Merryl Steward

AGE - 17 ans SURNOM - Ryry ORIGINES - Américaine DATE DE NAISSANCE - 14 Août 1927 MAISON - Gryffondor STATUT - Sang mêlée EMPLOI TES SECRETS - Merryl est l'une des nombreuses exs petites amies de Terrence Fern. Comme avec toutes les autres, il a rompu avec elle, et la miss l'a très mal pris. Elle lui en veut à mort, même si au fond... elle est peut-être encore amoureuse de lui. De plus, la lionne ne supporte pas qu'on parle de quidditch, elle déteste le sport et le sport l'a déteste. Sa seule expérience fut en première année, son premier cours de vol où elle s'est fracturée le bras gauche en tombant de son balai, depuis la demoiselle à un mal fou à tenir quelque chose de lourd avec ledit bras.

Toc! Toc! Toc!

Trois coups à la porte l’a fit sursauter. Elle était tellement absorbée dans sa lecture qu’elle avait oubliée que son père l’attendait pour aller dîner chez ses grands-parents. Soupirant, elle cacha son manuel des Enchantements & sortilèges avancés sous son matelas, et ouvrit à Jim Steward. Son paternel était du type grand et imposant.

Ses tempes grisonnantes et ses quelques rides ne lui accordaient que plus d’autorité. Steward était un homme à qui on ne refusait rien. Il était entré dans le business à l’âge de 22 ans et n’en était jamais ressorti. Homme d’affaire à temps plein, père à des heures perdues. Sa fille, Merryl, était la seule enfant qu’il ne posséderait jamais. Il avait essayé de nombreuses fois avec sa deuxième épouse, hélas, aucun bébé n’était décidé à pointer le bout de son nez. Il avait abandonné le projet, au grand dam de Meredith, sa femme.

Meredith n’avait jamais beaucoup aimée Merryl, et l’avait encore moins considérée comme sa fille. Pour elle, l’adolescente représentait une menace et même un fardeau. Cette fille était étrange. Jim lui assurait que Merryl partait en pension en Angleterre, mais elle en avait toujours doutée. Elle avait l’impression que son mari lui cachait bien des choses et elle blâmait Merryl, cette petite bâtarde qui allait lui arrachait une grosse partie de son héritage.

Meredith était le genre de femme égoïste et hautaine. Elle était invivable, mais belle à tomber par terre. Au début de la trentaine, elle avait un corps magnifique et des yeux couleurs sable qui s’accordaient avec harmonie avec ses longs cheveux dorés. Son teint de porcelaine ne faisait que la rendre plus désirable. Un vrai piège à homme. Surtout les hommes aux poches bien garnies. Merryl voyait clair dans son jeu, et les deux femmes s’était toujours détestée en connaissance de cause.

« Ma chérie! Tu ne t’es même pas préparée! »

La voix de Jim Steward était pleine de reproche. Merryl luttait pour ne pas le regarder dans les yeux. Soudainement, le plancher offrait une vue passionnante.

« Désolé papa, je lisais et je n’ai pas vue le temps passer. J’enfile des vêtements convenables, et je vous rejoins le plus rapidement possible. »

Elle entendit son père soupirer. Lentement, elle sentit sa main relever son menton.

« Regarde-moi dans les yeux quand tu me parles, ma fille. Une Steward ne doit jamais baisser les yeux. »

Merryl lui sourit. Son père était peut-être souvent absent, il avait peut-être choisit une femme horripilante, mais elle savait qu’il aimait sa fille plus que tout au monde. Peu d’homme aurait acceptée le fait d’avoir une fille dans sa condition comme enfant unique. Avant de mourir, Eveline Smith lui avait écrit plusieurs lettres pour lui expliquer la situation, et il l’avait accepté. Jim était dur en affaire, mais tendre concernant sa fille. Merryl lui fit un clin d’œil.

« Je me dépêche, papa. »

Jim inclina la tête en signe d’accord et sorti de la chambre. Merryl entendit son pas lourd descendre les escaliers en érable. Elle ferma les rideaux en velours et sorti un bout de bois sombre, mince et allongé de la poche de sa robe. Pour une personne extérieure, ce qu’elle fit ensuite fût grandement étrange, voir de la sorcellerie. En fait, c’était en plein ça. De la sorcellerie. Elle agita le bout de bois en marmonnant du charabia. Charabia qui était en fait une formule précise pour métamorphoser des vêtements de tous les jours, en véritable chef d’œuvre digne des plus grands couturiers.

Habillée d’une longue robe rose pâle aux manches trois-quarts et aux ourlets de dentelles, Merryl passa quelques coups de brosses dans ses cheveux blonds dorés et poudra légèrement son visage. Ses yeux bleus océans complétaient le tout, au naturel, absolument sublimes. Elle se contempla encore quelques secondes avant de se souvenir de la promesse de faire vite, faite ;a son père. Elle prit sa baguette et l’enfourna dans la poche de son manteau accroché au porte-manteau. Elle ouvrit ensuite la porte de sa chambre et descendit rapidement les escaliers. Elle n’eut pas le temps de changer de souliers, mais sa robe longue cachait ses chaussures en cuirs usés qu’elle adorait portée.

« Te voilà enfin! »

La voix aigue de sa belle-mère l’a fit grincer des dents. Qu’elle ignoble perruche!

« N’a tu pas idée du temps que tu as mise? On va être en retard! La pauvre Liza! Ne sais-tu donc pas que ta grand-mère attend avec impatience notre visite? Tu devrais avoir honte, jeune fille! »

Et blablabla, et blablabla. Parfois, Merryl avait seulement envie de lui flanquer une bonne gifle, mais ce n’était pas digne d’une Steward. Non, une Steward concentrait tout dans le regard et dans de l’hypocrisie pure et dure.

« Désolé très chère belle maman. Je m’excuse sincèrement du désagrément que j’ai pu vous causer, à vous, à père et ma chère grand-mère. »

Ses paroles furent ponctuées d’un sourire mauvais et d’un regard glacial. Meredith plissa les yeux, mais n’ajouta rien. Jim ouvrit la porte à sa femme et à sa fille, et tous trois sortirent dehors pour se diriger vers la voiture noire et lustrée. La famille fut en route en moins de deux.


…


Merryl s’écroula sur son lit, laissant ses larmes ravagées son visage. Elle détestait ces dîners obligatoires chez les parents de son père. Ils étaient si méchants, si snobs. Toujours à critiquer ne serait-ce que la plus insignifiante des choses qu’elle faisait ou disait. Mais le pire, c’était lorsqu’ils se mettaient à parler de sa mère. C’est à ce moment là que tout commençait à partir en vadrouille. Jamais elle n’aurait pensée que tout basculerait aussi rapidement…

« Merryl, ne met pas tes coudes sur la table! »

La voix de Liza Steward était cassante, énervée. Merryl savait bien qu’elle était la plus grande déception de ses grands-parents. Tout d’abord en étant pas un garçon, et ensuite parce qu’elle avait eue le malheur d’être née avant le mariage de ses parents. Liza avait toujours cru dur comme fer que son fils avait épousé Eveline Smith parce qu’elle était enceinte (donc une catin dans son esprit) et non parce qu’elle ferait une bonne épouse, ou parce qu’il était amoureux. Pour Madame Steward, Merryl était tout simplement une erreur. La cause des ragots circulant sur sa famille.

« Tient-toi droite. »

Cette fois, c’était Victor Steward. Son grand-père, c’était le pire. Il ne parlait pas beaucoup, mais quand il avait quelque chose à dire, on se taisait et on acceptait tout ce qui sortait de sa bouche. Le genre d’homme autoritaire qui n’hésitait jamais à mettre une bonne fessée à ses enfants pour qu’ils apprennent la discipline. Merryl essaya de se redresser encore plus qu’elle ne l’était. Hélas, un peu plus, et sa colonne vertébrale cassait en deux.

« Si seulement tu pouvais prendre exemple sur Samantha… »

Sa tante Bertha mettait sa fille en valeur à chaque occasion. Samantha était la préférée : brune, pas trop grande, pas trop petite, pas trop grosse, ni trop maigre. Les yeux chocolat, un teint de pêche, une posture irréprochable. Elle ne parlait jamais trop, ni pas assez, n’imposait jamais sa présence. Docile et aimable. La future épouse parfaite en somme. À 19 ans, elle était déjà fiancée à l’un des hommes les plus riches de la ville, Johnny Zeimer. La pauvre, le vieux Johnny allait fêter ses 42 ans dans deux semaines. Elle avait le même âge que son fils aîné. Samantha allait être sa troisième femme, et belle-mère de ses quatre enfants. Dans le fond, même si sa famille ne cessait de la comparer à sa cousine, Merryl la plaignait. Elle n’avait jamais eue le choix, ni de volonté, ni de rêve. On lui avait présenté le moule, et elle s’était fondu dedans.

« Bien sûr, il est évident que Samantha à eue un très bon modèle à suivre depuis sa naissance. On ne peut pas en dire autant de toi… Hélas, Meredith est arrivée trop tard pour réparer les dégâts.»

Merryl serra les dents. C’était une insulte. Une insulte destinée à sa défunte mère. Heureusement que sa baguette était restée dans sa poche de manteau, elle n’aurait sûrement pas pu se contrôler. Une tête de cheval allant avec la dentition de la tante, tiens. Ses grands-parents approuvèrent d’un signe de tête, l’air navrés. Meredith afficha un sourire contrit. Celui de sa tante Bertha fut éclatant. Évidemment l’oncle Robert n’était pas là. Un congrès important de médecin, semblait-il. Samantha garda une mine neutre, elle n’avait jamais d’opinion, de toute façon. Merryl se tourna vers son père, avec l’espoir qu’il ose enfin défendre sa première femme, ou même sa propre fille! Rien. Il se contenta de boire une gorgée d’eau. C’en fut assez.

« Un très bon modèle? Ma tante, tu veux rire! La pauvre Samie! On aurait dit qu’elle a subit un lavage de cerveau. Critique l’éducation de ta fille, avant de critiquer celle des autres. Ma mère était une femme exemplaire, quelqu’un de bien. On ne peut pas en dire autant de cette famille de fou. »

La dernière phrase était peut-être de trop. Son grand-père vira au rouge écrevisse. Très mauvais signe. Sa tante sembla s’étranglée, quelqu’un avait osé critiquer sa chère fille! Sa grand-mère afficha un air scandalisé et Meredith lui jeta un regard triomphant. Son père, devenu blême, la prit par le bras et la força à se lever de table. Il l’a poussa hors de la pièce, jusqu’à l’entrée. Pendant quelques secondes qui parurent interminables, le silence lourd de colère, venant des deux côtés, emplit la l’espace. Puis, son père éclata :

« Veux-tu bien me dire ce qu’était ce cirque, jeune fille? »

Il avait hurlé. Jim ne hurlait jamais sur sa fille. Pendant une fraction de seconde, Merryl eue envie de pleurer, mais la colère prit rapidement le dessus.

« Tu n’es qu’un lâche! Un sale lâche! Tu as trop peur de faire face à ta famille pour dire ce que tu penses vraiment! »

Son père la gifla. Soudain, tout sembla se figer. Merryl se frotta la joue, et cacha son visage de son autre main. Une Steward ne pleurait pas.

« Qui a dit que je ne pensais pas comme eux? »

La voix glaciale de son père lui fit l’effet d’une dizaine de claque. Merryl sursauta. Que venait-il de dire? Il l’a considérait lui aussi comme une moins que rien, un fardeau? Les yeux de la jeune fille se remplirent de larmes. Au diable les Steward, elle pleurerait! Qu’ils aillent se faire voir, avec leur étiquette et leurs principes! Les sillons salés se répandirent sur son visage comme une traînée de poudre. Merryl releva la tête. Pendant un court instant, elle cru voir un éclair de tristesse sur le visage de son paternel, mais l’instant suivant, son air dur était de nouveau réapparu.

« Je crois qu’il est temps que tu partes. »

Son grand-père était apparu derrière Jim.

« Je ne veux plus jamais te voir dans cette maison, est-ce bien clair? Tu es morte pour nous dorénavant. Nous avons trop souvent passés l’éponge sur ta conduite inacceptable et ta réputation honteuse. »

Il venait de poser la main sur l’épaule de son fils. Merryl hoqueta de stupeur. Le «nous» incluait-il son père également? Le visage de Jim Steward se crispa. Il parut tourmenté, jeta un coup d’œil à son père qui hocha la tête d’un air solonnel.

« Je te donne 1h, Merryl. Lorsque je rentrerai, je ne plus te voir chez moi. »

Il avait parlé de façon monocorde, évitant de la regarder dans les yeux. Trop choquée pour faire quoique se soit, elle resta pantoise pendant ce qui sembla durer une éternité. Voyant son grand-père faire un pas menaçant dans sa direction, elle attrapa son manteau et courut hors de la maison. Elle courut sous la pluie, ne sachant plus où elle allait. Ses larmes se mélangeaient à celles du ciel. Sans savoir comment, elle atterri dans une ruelle déserte. Exténuée et découragée, elle se laissa glisser contre un mur de brique et s’écroula par terre.

Comment avait-il pu lui faire une chose pareille? N’avait-il pas promit à sa mère de veiller sur elle, qu’importe ce qui arriverait? Merryl était déboussolée. Ses repaires partaient peu à peu en fumée. Elle n’avait jamais vraiment appréciée sa famille moldue, mais c’était la seule qu’elle avait. Elle se contentait de se répéter le vieux dicton : « On choisit ses amis, pas sa famille. » Cette fois, hélas, le dicton n’était plus en vigueur. Elle n’avait plus de famille. Sa mère était morte lorsqu’elle avait deux ans, et elle n’avait jamais entendue parler d’un parent vivant de ce côté. Elle avait supposée qu’Eveline était orpheline.

Le souvenir de sa famille sorcière disparue lui fit subitement rappelée qu’elle en était une elle aussi. Elle chercha frénétiquement sa baguette dans sa poche, et poussa un soupir de soulagement lorsqu’elle mit la main dessus. Inspirant un bon coup, elle transplana.

Merryl pleurait toujours, ressassant sans cesse le souvenir du dîner désastreux. Elle devait partir, elle y était obligée. Son père l’avait ordonné. Tremblante et atterrée, elle se releva avec peine, caressant l’édredon en satin. C’était la dernière fois qu’elle le ferait. Avec un énième sanglot, elle se leva et parcourue la chambre qui avait été sienne depuis sa naissance. Elle ramassa les choses les plus importantes : la chaîne en or de sa mère, le cadre contenant la photo mouvante de sa mère, l’un des seuls objets magiques qu’elle possédait, à part sa baguette et son matériel scolaire, son chat Grispoil, sa brosse et sa valise à qui elle jeta un sortilège d’extension. Elle envoya voler ses livres, ses plumes, ses encriers, ses vêtements et ses chaudrons à l’intérieur. Puis, Grispoil confortablement installé dans son panier de voyage, elle prit trois grandes inspirations avant de transplaner de nouveau. Il ne restait que quelques jours avant les vacances; les parents de Lilian n’allaient pas voir d’inconvénient à ce qu’elle passe le reste des vacances chez eux. Elle prendrait un portoloin de là-bas pour aller en Angleterre.

Merryl est plutôt grande, environ 1m78, à un teint de porcelaine, et des grands yeux tricolores. Viens tout d’abord le bleu, profond comme l’océan. Puis le turquoise, rappelant les pierres précieuses qui laissent places au roux, tout près de la pupille. Blonde, elle tire plus sur le doré que le cendré. Ses cheveux ne sont pas très longs et lui arrivent aux épaules. Ils sont généralement frisés. D’ailleurs, elle adore les brosser avec la brosse que lui a offert son père à son quatorzième anniversaire. Les poils souples de celle-ci rend sa chevelure lustrée et brillante. Comme son père, elle a un nez peu rond, mais pas trop. Ses formes généreuses attirent souvent l’attention des garçons, et Merryl l’a découvert un peu à son détriment. Notamment, avec l’histoire de Terrence. Ses sourcils sont symétriques, et un peu plus foncés que ses cheveux. Son visage pourrait passer pour celui d’un ange, mais gare aux apparences. Ses épaules délicates semblent sculptées pour porter des débardeurs, dommage qu’ils n’existent pas encore. Mais les petites robes d’été lui vont à ravir, découvrant un peu ses jambes fines et ciselées. Son front dégagé ne possède aucune ride ou bouton d’acné. Merryl a une peau parfaite.

Une bombe à retardement! Voilà comment décrire Merryl Steward en quelques mots. Au premier regard, elle vous semble une jeune fille typique des années 40, sage et soumise. Ses traits angéliques ne peuvent qu’accorder crédit à ces déductions. Hélas, vous déchanterez bien vite. Impulsive, elle n’hésitera pas à vous clouez le bec avec des répliques bien cinglantes. Que vous soyez jeune ou moins jeune. Elle n’a de respect que pour ceux et celles qui la respecte. Son slogan préféré? Œil pour œil, dent pour dent. Elle a beau être une sorcière, la famille moldue de son père est très croyante, et elle a dû lire la bible et aller à la messe. Bien qu’elle trouvât l’histoire de Jésus un peu barbante, elle a retenue quelques trucs pouvant s’avérer utiles. Comme la trahison de Juda. Elle croit dur comme fer que trahir est une très mauvaise idée. Malheureusement, certaines choses ont refusées de lui entrer dans le crâne : le pardon. Pourtant une des choses les plus importantes qu’on radote à l’église les dimanches matins. Merryl est très rancunière. Comme je l’ai mentionnée plus haut, la trahison est hautement punissable. Faites-lui du mal, vous y gouterez aussi. Oh bien sûr, elle a déjà goûtée à sa propre médecine. Le fait est que la roue de vengeance ne cesse jamais de tourner. Elle s’en fiche un peu, à vrai dire. Il n’y a qu’à l’école qu’elle peut libérer pleinement son caractère de merde. Elle en bave assez comme ça chez elle avec sa famille moldue coincée. Même si, d’après les rumeurs, elle aurait été déshéritée aux dernières vacances d’été… Serait-ce la vérité? Enfin, pour la plupart des enfants de sorciers, l’héritage moldu n’est pas leur plus grand souci. Il s’en balance, en fait. Le fait de ne pas vraiment avoir connue sa mère et les absences nombreuses de son père l’a rendu indépendante. Elle ne colle pas aux basques, l’un de ses traits de caractères plaisants. Par contre, ça marche dans les deux sens : ne lui collez pas aux basques non plus, elle pourrait s’énerver. Merryl a besoin de son espace personnel, n’entrer jamais dans sa bulle. En fait, elle n’a pas vraiment de meilleure amie. Elle a quelques copines par ci, par là, sans être totalement proche de l’une d’entre elle. À par Lilian, qui va à Salem. Être séparé de sa meilleure amie d’enfance n’est pas franchement agréable. Elles s’écrivent souvent, c’est déjà ça. Dernière chose, Merryl n’a aucun problème avec le sang [i]impur[«/i] de ses camarades. Elle-même est Sang-Mêlé.

PRENOM - Véronique
PSEUDO - Ninik
AGE - 16 ans
NOMBRE DE LIGNE - Habituellement entre 30 et 60 lignes.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? - C'est pas une question x) Disons que c'est une vieille connaisance.
QUE PENSES TU DU FORUM ? - Je l'adore! <3 (Et j'adore Tom & Olive!, Meuh non, je ne lèche pas les bottes de mes adminettes favorites, les plus belles de toutes, les plus intelligentes, les plus cool... okay j'la ferme )
ACTEUR SUR VOTRE AVATAR - Annalyne McCord
UN MOT POUR LA FIN ? - HAHAHIHITOUKITOUKI! *Hommage à George de la jungle*