rendez-vous avec son ami dans le couloir au troisième étage, elle y arriva un peu plus tôt que prévu, elle se rapprocha donc de la fenêtre, s'assit sur le rebord et observa cette météo capricieuse au chaud dans le château.

De temps en temps un groupe d'élève passait près d'elle, auquel cas par curiosité elle ne pouvait s'empêcher de regarder qui était-ce. Cinq groupes ont dû traverser ce couloir déjà, sans qu'il y ait qui que ce soit d'intéressant. Oui, puisque la blondinette était d'humour à embêter quelqu'un, elle s'estima très soft envers ses professeurs, d'où elle ne se défoule pas assez.

Soudain, une personne passe, une blonde sauf qu'une blonde que la gryffondor ne peut sentir : Catharina Bolkonski, cette fille était on ne peut plus ennuyeuse d'après Malory. Bah oui, toujours à l'heure, toujours à l'écoute des professeurs, toujours des devoirs parfait, aucun sens du plaisir et du divertissement !

Enfin, Malory ne pu s'empêcher de lui envoyer une petite pique, de sa place des plus confortable, que sa camarade prendra comme le voudra-t-elle !

Bah alors ? Le toutou a perdu ses maîtres ?