Après un coup de foudre aussi brutal qu'inattendu, Monsieur et Madame Flaverty en étaient rapidement arrivés à la reproduction. Un mariage festif sous un soleil de plomb leur avait permis d'engendrer un premier garçon, Max, l'année suivante une fille, Emily et à peine onze mois plus tard un autre fils, Grégory, tous les trois se suivant ainsi (« Pan ! Pan ! Pan ! Disait Basil »). Puis, après trois années durant lesquelles Monsieur grimpa les échelons de la société pour se hisser plus haut qu'il ne l'était déjà, au département des Sports Magiques, naquit Basil, dans la journée d'un 30 septembre encore bien chaud. Loin d'apparaître comme un enfant de plus, c'est-à-dire malvenu, Basil permit à ses parents de retrouver leur jeunesse, à peine fânée, et deux ans plus tard naissait son frère Oscar, et après deux années de plus, sa soeur Dorothy (Paf, pshitt et click ! Renchérissait Basil). Au final, un petit Arthur vint faire de Basil le centre absolu de toute cette marmaille. Trois devant, trois derrière, disparais entre les grands et les petits, tu n'es personne. Personne ?! Hors de question pour Basil, qui s'insurgea en un éclair de ce vol éventuel de son identité, de son unité elle-même. S'il n'y avait que la chamaillerie, le génie ou la stupidité pour s'imposer et percer dans cette existence qui lui était due, et bien il était prêt à tout accepter, à se gorger de tous les paroxysmes, de tous les orgueils pour devenir. Devenir n'importe quoi, n'importe qui mais surtout, et c'était le plus important : être. Et c'est pourquoi Basil fut frappé de la folle nécessité de se couvrir de tous les superlatifs possibles. Néanmoins, il y en avait un qu'il préférait parmi tous, un adjectif qui lui collait à la peau à la perfection : il était, avec honneur et excellence, le plus chiant de toute sa portée, et comptait bien mettre régulièrement à jour son exploit à la moindre occasion. Il grandit ainsi, au milieu des couches, des bêtises, des abus d'autorité de ses ainés (« Absolument HON-TEUX bande de rats ! »), et le petit Basil s'affirma très vite comme le fléau de ses parents. Il en faisait une question d'amour propre, bien qu'avec toute l'inconscience de son jeune cœur d'enfant. L'innocence ? Ce n'était qu'une excuse à ses folies dévastatrices, à son immaturité absolue et un refus incontestable de grandir, il rêvait à la fois des droits de ses grands frères (sortir le soir, fumer, avoir sa propre baguette, se coucher tard...) et des libertés des petits derniers (roter, pleurer, salir, ne pas systématiquement devoir participer à la vie de famille...). On lui refusait les responsabilités des plus grands alors qu'il devait quand même s'occupait de sa petite soeur ? C'était du grand n'importe quoi pour l'hyperactivité de l'enfant qu'était Basil, mais il parvenait à répondre avec froideur et malice : « Maman, tu vois bien qu'il y a une faille dans ta logique éducative. » Insupportable, d'une énergie jamais canalisé, il vivait dans le surenchérissement de la moindre de ses émotions pour le plaisir de se faire remarquer. Toujours se faire remarquer. Ses parents tentèrent de le fatiguer un peu en lui collant un balai dans les mains et, loin de balayer quoique ce soit de ses diverses cochonneries, ce furent de longues soirées, été comme hiver, à se balancer au-dessus des arbres en poussant des beuglements ravis, nécessairement accompagnées de fractures, poignets cassés et autres foulures. N'ayant pas vraiment le choix et n'étant pas, dans le fond, si mauvais, Basil baissait vaguement l'échine face à l'autorité parentelle (étonnamment effrayante quand au bord de la crise de nerfs) , certes, mais compensait par la démultiplication de bêtises crapuleuses en tout genre, traînant parfois avec lui son frère Oscar (cacher la tétine du p'tit dernier, défaire consciencieusement tous les lits et tous les lacets, planquer toutes les chaussettes gauches ; cacher les clés, les baguettes, desserrer les joints de la douche.......). Autant de farces qui ne faisaient rire que lui. Et alors. Ceci étant dit, il ne pouvait se défaire de son concentré d'énergie, et passait le plus clair de son temps sur terre à courir dans les champs qui bordaient la demeure familiale. Rêvant du potentiel de conneries que lui permettrait la magie, il avait toujours tenté avec beaucoup d'espoirs de faire sortir quelque chose de la baguette de ses parents. En vain, jusqu'à ce qu'un beau jour, lors de sa septième année, une gigantesque bourrasque de vent en sorte, éparpillant à peu près tout ce qui se trouvait alors devant lui : des livres, donc, il se trouvait en effet dans la bibliothèque de la maison. Un massacre. Mais il s'agissait de la première manifestation de ses pouvoirs, événement exceptionnel et fêté dans les familles de sorciers, si bien que ses parents ne purent rien en dire (« Hèhè »). Déjà particulièrement énergique et prompt aux idioties, Basil ne se contint plus le jour où il reçut sa lettre. La lettre ! Lui qui bavait d'envie devant les uniformes de ses frères et soeur ! Toute la contrée put profiter de ce jour ensoleillé de juillet, et de la joie de Basil qui explosa dans la campagne environnante. Non pas qu'il eut jamais douté de sa capacité à avoir accès à la fameuse école de sorcellerie d'Angleterre, non, il était juste content, et étant du genre expansif, il aimait que tous purent en profiter. La cérémonie de répartition resta pour lui un jour tout à fait spécial. Alors que tous attendaient, gentils petits première année, lui sentait déjà monter sous sa peau des vagues d'impatiences et de trépignement. Ils étaient à peine entrés dans la Grande Salle que déjà, il n'en pouvait plus d'attendre de savoir dans quelle maison il serait réparti. Le discours du vieil Armando Dippet dont il avait déjà tellement entendu parler tournait au supplice de ses oreilles, et ce dès la toute première phrase du vénérable professeur de Poudlard. Si bien qu'il saisit la première distraction venue pour tenter de leurrer son énergie, et il ne put s'empêcher de couper son voisin qui pensait à voix haute :
Je crois que... … Je vais gerber d'ennui !
Leurs yeux se croisèrent, et le fou rire qui leur monta alors aux lèvres était de ceux qu'on n'oublie pas, de ceux qui signifie : « celui-ci est des tiens. » Une forme de reconnaissance, en fait. Basil le savait. Il avait trouvé celui avec il allait pouvoir passer sept années (au moins!) de conneries (« on va se loler mec. » Et en effet, dès lors s'enchainèrent les cours, les fous rires, les engueulades, les échanges de ragot sous la couette, des discussions passionnées sur la morphologie féminine, encore des engueulades, une quantité rocambolesque de paris plus débiles les uns que les autres, des échanges de vannes acerbes et de quelques coups de poing « à la Moldue » (beaucoup, en fait), quelques râteaux aussi (il faut bien le dire). Tout, n'importe quoi surtout, pouvait devenir sujet au jeu : les notes, les filles, le rangement de la chambre, l'insolence, le fayotage, les potes. Des exemples ? « Chiche on arrive à suivre l'aspic de divination ? » « Okay mec ». Ou encore : « Chiche t'es préfet ? » « Ouai, mais toi t'es Capitaine alors. » « C'est parti. » C'était magique. Basil était vif d'esprit, très critique, c'était surement pour ça qu'il était allé à Serdaigle. Sa philosophie particulièrement positive montrait finalement un rapport à la vie qui lui était propre et qui, sans être le fruit d'une mure réflexion, résultait malgré tout d'une certaine nonchalance recherchée et voulue. Basil, curieux de tout, jamais assouvi, aimait les cours, mais ne savait travailler que ce qui le passionnait véritablement : les Métamorphoses et, dans une moindre mesure, la botanique. Ce qu'il n'aimait pas, comme l'histoire de la magie, passait à la trappe. Bien que particulièrement mauvais à cause de sa maladresse et de son impatience, Basil appréciait énormément l'astronomie, qui lui permettait de passer quelques heures au plein air, ce qu'il adorait. Pouvoir sentir le vent sur sa peau, se sentir libre, le ciel au-dessus de sa tête, était pour lui le plus grand bonheur qui soit, probablement au-delà même du fait de sentir un corps chaud, assoupi sous des draps communs.
» Physique
Basil n'a pas été complexé longtemps par son petit gabarit. Enfin, petit gabarit, c'est vite dit. Disons qu'avec son mètre soixante-dix-huit, il aurait beaucoup aimé le quatre-vingt, et il est vrai que si ses cinquante kilos d'os lui ont laissé des vestiges d'une posture anguleuse et souple, son entraînement et sa passion pour le Quidditch ont fait de lui une soixantaine de kilos de muscles, un torse glabre, frais et finement musclé, des bras longs, fins, et durs, des épaules souples et développées. Peut-être un peu disproportionné, avec des bras, des jambes et un cou un peu longs, avec un torse plutôt court et des extrémités, mains et pieds, plutôt petites. Mais l'ensemble avait une certaine harmonie et la musculature faisait toujours un meilleur effet que les bras maigrichons qu'il avait abhorrés jusqu'à ses quinze ans, mais le pire aurait été d'avoir quelques bourrelets de graisse, bidon dont la vue lui faisait horreur. Cette silhouette sur laquelle il avait notablement travaillé, il en était très fier, car son visage n'était pas forcément des plus beaux. Ce n'était pas un mannequin et il le savait. Des traits pas vraiment fins, des yeux pas aussi envoutants qu'il les aurait voulus. Même pas bleus, même pas noirs. Juste bruns. Des lèvres plantureuses, certes, mais décalées, voire démesurées dans son visage osseux, d'une couleur rouge purpurine, bien trop féminine pour le satisfaire. Des joues creuses, un front large, un nez droit. Un air presque malade s'il ne souriait pas sempiternellement d'un air idiot ou mauvais. Des cheveux dans tous les sens, ni blonds, ni bruns, juste éparpillés autour de ses oreilles et de son front, parfois plus ou moins gras. Ça donnait du style quand c'était pas coiffé. Tellement mieux. Toujours dans cette idée d'avoir « du style », lorsqu'il n'a pas à mettre l'uniforme réglementaire, Basil porte des jeans, souvent plus ou moins troués, des tee-shirt bigarrés ou bien des débardeurs, des baskets. Parfois un chapeau, histoire d'être un peu chic. Ça plait aux filles. Quand personne ne le regarde vraiment, quand il n'est pas en train de parader devant une demoiselle, Basil se tient complètement ratatiné sur lui-même, souvenir de sa pré-adolescence et de son volume de crevette complexée. Il se tient avachi sur sa table de travail en cours, s'il s'arrête pour discuter dans un couloir, il est forcément collé au mur, s'y appuyant de tout son poids (ce qui lui joue souvent des tours, car il suffit alors de lui donner un coup de pied au niveau des chevilles pour le faire glisser de tout son long au sol. Ahah.) Il fut un temps où ses mains étaient petites, allongées par des doigts fins, mais la métamorphose du Quidditch a également agi sur celles ci, et dorénavant elles se trouvent être caleuses, rugueuses, puissantes. De vraies mains d'homme qui savent à peu près tout faire.
» Caractère
Sérieusement. À dix-sept ans, quel garçon, quel jeune homme en herbe, n'est pas absolument fasciné, obnubilé par la gente féminine ?? Pour Basil, c'était certain, aucun. C'était impossible. Ceux qui ne s'intéressaient pas aux filles, aux choses du corps, n'étaient pas normaux. Et c'était son premier trait de caractère : Basil se plait dans la compagnie féminine, il aime la flatter, la caresser, l'apaiser. La faire sienne. Il n'est pas particulièrement manipulateur, mais il sait où il veut arriver, et, même sans se forcer à déployer une richesse de mécaniques spirituels pour intéresser ces demoiselles, il sait se montrer aussi persuasif qu'envahissant, une fois qu'il a décidé d'obtenir un baiser, ou plus, de celle qu'il a choisie. Ça n'en fait pas de lui un innommable goujat, puisqu'il ne se cache pas vraiment de ce à quoi il joue. Reconnu comme un émérite « lover », celles à qui il s'adresse savent le plus souvent à qui elles ont affaire. Que cela leur plaise ou qu'elles n'en deviennent que plus méfiantes, ça n'a aucune importance pour Basil, le tout étant de se faire d'abord plaisir dans la délectation de s'entendre lui-même parler, de savourer les mots qui coulent de sa bouche et qui finissent par être écoutés, qu'importe leur interprétation. Que les filles en question l'écoutent ou le rejettent, il n'en reste pas moins que le trouble est causé, la cible touchée, d'une manière ou d'une autre, et c'est ce qui plait à Basil. Il sait que l'indifférence aux choses de l'amour et de la sensualité, même lorsqu'on a dix-sept ans, n'est pas possible. Personne ne peut être insensible, il en est intimement persuadé, et qui saurait lui donner tort ? D'ailleurs, s'il préfère se plaire près de ces demoiselles, son amour de la lourdeur exacerbée ne l'empêche pas de se frotter à ses jeunes collègues masculins, jouer plus ou moins une forme d'homosexualité dans la complaisance de choquer ou de se moquer, de la façon la plus bête qui soit, bien que Basil n'ait pas forcément d'idées sur les questions raciales et discriminatoires. Ce n'est pas son problème. Ce qu'il veut, c'est être remarqué, et que son rire d'abruti soit entendu. Embêter pour exister, ça lui convient.
Ainsi, ce ne sont pas que les filles qu'il enquiquine à tour de bras. Ses camarades de classe masculins y passent également. Tous. Certes, ce n'est pas toujours de la drague qu'il utilise alors, mais plutôt le grand jeu de la vanne, du « rabrouage », du défi complètement inconscient lancé à pleine voix au milieu d'un cours. Le jeu. Les paris. Ce genre de bêtise. Pas de pitié pour les faibles. Ces blagues, ces allusions graveleuses ne plaisent pas à quelqu'un ? Aucun soucis, le harcèlement, insidieux et puéril, Basil connait. Et ça lui plait. Puisque c'est tellement facile, quand on est un grand et velu septième année, qu'on est à l'aise avec les nanas, quitte à paraître lourd, et surtout, surtout ! Quand on est toujours à deux, quand on a toujours son meilleur pote à côté de soi, tout prompt à soutenir dès la moindre faille. Basil ne craint pas la lâcheté, ni le courage. Pour lui ce ne sont que des mots. Coincé dans sa vision de jeune abruti, il n'y a que son monde vaguement dominé, plus ou moins maitrisé. S'il a conscience de son étroitesse d'esprit ? Peut être, mais quoiqu'il en soit elle ne le dérange pas davantage. Parce que Basil s'euphorise dans le jeu et l'insouciance. Il n'y a que les défis, le rire, l'idée de se surpasser, d'aller plus loin que l'autre. La compétition, loin de l'effrayer, le rend plus fort, le pousse dans ses retranchements, dans ses moindres limites. Quand le jeu intervient, le monde n'existe plus. Il n'y a alors qu'un unique objectif : la victoire, et alors, rien n'a d'importance. La famille, l'amitié, les filles, l'avenir, tout disparaît et Basil ne se concentre plus que sur l'éventualité d'obtenir gloire et fierté. C'est tout ce qui compte. C'est la plus belle des ivresses. Et c'est en cela que son amitié avec Liam fut décisive dans la construction de son identité de jeune homme. Tant qu'il est avec lui, tant qu'ils peuvent se moquer des autres et s'enfermer dans leur monde égocentrique et empli de toutes les brimades, de jeux aussi idiots que parfois dangereux, alors il n'y a absolument aucun problème. Rien ne peut arriver. Selon Basil, tout mérite d'être découvert. Son étroitesse d'esprit se limite à la compréhension et la sensibilité face aux autres et à leurs sentiments, mais autrement, sa curiosité n'a pas de limites. Qu'elle touche le savoir théorique ou les expériences, Basil cherche sans relâche à découvrir tout ce qui peut l'être et ne conçoit pas de se heurter à des obstacles. Forcément, quand on a dix-sept ans, la recherche de la nouveauté tourne essentiellement autour de la débauche : fumette, sexe, drogue, Basil ne voit que cela d'inconnu et il veut tout aspirer, tout posséder, tout maîtriser, et ce, dans la plus puérile des insouciances. Il se caractérise par son immaturité et son inconscience absolue des autres, du mal, du danger. Il est impulsif, franc, ignore les notions de réflexion et d'introspection. Et il est tout à fait heureux ainsi.
» Vous
PRENOM - Carl PSEUDO - Carlo (bah oui) AGE - 28 ans NOMBRE DE LIGNE - ça dépend... Au moins 30-40 assurées COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? - Partenariat QUE PENSES TU DU FORUM ? - Simple et efficace ACTEUR SUR VOTRE AVATAR - Jackson Rathbone UN MOT POUR LA FIN ? - SHAZAM ! Flipendo !
Tom Elvis Jedusor
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QUI SUIS-JE? Baguette: bois d'if, plume de phénix, 33,75 cm Camp: Mal Avatar: Gaspard Ulliel
Bienvenue Tout comme je l'ai dit à Liam, je pique du nez au point d'écrire avec mes narines, donc je lirai ta fiche demain. Même question que pour Liam, au passage, puisqu'on est en Juin in rp, est-ce que tu préfères que Basile soit envoyé en 6eme année (bon, je devine que la réponse de l'un motivera celle de l'autret )?
▌ Messages : 3701 Humeur : En couple avec : On passe sa vie à dire adieu à ceux qui partent, jusqu'au jour où l'on dit adieu à ceux qui restent...
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#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mar 21 Aoû - 0:27
Hé hé hé ^^
Ca y est, j'ai fini de liiiire ^^
M'enfin, bienvenue d'abord xD
J'aime beaucoup ta fiche aussi, et j'ai hâte de voir vos deux persos RP ensemble
Tom Elvis Jedusor
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#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mar 21 Aoû - 10:05
Fiche excellente, je valide, évidemment
Bon jeu parmi nous
Présentation Validée!
Parce qu'au début, on peut parfois se perdre sur les forums. Parce qu'il est facile de passer à côté de certains topics utiles. Parce que les flemmards existent, tout simplement. Voici une petite liste des topics qui pourraient vous servir. N'hésitez pas non plus à créer votre fiche de relation ou un topic de demande de rp. Si la motivation vous tient, vous pouvez aussi vous lancer dans l'élaboration du Journal de votre perso'. (Toutes ces parties se trouvent dans le Coin Personnages).
Liens utiles pour Personnage Perdu...
♫ Métiers du Monde Magique: Vous pouvez faire recenser les métiers (Monde Magique uniquement) de vos parents, voire de votre personnage si celui-ci a terminé ses études. ♫ Quidditch: Si vous désirez rejoindre l'équipe de Quidditch de votre maison. ♫ Préfets: Si vous désirez postuler pour être Préfets ou Préfets en Chef. ♫ Anniversaire: Pour spécifier la date d'anniversaire de votre personnage. ♫ Rang: Pour demander un rang (la petite phrase en haut de votre avatar). ♫ Emploi du Temps: Si par hasard l'envie vous prenait d'avoir un emploi du temps pour votre personnage.
♫ Doubles Comptes: Pour essayer de s'y retrouver parmi les multi-comptes présents sur le forum.
Invité
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mar 21 Aoû - 11:00
Merci les fiiilles !! Et merci Tom, aussi ^_^ J'ai hâte de rp parmi vous, vous m'avez l'air fort sympathiques O:)
Caleb I. Lestrange
▌ Messages : 856 Humeur : En couple avec : Elena
QUI SUIS-JE? Baguette: Bois de houx, ventricule de dragon, 20,2 centimètres, souple et facilement maniable Camp: Mal Avatar: Nicholas Hoult
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mar 21 Aoû - 11:05
Bienvenue n__n
[Last] Bonnie G. Hornby
▌ Messages : 495 Humeur : En couple avec : Heureuse épouse de Clyde...
QUI SUIS-JE? Baguette: 19 cm, Tilleul, Ventricule de dragon Camp: Neutre Avatar: Jennifer Lawrence
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mar 21 Aoû - 11:23
Bienvenue à toi!
Invité
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mar 21 Aoû - 13:36
Ouh merci \o/
Jo Benett
▌ Messages : 6495 Humeur : En couple avec : Célibataire
QUI SUIS-JE? Baguette: Bois d'hêtre, avec un crin de licorne Camp: Neutre Avatar: Jodelle Ferland
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mar 21 Aoû - 16:06
Bienvenue parmi nous! j'espère que tu te plairas sur le forum! Oh, je ne suis plus la plus vieille du forum, c'est une bonne nouvelle Amuse toi bien! A trés vite! Jo!
Louisa V. Sparkley
▌ Messages : 953 Humeur :
QUI SUIS-JE? Baguette: Bois de Frêne et crin de licorne. Camp: Neutre Avatar: Elle Fanning ♥
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mar 21 Aoû - 17:33
Bienvenue
Invité
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mar 21 Aoû - 22:10
Merci merci mesdemoiselles
[Last] Verpey Brooklyn
▌ Messages : 540 Humeur : En couple avec : apprendre à lâcher prise, ce n'est pas bien facile mais il faut essayer pour trouver le bonheur et avancer
QUI SUIS-JE? Baguette: bois de saule, nerfs de dragon Camp: Neutre Avatar: DAKOTA F.
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mer 22 Aoû - 16:32
bienvenue sur le forum.
Invité
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Mer 22 Aoû - 20:15
Merci bien \o/
[Last]Ashley Walson Golse
▌ Messages : 1512 Humeur :
QUI SUIS-JE? Baguette: 20cm, bois d'if, ventricule de dragon Camp: Mal Avatar: Jennifer Love Hewitt
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Dim 26 Aoû - 10:15
Bienvenue
Pomona Fitz
▌ Messages : 1806 Humeur : En couple avec : ...
QUI SUIS-JE? Baguette: roseau, 23,2 cm et crin de licorne Camp: Bien Avatar: Carey Mulligan
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Jeu 30 Aoû - 12:53
Bienvenue en retard!
Invité
#Sujet: Re: Basil. Please. SHUT UP Ven 31 Aoû - 11:23