Prénom(s) & Nom

AGE - 12 ans SURNOM - Glo' , Gloglo... comme vous voulez je suis ouverte à tout surnom ORIGINE - anglaise DATE DE NAISSANCE - 1932 MAISON - poufsouffle (peuplons le monde de canaris!) STATUT - Sang mêlé TES SECRETS - Petite j'ai acheté un poisson rouge dans une fête foraine et je l'ai appelé princesse. Je m'amusais à le voir nager, tourner toujours en rond dans son bocal... Je lui racontais mes secrets et il tournait toujours. Un jour je lui ai même parlé d'un garçon... il s'en fichait il tournait en rond... Puis au bout d'un moment j'ai fini par me lasser de cet animal idiot et je l'ai lâché dans un lac... Depuis mes secrets sont bien enfouis dans l'eau... Et à moins de sortir la canne à pèche vous aurez du mal à les trouver... ou non...

Que voulez-vous que je vous dise sur mon histoire ? Elle n'a rien d'extraordinaire. Non vraiment je crains de décevoir les fans de Marie-Sue ou d'histoires invraisemblables... Je ne suis pas princesse d'un pays mystérieux, je ne viens pas de la planète mars, je ne suis pas une travestie, je n'ai pas tué mes parents quand j'étais jeune, ils ne m'ont jamais maltraité, je ne suis pas née dans un orphelinat, je n'ai jamais été menacée de me faire virer de Poudlard, je ne suis pas un fantôme, je n'aime pas la glace à la vanille, je n'ai jamais embrassé un canari, je ne suis pas nymphomane...

Oui il y a beaucoup de choses que je ne suis pas et bien moins que je suis ou que j'ai fait. Déjà je ne suis pas sortie d'un chou. Si j'existe c'est parce qu'un jour papa a dit à maman : "et si on faisait un enfant ?" elle a acquiesé et ils ont fait l'amour. De cette union de deux corps imparfaits des milliers de spermatozoïdes sont entrés en maman et on parcouru une vraie course d'obstacle pour atteindre l'ovule en premier tout en survivant. Ce spermatozoide n'était pas parfait mais il était le meilleur, alors pour le récompenser l'ovule s'ouvrit à lui et j'existais. Mais cette naissance n'a rien de particulier, certes elle est unique puisque chaque individu est différent, cependant il se passe tout le temps la même chose... Quelques mois plus tard ma mère se retrouvait à l'hopital pour donner naissance à une chose rose qui avait deux yeux bleus, deux oreilles, un nez, deux mains, deux pieds, qui respirait et qui allait s'appeler Moi.

Moi était un chérubin presque pas pleurnichard... Ou alors peut-être est-ce seulement ce que je veux croire ? Maman appela Moi Gloria... Peut-être croyait-elle que cette fille était sa plus grande réussite, sa seule gloire... Ou simplement avait-elle épluché le répertoire des prénoms et à la lettre G elle décida qu'elle en avait assez de le lire et s'arrêta sur le prénom qui lui plaisait le plus de la page. il faut dire qu'en G il n'y a pas beaucoup de beau prénom féminin... à part si Gertrude en est un qui vous semble plein de charme. J'ai toujours dit qu'il fallait de tout pour faire un monde.

Les gens se penchaient sur Moi, ils voulaient lui faire des gouzis-gouzas... l'entendre rire... c'est que le rire d'un bébé est si mélodieux ! On félicitait la maman, on congratulait le papa. "Votre enfant est vraiment mignon madame" "Monsieur votre enfant à vos yeux."... La famille arrivait et distribuait les présents. Ici des jouets en plastique, là des peluches, ou encore des petites robes roses et des chaussures de la même couleur. Sans doute les gens aimaient penser que les filles devaient aimer le rose, les garçons le bleu. Parce que le rose c'est pour les filles... Au moins à ce stade là on ne pouvait plus douter du sexe de Moi. Même sa chambre était peinte en rose ! On lui avait acheté des barbie pour quand elle sera plus grande, en attendant elle avait une grande licorne à bascule.

Maman sortit de l'hopital, papa prit la voiture, le coffre rempli, et démarra. Maman donnait le sein à Moi qui têtait golûment. On lui donnait aussi des petites bouillis. C'était mignon que d'avoir Moi... Sauf que de temps en temps on oublait de lui changer la couche, ou des fois Moi criait dans son lit et bien naturellement cri ou pleurs et bien ça réveillait les parents... C'est pour cela que si vous rêvez d'avoir de bonnes nuits le mieux n'est pas d'attendre un enfant.

Quand est-ce que Moi cessa d'exister pour devenir Je ? J'ai toujours du mal à trouver une date exacte, mais je suis jeune. Je dirai que c'est lorsque je pris conscience de ce que j'étais, que ce que je suis. Sans doute c'est le jour où je vaincus l'épreuve du miroir. Avant il nous est impossible de faire la distinction entre soi et un autre. Lorsqu'on passe devant un miroir on salue l'image de la main croyant que c'est un autre. Moi aimait beaucoup parler avec le miroir, elle avait l'impression qu'on comprenait son charabia, qu'on pensait la même chose qu'elle. Puis moi a fini par se rendre compte que le fait que le miroir réagissait toujours comme elle n'était pas logique alors là elle réussit l'épreuve et devint je. Elle sut que l'image c'était elle. Dernière étape se rendre compte que ce n'est pas vraiment moi mais simplement mon image... Sans doute l'étape la plus importante. Et je l'ai réussi.

Puis après cette observation de l'autre, après avoir appris à marcher je prononçais mes premiers mots. Mes parents avaient acheté un cahier où ils étaient pressés d'écrire. Tandis qu'on me donnait du Bledina maman me regardait en souriant et me disait "dis mamam. Maman.MA-MAN"... mais je n'avais pas choisi que ça soit mon premier mot... ou peut-être que je ne comprenais tout simplement pas ce qu'elle me disait. Puis ce fut au tour de papa d'essayer. Il me prit dans ses bras et me chuchota "si tu dis papa je te fais un bisou. Papa."... je ne dis rien pour autant. A la maison les tensions commencèrent à monter. Crise stupide que faisait mes parents... Ils se disputaient sur mon premier mot... C'est là que je choisis de dire "cana... cana". Ils me regardèrent avec cette tête de six pieds de long que font les parents lorsqu'ils sont surpris. Et ne retenant pas leur déception ils décidèrent d'oublier que je n'avais pas dit leur prénom et se précipitèrent vers moi dans une cacophonie monstre "Papa. MAMAN. PAPAAAA. PAPAAAAAAAAAAA.. MAMMMMAAAAAANNNNN ! PAMAPAMANNNNNNNNNN!!! MAPAMANNNNPAAAA!!!! PAPAMAMAMAPAPAMAPANMAPNAMPNAMANAPAM"... Toute joyeuse de leur sourire encourageant et de ce que je prenais pour une chanson de la victoire je crais mon éternel "CANAAAAA".... très vite ils arrêterent, ne comprenant pas pourquoi je m'obstinais à préfère le doux nom de canard au leur... (ils ignoraient sans doute qu'aujourd'hui à l'heure où j'écris j'entends, que je venais d'avoir une conversation dont je me souviendrai sur la passion que Tom Jedusor avait pour les canards...). Pour votre information personelle sachez que je prononçais maman avant papa...

Je vous avais prévenu que dans cette histoire vous ne trouverez ni d'actes de super-héros... ni de choses extraordinaires... et bien j'avais tord. Je suis quand même une sorcière et vous verrez très vite par vous même que j'ai plus d'un tour dans mon sac.

Je grandis, toujours avec cette affection affectueusement affectueuse que m'affectait mes parents. J'étais heureuse et épanouie. Papa s'absentait souvent pour son boulot, dont j'ignorais tout, et maman restait à la maison pour s'occuper de moi. Ensemble nous faisions du coloriage. Elle savait très bien dessiner alors moi je colorais ce qu'elle faisait avec mes gros feutres... ce qui gâchait un peu le travail de l'artiste mais ça me faisait rire et maman riait de mon rire. Un jour elle peint un mouton. Avec mes feutres je le bariolais de couleurs. On rit tellement que le mouton se retrouva avec des oreilles à la dumbo et qu'il virevoltait en volant sur la feuille... Oui je n'avais rien bu à cette époque. Je vous promets que je n'invente rien. J'ai vraiment vu un Dumbmouton! J'avertis maman que "le mouton et bah il fait l'oisseau dans le dessin." mais quand elle regarda enfin il avait disparut, laissant à la place une feuille totalement vierge. Maman commença à soupsonner mes pouvoirs, ce que bien sûr moi j'ignorais totalement... Mais il m'arrivait souvent de rêver qu'un Dumbmouton arrive dans la nuit et m'emmène sur son dos. Ensemble nous verrions tellement de pays que je deviendrai multicolore moi aussi et qu'on m'appelerait la princesse arc en ciel.

Lorsque papa rentra, maman lui fit part de ses doutes, de ses espoirs. Elle espérait que je sois aussi géniale que son mari. Alors j'eus le droit à ce que ma chambre devienne jaune, jaune comme l'ancienne maison de Poudlard que papa. D'ailleurs celui là commença à me raconter des histoires.
"Et ces quatres personnes dans le but de former les petits enfants comme toi créérent la plus grande école de magie de tous les temps.
- Papa je pourrai y aller un jour dans l'école moi ?
- Je ne sais pas ma chérie. Peut-être... J'espère.
- Mais je veux !
- Allez fais dodo mon ange. Je t'aime."

Dans la cours de récréation je jouais aux fondateurs de Poudlard. Je jouais toujours la gentille Elga parce que j'aimais bien ce prénom et que personne ne voulait la jouer. Souvent le méchant Salazar me faisait du mal. Et alors le courageux Godric venait à mon secours et repousssait très loin Serpentard. Bien sûr tout cela grâce aux conseils ingénieux de Rowena. Même qu'à la fin le chevalier il pouvait embrasser la princesse. Luka qui jouait Godric embrassait à merveille, raison pour laquelle je n'aurai jamais échangé mon rôle avec quelqu'un d'autre. Luka et moi nous nous rapprochâmes. Et à neuf ans nous sortions ensembles. De temps en temps on allait sur le toît de l'école et on se tenait par la main. Je trouvais ça énormément romantique... Sauf qu'un jour alors qu'on courrait sur la toîture de la primaire il trébucha et tomba... Je le vis tomber lentement, et je pleurais, je criais même. De cette hauteur il pouvait mourir. Et moi bah... bah je voulais pas; Qui allait jouer Godric après ? Mais à la place de s'écraser comme une crèpe sa chute ralentit progressivement et il atterrit au sol sans autre encombre qu'une migraine impossible. Je compris que c'était moi qui avait fait ça. J'étais heureuse de lui avoir sauvé la vie mais j'avais... peur... je ne savais pas ce qui m'était arrivé et c'est en pleurant que je rejoignis la maison le soir.

Maman et papa s'inquiètèrent de me voir si triste. Moi qui d'habitude étais plutôt bout-en-train j'étais là complètement ailleurs. Je mangeais et courrais dans ma chambre... ou courrais dans ma chambre directement, j'avoue que je ne m'en souviens plus très bien. Alongée sur mon lit j'entendais leur dispute. "Vas-y chérie la meilleure personne pour consoler c'est toujours la maman tu le sais bien." "Et toi tu es bien au courant de ce qu'il se passe. Tu sais que ça a un rapport avec tu sais quoi. Elle a presque atteint l'age déterminant !"... Ne parvenant pas à se mettre d'accord ils montèrent tous les deux.

"- Ma chérie tu n'as pas dis un mot du repas. Alors ta maman et moi on s'inquiètait.
- Oui trèsor. Dis-nous ce qu'il se passe. (disait maman en me carressant les cheveux. Eprouvant le soudain besoin de me confier je décidai de parler)
- Aujourd'hui Luka est tombé du toît de l'école... et il est pas mort....
- Mais c'est bien ma chérie ! Pourquoi as-tu l'air si triste alors ?!?
- Mais je suis pas triste.... c'est que... il aurait du... mais sa chute a été lente... très lente;... pis il a heurté le sol... pis il avait mal à la tête... pis il n'était pas mort... et avait pas mal...

Ce fut mon père qui fut le plus prompt à réagir et à m'embrasser sur la joue.
-C'est super ma chérie. Tu te souviens de cette école de sorciers ? Et bien tu recevras une lettre ! Tu pourras y faire tes études comme ton papa. Tu seras une grande sorcière! je suis si fière de toi ma puce !
- Mais... mais c'est pas grâve ?
- Non c'est merveilleux !
- On va me mettre dans un zoo ?
- Pourquoi on te mettrait dans un zoo ?
- Parce que maîtresse elle a dit que les gens fous et différents on les mettait dans un zoo. et que les gens ils venaient les regarder dans leur cage.
- Ce n'était pas dans un zoo qu'on les mettait mais dans un cirque. Et écoute moi cela fait bien longtemps qu'on ne fait plus ça. Non crois moi tu n'as aucun soucis à te faire. C'est génial!!!
- Papa ?
- Oui Gloria ?
- C'est quoi un sorcier ?
- C'est un monsieur ou une madame qui a de la magie.
- C'est pas les méchants qui ont un nez crochus avec une verrue ?
- Non c'est pouvoir faire des choses exceptionnelles et merveilleuses plus rapidement et plus efficacement que si tu le faisais avec tes mains.
- Ca veut dire quoi ce que t'as dit ?

Pour me montrer un exemple il fit apparaître une rose rouge dans les cheveux de maman et j'applaudissais.

- Le sorcier c'est le plus fort des magiciens !! Je veux être une sorcière comme toi plus tard. Mais maman aussi c'est une sorcière ?
- Non ma puce je ne suis qu'une simple humaine.
- Pourquoi t'es pas une sorcière maman ?
- Parce que tout le monde n'en est pas une.
- Et pourquoi j'en suis une moi ?
- Sans doute parce que tu as eu beaucoup de chance.

La discution se poursuivit ainsi encore longtemps. Mais à la fin j'en sortis heureuse et rassurée.


A mes dix ans je reçus une lettre par la cheminée. Papa m'avait prévenu que j'en recevrai une ainsi. Et toute heureuse je me mis à sauter partout dans la maison, criant que je l'avais reçu, que j'allais devenir une sorcière comme papa. Quand je fus épuisée enfin je me précipitais sur le canapé et j'ouvris la lettre. Ce que j'y trouvais ne manqua pas de me surprendre et c'est ainsi que nous nous retrouvâmes papa et moi au chemin de traverse.

Je m'émerveillais devant les boutiques, courrais de magasin en magasin, sous les cris de mon papa qui me criait de l'attendre. Bien naturellement la première boutique dans laquelle j'entrais était Ollivander. Qu'était un sorcier sans sa baguette ? Un Poudlard sans Poufsouffle ? Des lasagnes sans pates ? Il me fit le discours qu'il avait fait à mon papa plus jeune comme quoi c'était la baguette qui choisissait son sorcier. Baguette viens à moi ! Je fus donc choisis par une femelle baguette possédant un cheveu de vélane, taillée au bois d'if et faisant trente centimètres. Puis nous nous rendîmes à la ménagerie magique où j'achetais une chouette effraie que j'appelais Edwiliss. C'était si beau que je me croyais rêver. Vous avez vu ces boutiques multicolores ? Elles me rappelent moi quand je peignais avec mes feutres ! Et toutes ses odeurs ! Enfin nous achetâmes les manuels nécessaires et obligatoires pour la rentrée et nous fûmes fin prêts.

Quitter la maison pour partir me fut difficile. Mais maman me rassura, elle me disait qu'elle m'enverrait des lettres, que c'était nécessaire pour que plus tard je ressemble à papa, que je la reverrai toutes les vacances, et je montais dans le train rouge et noir.

Il est temps que le train part
Pour voir comment seront
Tous les paysages que je vois en rêve
Et Poudlard qui me tarde tant.

Petit Poudlard Express
Quand tu partiras d'la gare
Avec tes écoliers par milliers
N'oublie pas de me rendre heureuse

Mais avant de partir
Il faudra que tu dises
Au revoir à mes parents
Car ils me manqueront beaucoup

Après un dernier coup de sifflet le tchou tchou commença et il s'éloigna vers Poudlard. Je versais une larme de me retrouver seule, loin de ma famille, loin de ce cocon. Dans le bus je me liais d'amitié avec quelques personnes qui finiront dans différentes maisons ou qui avaient déjà été répartis. Je parlais beaucoup avec une deuxième année qui me réexpliquai comment tout allait se dérouler. J'oubliais vite ma tristesse au fur et à mesure que mon impatience allait grandissant.

Un peu plus tard le Poudlard Express arriva, et sous les directives de professeurs vigilants la cérémonie put commencer. Ils nous appelaient par nom de famille. Je fus dans les derniers... Mon stress ne cessait d'augmenter. J'allais devoir monter sur cette estrade, parmis tous ces gens... Ils me faisaient peur... Quand le choipeau m'appela ils me regardèrent tous. Ils allaient ne faire qu'une bouchée de moi... J'avançais quand même, je n'avais pas le choix et je voulais que tout se finisse vite, même si pour cela on dut m'appeler une seconde fois. Je coiffais le choipeau, entité trois fois trop grande pour ma petite tête... Je fixais toutes ses personnes en bas... et alors le temps s'arrêta de tourner... Je ne pouvais détourner mes yeux de son regard. Je le voyais me regarder. Il était si beau ! Il avait l'air si intelligent, si puissant et si sûr de lui ! Je dus rougir. Ca n'avait pas d'importance parce qu'il me regardait... Je n'entendais plus que les battements de mon coeur... Il faisait poumpoum...

- Gloria ? GLORIAAAAA !
- Hein ?!? Quoi ?!?

Quelqu'un venait de hurler mon nom... comme si j'avais été déconnectée du monde... Comme si en me plongeant dans ses yeux j'avais oublié la réalité qui m'entourait.

- Tu as été répartie. Tu peux partir maintenant.

Je me levais. On m'applaudissait... J'avais été répartie ? Mais où devais-je aller ? On m'avait mise dans quelle maison ? Je n'avais rien entendu ! Je fis un pas vers le milieu de la salle. Puis un autre... en encore un... J'avançai... Je ne savais pas mais j'avançais... C'est qu'ils applaudissaient tous... Alors je me dirigeais vers lui sans savoir... Lorsque je vis une fille me faire coucou de la main. Elle était dans la table de jaune et noir. Je changeais alors de direction sans le quitter du regard, espérant qu'il en m'ait pas vu le regarder ainsi... La grande fille me sourit et me chuchota que je ne devais pas m'inquièter, qu'il faisait toujours cet effet là et elle me donna même son doux prénom. Même aujourd'hui lorsque j'entends Tom résonner dans mes oreilles je ne peux m'empècher de sentir tous mes poils se hérisser et frémir. Je donnerai tellement n'importe quoi pour qu'il me remarque !

Ma première année se déroula sans problème. Je me fis des amis, étudiais à la bibliothèque, collectionnais d'excellentes notes, me donnais à fond toujours, mais quoique je fasse son image ne cessait de revenir me troter en tête... et de temps en temps on me croyait réellement partie ailleurs... Je me montrais souvent distraite mais on me le pardonnait. Serait-on vraiment capable de m'en vouloir pour quelque chose avec ma petite tête d'ange ?

J'ai une grande chevelure blonde et lisse. Mes cheveux sont soyeux alors n'hésitez plus : faites comme moi ! Achetez le nouveau Loréal ! Parce que vous le valez bien... humhum... Excusez moi je n'ai pas l'habitude d'être très sérieuse dans ma fiche de présentation... et d'ailleurs pas que dans ma fiche... mais ça ce n'est pas dans cette partie que je suis censée en parler...
Un rayonnnnnn de soleiiilll sur ton cuir chevelu ♪♫♪ Oui vous l'avez compris on peut tout dire sauf que je ne suis pas fan de ma chevelure... Et bien chacun doit bien aimer quelque chose chez lui, non ? Mes yeux sont bleus, en fait si on me croisait dans la rue peut-être qu'on me prendrait pour une suédoise ou je ne sais quel pays des Balkans.
Dans Poudlard j'ai l'impression de devoir lever la tête chaque fois que je passe à côté de quelqu'un. Alors il existe deux interprétations à cela soit les autres ils sont vraiment trop grands soit c'est moi qui suis trop petite... Je préfère me dire que je vis dans un monde de géant... c'est mieux pour le moral...
Je suis anglaise, cela se voit à ma couleur de peau. Sérieusement vous croyez qu'il est possible de bronzer dans ce pays ? Bien sûr que non le soleil et bien trop souvent caché par des nuages... Cependant il pleut beaucoup et cela à le don de me faire espérer de grandir un jour à force d'être arrosée...
Mis à part l'éternelle robe de sorcier et bien on peut dire que je m'habille pas vraiment bien... Un jean, un débardeur et me voilà parée... Pourquoi faire compliqué quand il est possible de faire simple ?

Il est compliqué de décrire un caractère en étant vraiment minutieux. Parce que si un individu X peut agir comme ça à un moment Y, il peut tout de même agir différemment à un moment Y. Le caractère évolue donc en fonction du temps. Mais ce n'est pas tout, il peut être différent aussi en fonction de l'individu qu'il a en face de lui, des facteurs en jeu (l'argent et le pouvoir peuvent changer pratiquement n'importe quel homme), du contexte et de bien d'autres choses. Certains prétexteront même que le caractère peut changer en fonction de la météo... Cependant si on reste dans le vague alors les grandes lignes restent les mêmes même si n'oubliez pas le caractère change.
Pour être plus à même d'effectuer avec plus d'efficacité la synthèse de mon caractère j'ai décidé d'interroger mon cher ami le dictionnaire.
Caractère : nom masculin : ce qui rend une personne différente... heureusement dans une autre définition ils expliquent davantage... Parce que là je pourrai parler du fait que je suis jeune par rapport à Dumbledore ça ne définirait pas pour autant ma façon d'être... Façon d'être est une expression qui me plait pour définir le caractère.
En la 8éme définition du mot on trouve "Ensemble de possibilité de réactions affectives et volontaires qui définissent la structure psychologique d'un individu : manière d'être, d'agir..."
Peut-être le plus simple pour définir mon caractère serait donc que je vous parle de différents exemples, de différents cas de figure impliquant une réaction de ma part.

Premièrement lorsqu'un professeur m'interroge pour que je réponde à une question j'ai l'habitude de rougir, d'être pratiquement paniquée à l'idée de devoir prendre la parole en public... Alors le voyant insister je rougis et d'une petite voix dis la rèponse, souvent exacte, à un rythme très effréné... Timide sans aucun doute. Idiote ? Pas le moins du monde. Certains peuvent se moquer de cet aspect petite fille fragile que j'ai cependant je ne suis pas toujours comme ça. Il m'arrive d'avoir vraiment envie de quelque chose, et dans ce cas je me livre à fond pour l'obtenir. Même si je ne prends pas mon pied avec le monde extérieur il n'empèche que je suis très déterminée et prête à tout pour mener à bien ce que j'entreprends. Lorsqu'un projet m'intéresse vraiment j'aime le réussir seule. Je me suis toujours dit que j'étais une fille ambitieuse, que j'ai soif de pouvoir et de savoir. C'est pour cela sans doute que je suis un rat de bibiliothèque à mes heures perdues...

Peut-être que le timidité poussée à l'extrême devient de la naïveté. Dans ce cas je suis naïve, je l'avoue c'est l'un de mes défauts premiers, d'autant plus que je suis jeune alors je n'ai pas l'avantage de l'ancienneté... Je ne peux pas comparer mes erreurs passées à celles déjà faites. Mais j'aiderai n'importe quel ami dans le besoin. Je serai toujours là pour lui et ferai n'importe quoi pour qu'il soit heureux. Peut-être que là aussi est-ce de la naïveté mais c'est que j'aime aider, j'aime me dire que j'ai le coeur sur la main et je pense que pour améliorer ce monde il suffirait qu'on fasse tous sa bonne action du jour.

Je suis quelqu'un de simple. Une vie frugale me conviendrait parfaitement, mais les obligations que je me suis donnée m'oblige à agir différemment. Je ne pleure jamais. Voilà ce que je suis et comment je me comporte.

Est-ce que cela signifie pour décrire un moral ? Dire ce que je fais, ce que je ne fais pas ? Est-ce dans ma nature de me poser ce genre de question. Mais c'est que, monsieur, madame, je ne voudrai pas échouer et répondre trop à côté.

Dernière chose, quand je suis bien entourée j'aime me laisser aller au rire et je suis de bonne compagnie. Mes angoisses, mes soucis, ma tristesse j'évacue tout dans une douce folie. On me traite souvent de petite folle, et ce n'est pas pour rien.

PRENOM - Je suis le cavalier sans nom mouahahaha
PSEUDO - Di'
AGE - majeure et vaccinée chef
NOMBRE DE LIGNE - en général je fais trois pages word...
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? - par l'admin du forum, il détient la force toute puissaaannntteee
QUE PENSES TU DU FORUM ? - il est nul c'est pour ça que je m'inscris
ACTEUR SUR VOTRE AVATAR - AnnaSophia Robb
UN MOT POUR LA FIN ? -