Carys Sheen ▌ Messages : 11 Humeur : QUI SUIS-JE?Baguette: Bois de mélèze, 33,08 cm, plume d'hyppogripheCamp: NeutreAvatar: Tilda swinton
| #Sujet: Carys Sheen Dim 8 Aoû - 23:25 | |
| Lieu de travail ou maison : Carys n'a jamais eu à travailler de sa vie, sa famille possédant une petite fortune assez confortable pour ne pas à s'inquieter de ce genre de chose.
Âge : 60 ans Surnom : Aucun à sa connaissance Origine : Nationalité Britannique, d'origine Galloise Dâte de naissance : 08 août 1888 Statut : Depuis son plus jeune âge, on lui a toujours dit que sa famille est de sang pur, sans aucunes tares moldus. Carys l'a cru pendant des années, n'allant pas chercher plus loin, après tout si ses divers parents le disaient alors c'était certainement vrai ... Maintenant, aller savoir, elle sait qu'aucunes famille n'est sans tâche, qu'il y a toujours des secrets. Le fait qu'elle ne connue jamais son père, le fait qu'il ne fut jamais mentionné et que sa mère rejette toutes discutions à son sujet est une source de suspicion pour Carys. Sang-mêlé, même si cela lui fait mal, parait plus probable curieusement. C'est une intuition. Travail/année : Aucun CARACTERE Je pourrais décrire Carys ainsi : c'est une sauvage qui passe le plus clair de son temps à déambuler pieds nus dans la forêt.
C'est un bon résumé, mais il manque quelques petits détails, comme le fait qu'elle ne se contente pas de errer sans but dans la forêt non, elle erre oui mais elle dessine également puis ensorcelle ses œuvres pour qu'elles prennent vie. C'est un de ses passe-temps favoris, n'importe quoi, qui attira son attention sera dessiné aussitôt au crayon dans un carnet de croquis, que ce soit des animaux, des plantes, des champignons, magiques ou non, cela n'a pas d'importance.
Carys ne se contente également pas de la forêt comme lieu de déambulation, en fait, tout lieu sauvage, inculte, loin de la civilisation trouve grâce à ses yeux, d'une part parce qu'elle adore les grands espaces, d'autre part parce que les lieux clos lui donnent la chaire de poule.
Un jour quelqu'un lui apprit qu'il y a un mot pour ça : la claustrophobie ! La peur des petits espaces clos, dans son cas même une grande salle la met mal à l'aise. C'est malheureux, parce que cette phobie gâcha sa scolarité à Poudlard, en effet, les salles de cours étaient étouffantes à ses yeux, elle soufra d'angoisses durant toutes ses années à l'école des sorciers. Maintenant, ce mal ne c'est pas calmé, elle évite juste d'être enfermer, les seuls endroits faisant exceptions restent le manoir familiale et une certaine boutique dans l'Allée des Embrumes, qui est aussi un lieu de son enfance.
En réalité, la seule manière qu'elle trouva pour faire face à cette peur paralysante et de passer du temps dans certains espaces fermer est d'avoir un coup dans le nez. Oui, cela l'aide à oublier, à enfouir ces angoisses, sa panique, au plus profond d'elle-même et de passer un bon moment dans des petits endroits. Alors, non, Carys ne passe pas pour autant sa vie à boire, mais parfois elle aime déguster des cocktails aux noms rigolos et de passer du temps avec des gens, toutes sortes de gens, que ce soient des sorciers et sorcières de la haute société ou des marginaux croiser dans un bar sans nom. Ceci dit l'alcool n'aide que pour un temps et Carys finie fatalement par errer dans les rues ou carrément disparaître pour réapparaître dans des landes perdues sous un ciel infini.
Dans un autre registre, je peux également affirmer que Carys à une peur plus grande que celle de l'enfermement, la peur des moldus ! C'est vrai, les moldus à première vue ne semble pas si dangereux mais une éducation fonder sur la haine des moldus, les histoires épouvantables qu'on lui conta sur leur sujet durant son enfance, fit qu'elle éprouve désormais une peur, doubler d'un dégoût viscérale envers eux. A dire vrai, jamais la sorcière ne c'est approché d'eux d'assez prêt pour savoir si tout ce qu'on lui a dit est vrai mais, elle n'en a pas envie, pour elle le monde sorcier compte avant tout et les moldus sont une erreur de la nature (ne parlons pas des nées moldus, pour elle ce sont des anomalies).
Déjà, le fait qu'elle doute maintenant sur la véracité de son sang pur la gène énormément et c'est un sujet sur lequel, elle ne préfère pas s'épancher. En tout cas, il est certain que si une personne se présentait et décidait d'éliminer les moldus pour laisser plus de place au monde sorcier eh bien, Carys serait tout à fait enchanter, serait même prête à suivre la dite personne ; quoique Carys ne sait pas si elle serait capable d'aller jusqu'à tuer des moldus, c'est une chose de vouloir les voir disparaître, c'est une autre chose de passer à l'acte.
Sinon, en dehors de tout ça, elle reste un être humain avec ses bizarreries, ses manies. En vrac, je pourrais dire qu'elle adore les noisettes et les châtaignes, ne supporte pas la chaleur, qu'elle affectionne l'automne et ses couleurs, que la neige l'enchante depuis toujours, qu'elle possède un furet nommé Noodles comme animal de compagnie et qu'elle ne comprend pas pourquoi la Magie noire à si mauvaise presse. Alors, oui, ce n'est pas à mettre dans les mains de tout le monde, certes aimé la nature et la magie noire peut paraître contradictoire mais, Carys n'a jamais prétendue être une personne logique. | PHYSIQUE Les cheveux longs, blonds et légèrement ondulés, la peau blanche presque translucide, de grands yeux gris, voilà quelques caractéristiques de son physique, mais on peut également noter que c'est une grande femme, très mince, frisant presque la maigreur, une apparence assez androgyne.
Carys se déplace toujours silencieusement, discrètement malgré sa taille, comme si elle désirait ne pas se faire voir. Elle sourit peu mais lorsqu'elle le fait, c'est un grand sourire qui dévoile ses dents imparfaites (qui a une dentition parfaite de toute façon?), allant jusqu'à ses oreilles percer.
Oh, elle aime les bijoux, les parures en tout genre, les piercings, tous confectionner par ses soins, en bois, en os, en plumes, des coquillages ramasser sur la plage, des perles dans ses cheveux, des pierres autour de son coup, des couronnes excentriques sur le haut de sa tête, toujours un crayon coincé contre une oreille. Ceux-ci contribue à apporter un peu de folie à son allure car, elle affectionne les vêtements simples, aux couleurs qui l'aident à se fondre dans le paysage, vert sombre de la forêt, bruns riches, jaune comme les pissenlits. Sauf lorsqu'elle décide de sortir et se mêler à la foule, là elle aime porter des tenues excentriques, avec des couleurs très vives, la faisant ressembler à un genre de libellule géante.
Carys porte rarement des chaussures, ne le faisant que lorsqu'elle n'a pas le choix, préférant aller pieds nus, aimant à sentir le sol.
Elle a une voix un peu rocailleuse, c'est d'ailleurs quelque chose qui la gêna des années durant avant de finir par se faire une raison. | Ma foi, les débuts dans la vie de Carys furent tout à fait normaux. C'était un bébé tout ce qu'il y a de plus lambda, pleurant, mangeant, dormant, ne faisant rien de plus. Aussi, ses premières années passèrent ainsi, elle fit ses premiers pas dans le grand salon, plus tard ses pouvoirs se manifestèrent dans la cuisine, cela la fit énormément rire de faire voler les casseroles, les poêles, les couteaux et les fourchettes (l'elfe de maison présent à ce moment-là trouva la plaisanterie nettement moins bonne).
Bon, en réalité le reste de son enfance ne ce passa pas trop mal non plus, Carys joua énormément dehors et quel terrain de jeux elle avait, toute une forêt ! Bien sûr il ne faut pas être un fin psychologue pour comprendre que son amour des forêts, vient de son enfance passée au cœur des bois, en effet le manoir familiale était un lieu isolé, loin de tout, perdu parmi les arbres. Elle aimait courir dans les fourrer, observer les petits et gros animaux, s'émerveiller devant des fées et fuir les serpents.
Ce qu'elle appréciait énormément aussi, fut de se promener avec sa grand-mère l'automne, pour cueillir des champignons, tout un tas de champignons, de formes et de couleurs divers, certains pour être mangé, d'autres servirent dans les potions étranges que confectionnait la dite grand-mère, Carys ne su jamais pendant des années ce pourquoi elles étaient destinées.
Elle ne fut pas la seule enfant du manoir, en effet, il y en avait trois plus âgés issu du premier maris de sa mère (décédé) et quatre plus jeunes issu d'un autre homme encore (toujours marier avec sa mère) son père à elle, était un vrai mystère. A eux tous ils formèrent un troupeau de gamins, lâcher en toute liberté dans la forêt, tandis que les adultes ... Faisaient des choses d'adultes qui les dépassaient complètement. Bref, quoi qu'il en soit, elle s'amusa énormément avec ses frères et sœurs, jusqu'à ce que les aînés commencent à quitter le manoir pour aller à Poudlard. Curieusement l'idée d'aller dans la grande école ne l'enchantait pas du tout, certes apprendre la magie paraissait bien mais l'idée d'être enfermer dans des salles de cours ne la faisait pas rêver.
En attendant, lorsqu'elle ne jouait pas dans les fourrés, Carys passa également du temps dans la petite boutique de sa mère. C'était un endroit peu fréquenté, peu connu, mais qui avait ses clients réguliers. Sa mère y vendait des articles liés à la magie noire mais également des livres, des fioles avec tout un tas de potions ; sa mère n'avait pourtant pas besoin de travailler, étant donné la fortune familiale mais, Carys l'apprit plus tard, elle aimait avoir une activité, quelque chose en dehors de la vie au manoir.
En réalité ce fut dans l'arrière boutique qu'elle passa le plus de temps, en compagnie de ses frères et sœurs ou non et toujours avec sa tante.
Carys aimait écouter les histoires contées par sa tante, tout un tas d'histoires, surtout de celles qui font peur, les moldus revenaient beaucoup dans ce registre. La jeune fille prit ses histoires mots pour mot, entre ça et le dégout manifeste de ses autres parents envers le monde non-sorcier fit qu'elle s'en trouva marquer à vie sans que rien ne puisse changer cet état de fait.
Ce fut donc une enfance plutôt heureuse, ou Carys profita d'une grande liberté, sa mère et ses grands-parents ayant mieux à faire que de s'occuper d'une bande de gosses. Aussi, lorsque arriva son grand moment, lorsqu'elle atteignit l'âge de 11 ans, elle sut qu'à la rentrée elle irait à Poudlard. Contrairement à ses ainés, la jeune fille n'était en aucun cas ravie de ce fait, elle ne voulait en aucun cas aller à l'école des sorciers. Oui, apprendre à maîtriser la magie semblait intéressant mais, elle ne voyait pas pourquoi elle ne pouvait pas le faire au manoir, pourquoi devait-elle partir loin de sa maison et surtout quitter sa forêt.
Elle en fit des cauchemars, elle pleura et pria sa mère, ses grands-parents, de ne pas y aller, malheureusement, ils étaient inflexibles sur ce sujet, elle devait y aller, comme les autres. Les seules choses qui la consola fut l'achat de sa baguette : bois de mélèze, 33,08 centimètres, plume d'hyppogriphe, ainsi que l'achat de son hibou de compagnie, un magnifique hibou grand duc qu'elle nomma Châtaigne grillé. Le jour de la rentrée fut comme un jour de condamnation pour Carys, déjà le train lui déplaisait et le voyage fut incroyablement pénible, heureusement trouva-t-elle une cabine pratiquement vide, en dehors d'un garçon si timide en apparence, qu'il ne parla pas de tout le voyage.
Quoi qu'il en soit, sa phobie des petits espaces commença à s'aggraver à partir de ce moment-là et ne cessa d'augmenter durant toute sa scolarité.
Poudlard signifiait la torture dans l'esprit de Carys, des années de tortures, très peu de bons souvenirs se rattachent à cette période de sa vie. Au début, être enfermer dans les grandes salles de cours fut à peu près gérable, mais au fil de temps, cela devint de plus en plus insupportable, surtout les cours se déroulant dans les cachots, quelle horreur ces pièces sans fenêtre ! Fort heureusement, elle fut assignée à la maison Serdaigle, au moins de la tour, pouvait-elle contempler à loisir la forêt et les montagnes alentour. La forêt justement, Carys passa le plus clair de son temps à s'y réfugier, faisant de ce fait, perdre beaucoup de points à sa maison à chaque fois qu'elle se faisait prendre. Se balader autour du lac aussi aidait et parfois elle poussait ses promenades de plus en plus loin, avant de se faire attraper par des professeurs ou encore le concierge, tous exaspéré par son comportement fugueur.
Était-ce de sa faute ? Elle qui fut si habituée à parcourir la forêt sans limite, sans restriction, à vivre presque comme un sauvage, sans règles ou presque, être enfermer dans un château équivalait à enfermer un animal en cage.
Ce qui aida également, fut de se plonger à fond dans les cours, de se plonger dans les bouquins pour oublier cet enfermement, de s'acharner sur ses devoirs pour ne plus avoir à penser avec nostalgie aux grands espaces de son enfance. Bien entendu, elle retrouvait sa forêt natale chaque étés et également pendant les fêtes de fin d'années, ce qui représentaient de petites bulles de bien être dans un océan de ténèbres. Ainsi, son adolescence ne fut pas facile, elle soufra de dépression, d'automutilation et pensa plusieurs à aller plus loin, ce qui la retint cependant, fut l'espoir, la connaissance que cela ne durerait qu'un temps et qu'ensuite, elle serait enfin libre.
Aussi, dans ces circonstances, elle n'eut que peu d'amis, un seul en réalité fut vraiment proche d'elle : le jeune garçon si timide qui partagea son premier voyage en train. Lui, n'avait pas la phobie des espaces clos mais plutôt la peur maladive des autres et leurs mal être les rapprocha, au point qu'ils se trouvèrent d'autres points en commun et devinrent inséparable ou presque (il n'était pas fan de ses escapades dans la forêt et autre). Le seul problème fut qu'il était dans une autre maison, Serpentard en l'occurrence, mais ce n'était qu'un petit détail.
Il fut d'un grand soutien, comme elle fut d'un grand soutien pour lui, ensemble ils traversèrent ces années difficiles.
A la fin de sa scolarité, lorsque enfin elle et son ami furent libres, ils fêtèrent ça, en se prenant une grosse cuite et en perdant leur virginité ensemble (plus tard son ami découvrit qu'il préférait les hommes et elle découvrit que ce genre de choses, ce n'était pas son truc). Ce fut comme une renaissance pour Carys qui décida de parcourir le monde, à la recherche des grands-espaces, les plus sauvages possible. Son ami l'accompagna car, il désirait étudier les sociétés sorcières nomades et autochtones, notamment celles vivant en Sibérie et les Samis en Finlande mais également les tribus Amérindiennes aux Amériques. Cela allait parfaitement à Carys, aussi voyagèrent-ils ensemble pendant des années, ce fut durant ce temps-là qu'elle découvrit sa passion pour le dessin.
Lorsqu'ils rentrèrent en Angleterre, elle revint s'installer dans la forêt de son enfance, au manoir plus précisément parce qu'elle ne se voyait pas vivre ailleurs tandis que son ami écrivit un livre sur tout ce qu'il avait apprit. Plusieurs années se déroulèrent ensuite sans trop d'incident, ils se virent assez souvent, leur amitié toujours aussi forte jusqu'à ce que le malheur frappe et que son ami ne fusse emporter par une maladie que même la magie ne pouvait guérir. La perte de son ami de toujours, la personne la plus proche d'elle en dehors de sa famille, celui qui avait tant compté durant ses années à Poudlard et ensuite durant leurs voyages, fut un coup terrible pour Carys. Une période sombre s'en suivi, qui faillit bien signifier sa perte. Elle repartit en réalité, repartit loin, loin de tout, pour ne pas se plonger dans l'alcool ou autres substances, pour essayer de trouver quelque chose pour l'aider à traverser ce deuil qui était comme un gouffre dans son âme.
Carys revint quelques années plus tard, remise de son deuil, mais marqué à jamais, elle ne se lia plus autant à quiconque en dehors de sa famille, préférant les relations éphémères, des amitiés d'une nuit. La vie continua son cour, parfois elle aida sa mère dans la petite boutique, vendant des articles à l'aspect douteux et des potions trop colorées pour être honnête, au moins cela l'occupait et cet endroit était l'un des rares dans lequel elle acceptait d'être enfermer, sans être en état d'ébriété. Contrairement à ses frères et sœurs, Carys ne se maria jamais et n'eut encore moins d'enfants, pourquoi faire de toute façon ? Le nom de la famille, bien que beaucoup moins puissant que le nom de Malfoy ou Black, était assuré de perpétuer et elle ne se voyait pas mère. Quoi qu'il en soit, les années passèrent ainsi sans qu'elle s'en rende compte, comme le fait la vie, qui sait ce qui peut encore arriver maintenant .... Prénom/pseudo : La folle aux chats
Âge : 34 automnes
Fréquence de connexion : Cela dépend
Comment avez vous connu le forum ? En creusant
Autres comptes ? : Oui, ça ce pourrait bien
Acteur de votre avatar : Tilda swinton
Un mot pour la fin ? : Oui, j'ai enfin fait ce DC
Dernière édition par Carys Sheen le Lun 23 Aoû - 23:05, édité 55 fois |
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